Atride Labdacide

héroïques comme les Atrides et les Labdacides pour évoquer des problèmes religieux, politiques et philosophiques. Cycles héroïques[modifier] Dynasties des cités[modifier]Les récits se rapportant aux héros trouvent souvent leur cohérence dans leur lien avec une cité, dont ils relatent la fondation et l'histoire de la dynastie royale[93]. Les héros se répartissent ainsi en grandes familles, souvent nommées d'après le héros qui est à leur origine (Labdacos et les Labdacides, Pélops et les Pélopides

lignées héroïques comme les Atrides et les Labdacides pour évoquer des problèmes religieux, politiques et philosophiques. Cycles héroïques[modifier] Dynasties des cités[modifier] Les récits se rapportant aux héros trouvent souvent leur cohérence dans leur lien avec une cité, dont ils relatent la fondation et l'histoire de la dynastie royale93. Les héros se répartissent ainsi en grandes familles, souvent nommées d'après le héros qui est à leur origine (Labdacos et les Labdacides, Pélops et les Pélopides

troyen avec La Guerre de Troie n’aura pas lieu (1935), titre ironique, et la malédiction des Atrides (Atrée est le père d’Agamemnon et donc le grand-papa d’Electre) avec Electre (1937), qui mêle également des éléments sérieux et des éléments comiques. De son côté, Jean Cocteau, dans La Machine infernale (1932-1934) reprend, non sans ironie, la tragédie d’Œdipe-Roi et la malédiction qui pèse sur les Labdacides (Œdipe et son père Laïos descendent de Labdacos, roi de Thèbes). Le titre choisi par Cocteau

Les Perses d’Eschyle, toute la production athénienne du Vème siècle est fondée sur des mythes (dans ce qu’il reste de préservé). L’inspiration puisait venait de deux sources : la mythologie principalement (avec les mythes du malheur des Atrides et des Labdacides) et dans une moindre mesure l’actualité politique. Le susdit auteur ayant combattu dans les guerres médiques, la brutalité des combats et en général la guerre est un thème prépondérant de son œuvre. Chronologiquement, Eschyle fut le premier

un scandale contre nature et est la plus apte à provoquer la terreur et la pitié.· Comme les actes de violence en famille sont relativement rares, Aristote remarque que la tragédie puise ses sujets dans un petit nombre de familles : les Atrides et les Labdacides. Enfin Aristote classe les formes que revêt l'action tragique en fonction de deux autres variables : · le héros agit ou n'agit pas : il commet un acte de violence ou il renonce · le héros sait ou ne sait pas : il agit en connaissance de

son but est d’alors d’être une catharsis pour les spectateurs (regardez ce qui arrivera si vous faites cela). Elle permet d’extérioriser les passions. L'Orestie d'Eschyle et la famille des Atrides : Racontez l'histoire : Les Atrides, sont les descendants d’Atrée le roi de Mycènes, c’est une famille qui est marquée par le meurtre (matricide, patricide, fratricide etc), l’inceste et le viol

contient : - le prologue : un personnage introduit la pièce. - la parodos : entrée en scène du chœur - l’épisode : l’avancée de l’action, le commentaire (3) - l’exodos : fin dénouement Les sujets (quatre types de thème) : - la guerre de Troie - les Atrides - le cycle des légendes de Thèbes (Œdipe) - Hercule et sa légende La fonction politique La confiance grecque se met en place dans la période démocratique. C’est en même temps la parole et la rhétorique. Scènes d’agôn – les scènes typiques de

L’HERITAGE DE LA PENSEE GRECQUE ET LATINEI – Eléments de définition : qu’est-ce que l’Antiquité ? A) Une période historique · Repère temporel et géographique · Grande période rassemblée sous ce nom · Apparition de l’écriture en - 3 000 av. JC à la chute de l’Empire romain en 476 ap. JC · 2 zones géographiques : Grèce et Rome · L’Antiquité se « résume » à ces 2 zones fondamentales comme si le reste n’existait pas = vision occidentale limitée à la culture grecque et latine · L’héritage antique n’est

dramatique, sans quoi rien ne laisserait distinguer une pièce de théâtre du dialogue didactique platonicien et des dialogues philosophiques écrits sur ce modèle, ceux de Cicéron, de Voltaire ou de Diderot. Chaque épisode des aventures des Atrides et des Labdacides est un matériau d’une telle richesse qu’il réclame un art plus profond que celui du conteur pour livrer tous ses secrets. D’où la nécessaire invention du théâtre. Mais il s’agit alors de passer de la « diégésis » (imitation par le récit raconté)

Aristote, Poétique, op. cit., 1449a, pp. 36-37. Les tragiques grecs n'inventent pas le matériau mythique sur lequel ils travaillent : Eschyle et Sophocle reprennent les mêmes mythes relatifs aux grandes familles légendaires que sont les Atrides à Mycènes, ou les Labdacides à Thèbes. Mais ils en donnent des versions tout à fait différentes et originales. Il est impossible de savoir comment est née la légende d'Oedipe et quel stade elle avait atteint à l'époque où les dramaturges l'ont adaptée au théâtre