Au Bonheur Des Dames La Mort De Geneviève

TCHAMBAZ Lydia 2nde 2 FICHE DE LECTURE Au Bonheur des Dames, Émile Zola. I. Présentation de l’œuvre. Au Bonheur des Dames est un roman d’Émile Zola publié en 1883, le onzième volume de la suite romanesque Les Rougon-Macquart (1871). À travers une histoire sentimentale à l’issue inhabituellement heureuse, le roman entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l’une des innovations du Second Empire. II. Biographie de l’auteur. Émile Zola, de son vrai nom Émile Édouard Charles Antoine

le champ lexical de l’obscurité. Le lit semble absorber le corps de Geneviève, comme un tombeau, à tel point " qu’on ne sentait même plus la forme et l’existence d’un corps ". 2) Les signes de la maladie Zola accumule les notations réalistes (" maigres bras ", " l’haleine courte ", " les mains toujours errantes ", " les joues creuses ", etc.). 3) Une précision médicale On note certains détails (ainsi des membres de Geneviève parcourus de " mouvement de recherche anxieuse et inconsciente ") qui

de 587 210,30 francs, " la recette la plus forte que le "Bonheur des Dames" eût faite ". - En fin d'après-midi, une foule envahit le magasin sous le soleil couchant. Février 1869, chapitre 14 : grande vente de blanc et inauguration de la façade du magasin. L'homme monte une recette de plus d'un million. Il y a eu nécessité de faire circuler la foule qui, dès le matin, a envahi le magasin. En octobre 1864, le " Bonheur des Dames " étale ses vitrines le long des rues de la Michodière et

Emile Zola écrit son roman Au Bonheur des Dames en 1883. C’est le onzième tome des Rongon-Macquart. Ce livre présente la création de l’ascension des grands magasins à Paris dans les années 1860, ainsi que la faillite des petits commerces qui en sont la conséquence. Denise Baudu, jeune vendeuse originaire de Province et Octave Mouret, patron du Bonheur des Dames, en sont les témoins privilégiés. D’une part, Zola décrit les avantages nombreux des grands magasins. Mais d’autre part, l’auteur dénonce

Au Bonheur Des Dames, Commentaire de Texte Chapitre XIII, Emile Zola INTRODUCTION : Cet extrait appartient au chapitre XIII du roman d’Émile Zola, « Au Bonheur des Dames ». Zola est considéré comme le représentant du naturalisme, c'est l'un des romanciers français les plus populaires, les plus publiés, traduits et commentés au monde. Dans le roman « Au Bonheur des Dames » Zola entraîne le lecteur dans le monde des grands magasins, l’une des innovations du Second Empire à travers une histoire d’amour

Emile Zola Emile Zola est né à Paris le 2 Avril 1840 et il est mort le 29 septembre à Paris également. C’est le chef de file du naturalisme. Il a écrit des romans comme « Germinal » en 1885 mais aussi de essais comme « le roman Expérimental » en 1880. Il a été très impliqué dans la société avec la lettre « J’accuse » publié dans l’Aurore en rapport avec l’Affaire Dreyfus, ce qui lui a valu un procès et un exil en 1898. Pour Zola, l’homme est déterminé par les « lois de l’hérédité

Au Bonheur des Dames La dynastie des Lhomme : -Mme Aurélie : employée du « Bonheur », première (chef de rayon) au rayon confections, femme de M Lhomme - M Lhomme : employé du « Bonheur », premier caissier, mari de Mme Aurélie -Lhomme Albert : employé du « Bonheur », caissier puis renvoyé, fils des Lhomme Les Baudu : -M. Baudu : oncle de Denise, tient une boutique de tissus -Colomban : employé des Baudu -Denise : normande, 20 ans, employée du « Bonheur », vendeuse au rayon confections puis renvoyée

Résumé Au bonheur des Dames. Chapitre 10 : Denise à une entorse à la cheville, elle est bloque dans sa chambre depuis le jeudi. Alors qu’elle descendait pour travailler, Mme Cabin lui donne une lettre de Mouret l’invitant à dîner le soir même avec lui. Elle le dit à Pauline, qui le dit à Deloche, mais quelqu’un entend et à la fin tout le magasin le sait. C’est l’inventaire du magasin, donc il est fermé. Denise inscrit juste les articles appelé, comme elle ne peut pas marcher. Alors que Mouret et

une teinturerie, vient de décéder a cause d’une maladie qui a aussi tué leur mère un an plus tôt. En arrivant a Paris, quand ils cherchaient la maison de leur oncle, les trois jeune personne s’arrêtèrent devant un magasin qui se nommait « Au Bonheur des Dames. » Denise était absorbé par ce magasin. Ils oublièrent un instant L’oncle Baudu. Jean commença a s’ennuyer et demanda la rue Michodière, quand ils allèrent dans cette rue la vitrine continuait et les mannequins des vitrines attirèrent les yeux

la place Gaillon, la haute porte, toute en glace, montait jusqu’à l’entresol, au milieu d’une complication d’ornements, chargés de dorures. Deux figures allégoriques, deux femmes riantes, la gorge nue et renversée, déroulaient l’enseigne : Au Bonheur des Dames. Puis, les vitrines s’enfonçaient, longeaient la rue de la Michodière et la rue Neuve-Saint-Augustin, où elles occupaient, outre la maison d’angle, quatre autres maisons, deux à gauche, deux à droite, achetées et aménagées récemment. C’était