Au clair de la lune

Claire Randall, jeune infirmière, retrouve son mari Frank dans un village écossais pour leur lune de miel. Alors qu'elle se promène dans la lande, elle découvre un site mégalithique où les villageoises se réunissent en secret pour y célébrer d'étranges rites. Fascinée, elle s'approche d'un grand menhir fendu... et se volatilise ! Quand elle reprend conscience, elle est entourée de combattants en pleine action. Et curieusement, l'un d'entre eux est le sosie de son époux. A sa grande stupeur, elle

troisième champ sémantique, la nuit qui tombe, est caractérisé par les termes suivants : "lune" (ligne 17), "nuage étoilé" (ligne 19), "mornes statues" (ligne 30), "clair de lune" (ligne 38), "jeune muguet" (ligne 39). A la tombée de la nuit la lune éclaire le paysage, tout prend une couleur blanche. Par exemple, Alfred de Musset écrit : "blancs escaliers". De plus le mot "jeune muguet" rappelle la couleur dorée de la lune. Tous ces mots illustrent un moment défini de la journée. La description de la vie

quelque étang Reste encor quelque flot, ce ne sera que sang ; La mer deviendra flamme : et les sèches baleines, Horribles, meugleront sur les cuites arènes ; En son midi plus clair le jour s'épaissira, Le ciel d'un fer rouillé sa face voilera ; Sur les astres plus clairs courra le bleu Neptune; Phoebus s'emparera du noir char de la Lune ; Les étoiles cherront. Le désordre, la nuit, La frayeur, le trépas, la tempête, le bruit, Entreront en quartier ; et l'ire vengeresse Du juge criminel, qui jà déjà nous

dans ce Tout ? Déjà commencer par l'étendue qu'il peut appréhender physiquement avec ses sens, c’est-à-dire du 1/10e de millimètre à environ une centaine de kilomètres lorsqu’il est sur une montagne par temps clair. Depuis peut la limite et d’environ 400 000 Km pour ceux qui sont allés sur la Lune. On voit que l’écart est de 10 -7 à 10 8 si l’unité de mesure est le mètre. Il n’est que de 10-12 seconde-lumière, soit presque rien, à 100 seconde-lumière si l’on prend comme référence la vitesse de la lumière

pour lui demander de venir d'urgence, en Inde, afin de lui bâtir un immense palais, tout en chocolat. Et M. Wonka l'a-t-il bâti, grand-papa? Il l'a bâti. Et quel palais! Il comptait une centaine de chambres, et tout y était en chocolat, tantôt clair, tantôt sombre! […]. Roald Dahl Charlie et la chocolaterie, p. 23 Les titres (ne prennent pas de point) de préférence alignés contre la marge de gauche, le titre peut être centré s'il est encadré. Mises en évidence des titres (cf. p

personnage traditionnel : "rêveur lunaire" "gaieté" "riait aux aïeux". _On retrouve aussi la blancheur habituelle de Pierrot : "spectre mince et clair" "lunaire" "éclair" "pâle" "linceul" "blanche" "farine" "exsangue".----> La blancheur connote l'innocence, l'enfance et la naïveté. _On retrouve des allusion à la chanson Au clair de la lune : "du vieil air" "chandelle…morte" _On retrouve aussi le caractère maladroit et naïf "des signes fous"(ridicule) II. Le Pierrot du présent On voit

-Je vois. Et il avança vers elle mais avant d’être trop près pivota pour marcher à une distance normale. --*Chapitre – 3*-- Sous le clair de lune Sous les arbres, il ne voyait pas distinctement la fille. « Heureusement, se dit-il, si elle est laide, je risque de regretter et si elle est jolie, je la verrai mieux à la lumière. » C’était la pleine lune ce soir-là, il pensait à toute les fois, où, quand il était pris d’un coup de blues en été, il s’asseyait sur la terrasse et regardait la

texte de B. par rapport à un texte de prose "normal" ; Remarques sur le vocabulaire employé, les figures de style (personnification, accumulations, anaphore, etc.). 4. Vers le commentaire d'un texte poétique. Dominante : Lecture V. Hugo, "Clair de lune", Les Orientales, X Se familiariser avec les notions d'axes de lecture et mobilisation de diverses connaissances pour les commenter. Lecture et explication du vocabulaire difficile du poème ; On dégage le thème du poème ; On dégage la structure

poète reprend trois poèmes déjà publiés dans la première édition des Salaziennes : « Bonsoir », « Les cloches du soir » et « Calme en mer ». « Les cloches du soir » sont alors devenues « La cloche du soir », et « Calme en mer » est intitulé « Lever de lune ». Quant à « Bonsoir », il est quasiment reproduit à l’identique. Aucun des vingt-sept autres poèmes des Salaziennes n’apparait dans Poèmes et paysages, tandis que de nouvelles compositions (cinquante-sept) sont ajoutées dans le second recueil.

contraste entre la guerre et l'espoir du renouveau : « dorées – blanches – genêts – pain blanc – soleil – lune - aurore = soleil moisi -lune vivante ». Ce poème fait appel à tous nos sens, par l'évocation d'éléments concrets. C'est un réveil à la vie. L'enchaînement des mots et des images conduit au rêve, à l'imaginaire de la poésie surréaliste qui est en soi une libération . Roussel Claire 3°4