Attentes Du Lecteur De Roman

de roman, d Le personnage nos jou e u X VII siècle à rs 2. Le personnage de roman au XXe siècle Groupement 1 L’héroïsme en question ....................................................................... 37 J. de la Ville de Mirmont, Les Dimanches de Jean Dézert E La médiocrité d’un héros de roman .. 37 J. Genet, Journal du voleur E La glorification des marginaux ........................................................... 38 L.-F. Céline, Voyage au bout de la nuit E La lâcheté

L’extrait que nous allons étudier s’inscrit lors du tournoi de Noauz, Lancelot est bridé par sa dame qui lui demande de faire au « noauz ». Le héros du roman est donc de nouveau mis à l’épreuve, et doit connaître l’humiliation pour se voir attribuer l’honneur et l’amour de Guenièvre. Ce passage n’est pas dénué d’un certain effet de suspens, le lecteur s’attend à voir le protagoniste agir en héro brave. La qualité du héros s’accompagnait en effet jusque-là par ses qualités guerrières comme on peut le

Seulement, Tertuliano n'aurait jamais pu prévoir la difficulté à laquelle il serait confronté lorsque ce dernier décida d'entrer dans la vie de celui qui allait remettre en cause son unicité. José Saramago, prix Nobel 1998, nous offre un très bon roman. Le problème de l'identité de soi est présenté de façon intéressante, cependant je suis restée un peu sur ma faim au niveau du contenu malgré un style très particulier, propre à Saramago : des phrases rythmés par de nombreuses virgules et très peu

Yohann Wyssbrod 206 Dissertation français « Tout est bien qui fini bien » dit le bon sens. En effet, les lecteurs apprécient les histoires se terminant de maniére heureuse car elles sont plus agréables à lire qu'une fin malheureuse d’ailleurs le succès des films hollywoodien, les « HappyEnd », ou les contes de fée en sont un bon exemple. Mais ce n'est pas pour autant que les histoires

français du XXème siècle, pour qui le rôle de la littérature dans la formation était primordial. Il nourrissait de grandes inquiétudes concernant la pérennité de la civilisation, rappelant à l’homme qu’il est mortel. Il avait de grandes attentes concernant ses lecteurs, et a ainsi écrit à leur propos : « J'aime mieux être lu plusieurs fois par un seul qu'une seule fois par plusieurs. ». Il exprime dans cette phrase son opinion personnelle, sa préférence en tant qu'auteur. Pour lui, la relecture d'un

hors de ce monde les espérances qui donneraient un sens à la vie. Dans le roman L’étranger, Camus illustre aussi cette théorie de l’absurde. Meursault est un homme qui, dans la première part du roman, vit dans un état d’innocence enfantine: comme un enfant, il ne fait que de suivre ses propensions momentanées; comme un enfant, il est incapable de mesurer les conséquences de son comportement et inapte de deviner les attentes des autres. Il s’occupe peu des règles de la société, il ne joue pas le jeu

son nom à une doctrine personnelle, la philosophie de l’absurde. Auteur engagé, il s’est adonné à différents genres littéraires et a rédigé la trilogie de l’absurde, comprenant une pièce de théâtre (Caligula), un essai (Le mythe de Sisyphe) et un roman (L’étranger). Parmi ses nombreuses œuvres, on retiendra également La peste (1947, allégorie de tous les maux de l’homme : violence, orgueil, égoïsme,…), Les justes (1949, pièce de théâtre) et L’homme révolté (1951, thème de la révolte très important

On s’est déjà tous retrouvé sur une île déserte, au pilotage d’un Boeing A480, en train de sauver une jeune fille ou un jeune homme. Bien qu’argumentatif, la littérature fait rêver les lecteurs de tous âges, soit en se retrouvant dans les bras d’une personne tant désirée, soit en se mettant dans la peau d’un James Bond. Rêver serait le but de la littérature ? La réflexion ne serait pas plutôt la fonction principale ? Nous pouvons penser dans un premier temps que les livres nous font rêver mais nous

souffrance, et même pire, chacun a trouvé pour seule échappatoire de faire souffrir à son tour ceux qui l'entourent. Peut-être pour équilibrer la balance sadisme-masochisme de toutes ces relations bancales. Mais s'il est certain que l'identification lecteur-personnage est le moteur de la lecture, dans le cas présent le seul masochisme consiste à poursuivre jusqu'à la dernière page, pour constater que si le début est irritant, la fin est carrément incohérente, l'auteur fidèle à ses créatures ne pouvant

I. Mise en place d’un personnage. | II. Une entrée en scène qui suscite l’intérêt du lecteur : l’illusion du réel. | III. Une première page qui programme la suite du roman : thèmes, déroulement de l’intrigue | 1) Le personnage a) Identité *Nom : Gervaise (1er mot) que son prénom (qui est populaire) pour se familiariser. *Famille : -Lantier ( nom de famille), père de ses enfants et aman. Pas de titre ni de richesse car il n’a pas M. -Ses