Atride Labdacide

coupables d’arrogance, de démesure : c”est le cas des Atrides qui expient le crime de leur aïeul. II- Le mythe d’Electre dans la tragédie grecque A. Une malédiction divine implacable Le mythe d’Electre apparaît dans la littérature grecque dès le VIIIe siècle avant Jésus-Christ et se développe surtout dans trois grandes tragédies du Ve siècle avant Jésus-Christ. L’histoire d’Electre, c”est d’abord une affaire de famille, celle des Atrides, qui doit son nom à Atrée, père d’Agamemnon, tragiquement

Racine, Andromaque 1. Faites une recherche sur les Atrides, la guerre de Troie : Les Atrides : Les "Atrides" nomme les deux fils d’Atrée, Agamemnon et Ménélas, les rois grecs qui, nous dit le mythe, ont pris la ville de Troie, en Asie mineure, avec l’aide d’une armée venue de toute la Grèce. Ce nom, "Atrides", a une résonance à la fois prestigieuse et lugubre. Il note la famille royale la plus noble, qui régnait sur Mycènes : Homère nous raconte qu’elle détenait un sceptre forgé par

Oreste, ambassadeur des Grecs, parvenu en Épire au palais de Pyrrhus, y retrouve un ami fidèle, Pylade. Oreste vient au nom de la Grèce exiger de Pyrrhus qu'il lui livre Astyanax, le fils d’Hector et d'Andromaque. Ce fils doit mourir ; ce n'est encore qu'un enfant mais les Grecs redoutent qu'il ne veuille un jour venger sur eux la défaite de Troie et la mort de son père Hector. Oreste confie toutefois qu'il n'a accepté de mener cette ambassade en Épire que pour une seule raison : revoir Hermione

La tragédie classique met souvent en scène l’accomplissement d’un destin malheureux et fatal des héros par leurs passions. Ainsi dans la tragédie Andromaque de Racine écrit en 1667 durant la monarchie absolue du XVIIème siècle, l’auteur nous montre le conflit de pouvoir entre les princes Grecques ainsi que les passions impossibles des personnages. L’acte 1 de la scène 1 (scène d’exposition) nous présente Oreste comme un personnage tragique en proie à une passion amoureuse. Il se confie à son

LES MOUCHES, Jean Paul Sartre. La situation en Argos évoque au public de 1943 l'occupation allemande de Paris et les dilemmes (subir ? résister ?) qui en découlent. Clytemnestre parle d'une quarantaine, une sorte de peste infectieuse (l'image sera reprise plus tard par Camus). Dans une situation de quasi emprisonnement, seule le retour d'une estime de soi permet à l'homme de se sauver, de se protéger du mal alentour, c'est le de vue existentialiste sur la Liberté que Sartre met en œuvre ici.

à un dieu) Personnages : - Oreste : Membre de la famille des "Atrides", fils matricide d'Agamemnon roi de "Mycènes", et de Clytemnestre, on sait qu'il est le petit frère de Electre qui l'envoya vivre avec son Oncle roi de "Phocide". Il est le personnage principal de la pièce qui revient pour venger son père qui a été assassiné. Au moment de tuer sa mère, il hésite puis la tue. - Electre : Membre de la famille des "Atrides", fille d'Agamemnon et de Clytemnestre, après le meurtre de son père

La malédiction des Atrides Tantale, le fils de Zeus et de la nymphe Plouto, a voulu tester l'omniscience des dieux. Pour cela, il les a invité à un banquet et il a donné à manger son fils Pélops. Mais les dieux ont tout de suite vu la supercherie, mise à part Déméter qui était trop déprimé à cause de l'absence de sa fille Perséphone. Déméter avait même mangé un bout de l'épaule de Pélops. Les dieux redonnèrent la vie à Pélops mais maudire toute la descendance de Tantale. (on remplaça le bout de

« Les Mouches » commence au moment où Oreste revient dans sa ville natale, Argos, qui est envahi par les mouches. Il voyage sous un autre nom, Philèbe, ainsi qu’avec son précepteur. Il voit meurtri un peuple abattu et plein de remords des crimes commis du passé. Même les dirigeants sont empreints à des remords selon leur crimes avoués. Il rencontre Clytemnstre et Egisthe qui sont respectivement sa mère et son beau-père. Ce sont les assassins d’Agamemnon, son père, au retour de la guerre de Troie

faibles. Antoine Adam dit aussi que les personnages sont entrainés par les fatalités de leur sang. Il est vrai que pour Oreste, son destin est écrit dans ses gênes car faisant parti de la famille des Atrides il ne peut qu’hériter d’un destin malheureux, il est victime de la malédiction des Atrides et écope alors d’une folie externe mais aussi interne. Pour les autres personnages cela est différent, ils sont victimes d’une fatalité humaine, interne. En effet, ils sont victimes de leur passion. Celle-ci

que son plan a été divulgué, et cesse de jouer. Iphigénie se soumet à sa volonté non sans lui rappeler l’amour et l’admiration qu’elle a pour lui. Mais Clytemnestre fait éclater de violents reproches, d’amers sarcasmes, attribuant ce malheur aux Atrides, à cette Hélène dont la conduite a toujours été si indigne, au goût du roi pour la gloire ; et elle affirme sa volonté de mère de s’opposer au sacrifice. Scène 5 : Agamemnon, étant seul, se plaint des dieux. Scène 6 : Achille, fou de rage, lui demandant