Au clair de la lune

principe de vie : Et, comme un corps humain est tout mort terrassé Dès que du moindre coup au coeur il est blessé, Ainsi faut que le monde et meure et se confonde Dès la moindre blessure au soleil, coeur du monde. La lune perd l’argent de son teint clair et blanc, La lune tourne en haut son visage de sang ; Toute étoile se meurt : les prophètes fidèles Du destin vont souffrir éclipses éternelles. Tout se cache de peur : le feu s’enfuit dans l’air, L’air en l’eau, l’eau en terre ; au

aux mouvements littéraires et artistiques du passé dans "Alcools", en mettant l'accent sur les exemples concrets du livre :· Le symbolisme : Par exemple, dans le poème "Clair de lune", Apollinaire s'inspire du symbolisme pour créer une atmosphère onirique et suggestive, utilisant des images et des symboles évocateurs.Citation"Lune mélifluente aux lèvres des démentes "· Le romantisme : Par exemple, dans le poème "Le pont Mirabeau", Apollinaire fait écho à l'esprit romantique en utilisant le pont comme

toutes les saisons, Pour nous revoir avaient fait quelques lieues, Adieu maison. Adieu vergers, les caveaux et les planches Et sur l'étang notre bateau voilier, Notre servante avec sa coiffe blanche, Adieu vergers. Adieu aussi mon fleuve clair ovale, Adieu montagne! Adieu arbres chéris! C'est vous qui êtes ma capitale Et non Paris. Max JACOB J’arrive où je suis étranger Rien n'est précaire comme vivre Rien comme être n'est passager C'est un peu fondre comme le givre Et pour

Quand j’entre dans une forêt, j’entre dans un monde, et presque malgré moi, à la lisière entre le clair et l’obscur, je m’incline. Mes genoux cèdent et ma tête se courbe. Comme lorsque j’entre dans une église. Je deviens silence… Je salue. Je ne peux aujourd’hui franchir l’orée d’un bois sans que quelque chose en moi se transforme à l’instant. Mes sens s’éveillent. La joie pointe. Je me surprends à sourire, à frémir. Enfin !  Je suis là. Je respire. Ma révérence consacre l’espace qui, en retour

yeux assimilés à d étoiles puis R l évoque c. un lumineux ange. On retrouve métaphore lumière, éclat présente pdt scène bal » quelle lumière…lève toi clair soleil ». La transformation de J. en femme traduite par 1 changement d’astre. J. placée ss signe de la lune, pureté d’1 vestale or ici R. la place sssigne du soleil et en + l’oppose à la lune caractérisé par termes dépréciatifs « envieuse » « malade » « pale » « verte » « folle », tournures restrictives employées « sa robe … ». Ts les verbes

anaphore de « chant » + « chanter » : inquiétant , car nous sommes au cœur d'une nuit lourde, étouffante (« sans air »). -Impression visuelle : éclairage froid, sans douceur : « plaque », « métal », »découpures »+ contraste du clair-obscur (voir la rime des vers 1 et 2 : « clair »/ »sombre »=antithèse). -Les sonorités du poème : allitération en (R) qui assimile le chant au coassement du crapaud. 2) Les symboles Les éléments du décor peuvent symboliser la mort : -Sens premier, v.5 : « enterré là, sous

Au clair de la lune Au clair de la lune, Mon ami Pierrot Prête moi ta plume Pour écrire un mot Ma chandelle est morte Je n'ai plus de feu Ouvre-moi ta porte Pour l'amour de Dieu ! Au clair de la lune Pierrot répondit Je n'ai pas de plume, Je suis dans mon lit Va chez la voisine Je crois qu'elle y est Car dans la cuisine On bat le briquet. Au clair de la lune L'aimable Lubin Frappe chez la brune Ell' répond soudain

fin les mensonges ne me font plus peur.....................................92 Au tournant d'une rue je vis des matelots..........................................93 Templiers flamboyants je brûle parmi vous......................................94 CLAIR DE LUNE.............................................................................95 1909...................................................................................................96 ii Table des matières Alcools A LA SANTÉ............

discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du monde Et de ton sein je suis avide. Ils me disent que tu es brune, Qu'une brune a des yeux de braise Et qu'un cœur qui cherche fortune S'y brûle... Ô la bonne foutaise ! Ronde et fraîche comme la lune, Vive ta gorge aux bouts de fraise ! Ils me disent de toi, châtaine : Elle est fade, et rousse trop rose. J'encague cette turlutaine, Et de toi j'aime toute chose De la chevelure, fontaine D'ébène ou d'or (et dis, ô pose- Les sur mon cœur)

cercle où siégeaient leurs mères et leurs pères, et, de temps en temps, un loup plus âgé se dirigeait tranquillement vers un petit, le regardait avec attention, et regagnait sa place à pas silencieux. Parfois une mère poussait son petit en plein clair de lune pour être sûre qu’il n’avait point passé inaperçu. Akela, de son côté, criait : — Vous connaissez la Loi, vous connaissez la Loi. Regardez bien, ô loups ! Et les mères reprenaient le cri : — Regardez, regardez bien, ô loups ! À la in (et Mère