Atelier de misère

file du mouvement littéraire nommé Naturalisme. Ce mouvement s'inscrit dans la continuité du Réalisme et de ses principes qui sont de peindre la société en explorant tous les milieux, représenter la réalité sociale sans l'idéaliser, ne pas cacher la misère, les vices, les fléaux de la société, multiplier les effets de réel .. Mais lui ajoute d'autres caractéristiques. En effet, la documentation prend une importance majeure. Dans ce qu'il appelle ses « Carnets d'enquête », Zola recense tous les détails

de vie : misère ouvrière classique ou misère ouvrière féminine ? Quelles différences entre les ouvriers et les ouvrières ? • Secteurs • Salaires • Conditions de travail (harcèlement par exemple), devoir gérer la famille en même temps • Syndicalisme et grève : quelle est la place des femmes dans ces mouvements ? comment sont-elles perçues par les autres ouvriers et par la société en général ? Liens avec des grands thèmes étudiés en cours ou en TD : ATTENTION au HS Industrialisation Misère des classes

STAGE MAÎTRISE D’ŒUVRE DU 17/11/2010 AU 22/10/2010 Entreprise d’accueil : ATELIER CHRISTIAN DE PORTZAMPARC Lycée André CUZIN Sami CHAMSEDDINE Année scolaire 2010-2011 Lycée André CUZIN Sami CHAMSEDDINE 1-ANALYSE J’ai effectué mon stage au sein de l’atelier Christian de PORTZAMPARC, architecte Urbaniste. Cette structure emploie 80 personnes. Au cours de ce stage de quatre semaines, j’ai essentiellement travaillé à la réalisation

population à laquelle elle ôte toute envie de révolte en réduisant chacun à un état d’extrême misère, physiologique et physique.  Les juifs subissaient une l’oppression intense et constante qui provoqua des centaines de suicides.  Il n'est pas rare de retrouver des cadavres en pleine rue. Une charrette passe alors ramasser les corps, puis les comptait et les enterrait dans une fosse commune. TRAVAIL ET ATELIER Au cours des premiers jours de l’occupation de la Pologne, les Allemands raflent en pleine

décidée sans qu'il en soit averti. En juin 1848, il est élu député à l'Assemblée nationale. Le 28 juin 1848, il redevient ministre des Finances dans le gouvernement du général Cavaignac. Dans son discours, Goudchaux s'oppose fermement au maintien des Ateliers nationaux et souhaite leur dissolution. Le second document est un extrait d'une lettre rédigée par Thumeloup, membre de la « Commission centrale pour les dons et offrandes de la ville de Paris » et destinée à Ulysse Trélat (1795-1879), médecin

trois garçons Claude et Sandoz Paris – Dans l’appartement de Claude Retour au présent, plus tard dans l’après-midi Critique sur l’impressionnisme et doutes de Claude / nom de l’œuvre : Plein air Chapitre 3 Claude et Dubuche (Paris) Rue du Four – atelier où se trouve Dubuche Un jeudi matin Claude désespéré va trouver Dubuche, se fait moquer par les autres à l’atelier Claude, Sandoz, Mahoudeau, Jory, Fagerolles et Irma Bécot (Paris) Café Baudequin, boulevard des Batignolles Le même jeudi, après-midi

Oral de français chapitre 10 de l'assommoir I.La situation de désespoir de Gervaise et de Coupeau est mise en valeur. A. Souffrance qui inspire la pitiez -Champs lexical du froid : « hivers, pluie, froid » Permet d'insister sur la situation de misere de Gervaise et de Coupeau. -Concession péjorative : « S'ils mangeaient du pain au beau temps, les fringales arrivaient avec la pluie et le froid » Leurs situation est miséreuse l'été mais l'hiver et encore pire. Le froid et la faim s'accumulent pour

Monarchie de Juillet et créant la Seconde République le 25 février 1848. Aussitôt le gouvernement parisien doit tenir compte de la pression populaire et prend un certain nombre de mesures d'esprit démocratique (droit au travail, création des ateliers nationaux, liberté de presse et de réunion). Une Assemblée constituante est élue le 13 avril dans la précipitation pour mettre en place les institutions de la IIe République. Le suffrage universel amène à l'Assemblée une forte majorité de

de la parole est présenté comme un moyen de dire tout haut la misère des gens de l’époque, non seulement pour lui, mais pour tous ceux qui n’osaient pas le faire. À l’aide du champ lexical de la misère, on arrive facilement à comprendre la situation dans laquelle ces gens se trouvaient. Tout au long de l’œuvre, on rencontre une panoplie de mots et d’expressions se rapportant à la misère : «un’ vie d’chien», «tous les gars d’la misère», «nous r’console», «souffre», «pauvre», «crasse», «défense», et

essayait tant bien que mal de combattre la misère. Ce combat à d'ailleurs était le sujet de son roman « Les Misérables », où il dénonce la pauvreté des enfants. Pour Hugo, ce combat contre la misère était une nécessité absolue : «La question est dans ceux qui souffrent, dans ceux qui ont froid et qui ont faim. La question est là. ». Il écrira plusieurs discours sur ce sujet, comme celui sur les ateliers nationaux (20 juillet 1848) : « La misère est une maladie du corps social comme la lèpre