Au bord du lit

Philippe est allongé sur son lit et il a ses deux mains sur son nez et à côté de lui sur le fauteuil près de la fenêtre il y a sa grand-mère qui lit un livre sur sa tablette tactile. Je m’approche et je me place face à Philippe au bout du lit. « -Bonjour Philippe, bonjour madame !! Comment vas-tu aujourd’hui ? Qu'est ce qu'il t'arrive ?, dis-je.  - Bonjour, heu…là je saigne du nez, et ça ne s’arrête pas. » Tout en me parlant Philippe s’est assis au bord de son lit et a baissé ses mains,

ANALYSE PRATIQUE Toilette complète au lit L'hygiène corporelle est un soin qui permet d'être propre et de protéger ses téguments, c'est un facteur de bien être physique et moral de la personne soignée, elle permet également l'observation et la relation, afin de recueillir un certain nombre de données qui permettent de juger l'êtat général du malade. C'est un soin qui fait parti de la compétence 3 : «accompagner une personne dans la réalisation de ses soins quotidiens» ainsi que

des lainages pour qu'elles ne prennent pas froid ou des laits de poule pour les rendre fortes ; mais à quatre heures du matin tu dors, vieille bête, tu dors, toi qui ne peux pas fermer l'œil, et tu les laisses filer, marmotte, et quand tu arrives, le lit est froid ! » Voilà ce qu'elle me dira ta mère, là-haut, quand j'y monterai, et moi j'aurai honte, honte à en mourir si je n'étais pas déjà morte, et je ne pourrai que baisser la tête et répondre : « Madame Jocaste, c'est vrai. » ANTIGONE: Non,

 Les faisceaux lumineux qui la traverse se  croisent et convergent au même endroit. Quand on lit un texte avec  cette lentille et qu’on la recule le texte grossit. C’est le principe de la  loupe. Cette lentille a une forme ovale, elle est bombée des deux  côtés ( mettre une image de la lentille bombée sur le diapo+le  symbole).  ● La lentille divergente:​  Les faisceaux lumineux qui la traversent  s’écartent, ils divergent. Quand on lit un texte et qu’on la recule le  texte rétrécit. Cette lentille est creuse des deux côtés (mettre une 

Sous le fardeau de ta paresse Ta tête d'enfant Se balance avec la mollesse D’un jeune éléphant, Et ton corps se penche et s'allonge Comme un fin vaisseau Qui roule bord sur bord et plonge Ses vergues dans l'eau. Comme un flot grossi par la fonte Des glaciers grondants, Quand l'eau de ta bouche remonte Au bord de tes dents, Je crois boire un vin de bohême, Amer et vainqueur, Un ciel liquide qui parsème D’étoiles mon cœur ! Charles Baudelaire Aux flancs du vase (1898) Au

pour le combler. Il écoutait la radio, s’accordait de petits sommes et de longues séances de méditation. La vie n’était pas si désagréable. Un soir, il posa son livre et se déshabilla. Il éteignit la lumière et ouvrit la fenêtre. Assis au bord du lit, il contempla un moment le plancher. Puis, il s’allongea, les mains croisées derrière la nuque. Un courant d’air froid lui parvenait de la fenêtre ; il tira les couvertures sur sa tête et ferma les yeux. Tout était calme .Il entendait le

mythologique qui met en scène Vulcain avertit de l'adultère de sa femme Vénus intervient dans le but de surveiller sa femme tandis que Mars l'amant est caché sous la table et se fait aboyer par le chien. Vénus elle est nue allongée sur le lit et Vulcain, un genous sur le lit lui, soulève le drap qui dissimule le sexe de sa femme. Puis nous pouvons également voir en arrière plan Cupidon qui dort dans son berceau. Attardons nous maintenant sur la vision et l'interprétation détaillée de ce tableau par Daniel

effectuer les soins de la vulve. Ce soin s’exécute sur le bassin dans le lit, par l’infirmière assisté par une aide soignante. A la fin de ce soin, l’infirmière partit de la chambre, je propose a Mme G. de se lever et de passer dans le cabinet de toilette pour faire sa toilette au lavabo. Elle acquiesce, me demande de l’aidé à sortir du lit car n’y arrive pas toute seule. Je lui tends mon bras et lui demande de s’assoir au bord du lit, ce qu’elle fait mais se met à pleurer. Je lui demande ce qui ne va

Ce tableau est une représentation de l’empereur Marc-Aurèle sur son lit de mort, avec son fils Commode et certains de ses amis philosophes. Au centre du tableau se trouve l’empereur Marc-Aurèle, le visage pensif, avec des yeux bleu, une peau ridé, une barbe et des cheveux noir qui commencent à devenir gris, avec un voile rouge/marron sur l’arrière des cheveux. Il est adossé à des coussins, tourné vers le côté gauche du tableau, avec un drap marron bordé d’or qui lui recouvre ses jambes recroquevillées

Coupable : Parce-que deux témoins l'ont vu, et entendu. référence : Une femme l'aurait vu de l'autre bord de la rue, carrément poignarder son père. Et un homme l'aurait entendu dire je vais te tuer, entendu le corps tomber par terre, et vu courir dans les marches. Coupable : Il a sans cesse été frappé par son père, a coups de poing depuis qu'il à 5 ans… Alors il pourrait avoir reçu un coup de trop et s'avoir révolté puis avoir voulu se venger, ce qui pourrait être un motif du meurtre. Puis il