Au grand balcon

L’ornementation devient omniprésente mais sans accumulation ni surcharge. On peut y voir des volutes, des motifs végétaux ou animaux (qui rappelle l’ornementation intérieur des hôtels particuliers). Portes, fenêtres et lucarnes se cambrent et les balcons fait de courbes et contre-courbes contribuent à faire de cette époque l’âge d’or du fer forgé. Les portes cochères, souvent centrales, s'assouplissent et s’ornent de motifs et de heurtoirs de plus en plus travaillés. Les linteaux horizontaux se

caractéristiques : ils sont très haut, ils ont des balcons, au réez de chaussée il y a les magasins, les façades sont en pierre de taille. Dans un immeuble haussmannien il y a 5 étages et chaque étage à sa classe sociale. La chanson Les cinq étages chantée par Germaine Montero (1909-2000) et écrite par Pierre-Jean Beranger (1780-1857), la chanson parle d’une femme qui monte tous les étages, plus précisément elle descend de classe sociale, cette chanson a eu un grand succès à cette époque. Les plus riches habitaient

Les Choux de Créteil sont un grand ensemble signé par Gérard Grandval à Créteil, dans le Val-de-Marne, de 1969 à 1974. Ce programme était considéré à l'époque comme un des symboles de l'architecture française des années 1970. Dix tours rondes de 15 étages constituent l'élément essentiel de ce grand ensemble. Leur forme, semblable à un chou-fleur en raison des balcons, donne son nom, ou plutôt son surnom, à ce quartier. Ces balcons, dans l'idée de l'architecte, étaient destinés à

niveau et en continuité Pas de décors saillants sur les façades Combles à la Mansart (Mansardes) / Œil de boeuf Répétition, régularité, sobriété, symétrie Angles arrondis ou coupés (typiquement Haussmanniens) Architectures Haussmanniennes Paris : Les grands boulevards Architecture éclectique Le nouveau règlement de 1882 autorisant sur les bâtiments la présence d’oriels (ou bowwindows), suivi de celui de 1884 qui autorise une hauteur supérieure aux combles, va progressivement mettre un terme à ce demi-siècle

appartient donc au milieu ouvrier. Le boulevard extérieur est un quartier dangereux de Paris (boulevard de la Chapelle, de Rochechoir). Gervaise vit donc dans un quartier bien réel de Paris que l’on appelle la " Goutte d’or ". " Hôtel boncoeur ", " le grand balcon ", " le Veau à deux têtes ", " Mont de Piété " : tous ces noms donnent une impression de réel. II) L’incipit naturaliste     Le narrateur s’efface et propose une délégation de point de vue à son personnage, ici Gervaise. Elle est dans une attente

édition des Fleurs du Mal (1868), le thème du soir n’apparaît que dans 13 pièces proposées par les morceaux choisis. C’est peu si l’on considère le nombre ; c’est beaucoup si l’on pense que le soir n’est qu’un thème d’inspiration et non pas l’un des grands sujets qui donnent leur nom aux diverses sections du recueil, "Spleen et Idéal" étant d’ailleurs de loin la plus riche avec 85 poèmes. Ce thème est naturellement évoqué par des mots appropriés qui reviennent plus ou moins souvent. On ne trouve

Gervaise appartient donc au milieu ouvrier. Le boulevard extérieur est un quartier dangereux de Paris (boulevard de la Chapelle, de Rochechoir). Gervaise vit donc dans un quartier bien réel de Paris. Tous les noms comme " Hôtel boncoeur ", " le grand balcon ", " le Veau à deux têtes ", " Mont de Piété " nous donnent une impression de réel. II. L’incipit naturaliste Le narrateur s’efface petit à petit pour faire croire au lecteur une situation réel et propose une délégation de point de

souffrant d'un manque affectif de ses parents. Seul, elle joue dans sa chambre. Elle se couche sur son lit, contemple son plafond et parle. La fillette pleure très souvent. Ses parents ne la regardent pas, ne l'écoutes pas. Il vouent touts deux une grande admiration pour son frère, peu intellectuel. Maria est une fille sensible dôté d'une capacité à résoudre n'importe qu'elle problème de maths. La petite fille est une surdoué. Son père la frappe sans cesse car il ne veut pas croire en elle. Chez elle

Un Balcon en forêt : p.136 « Après la visite […] » à p.139 « […] leur façon de déserté. » Un Balcon en forêt a notamment été reconnu, pour avoir un cadre spatio-temporel identifiable. C’est le premier ouvrage de Gracq qui a pu être assimilé au réalisme par les critiques. Ce que Gracq a toujours réfuté puisqu’il s’est décrit comme « foncièrement allergique au réalisme ». Le passage étudié se déroule lors de la visite du capitaine au blockhaus, après le refus de mutation de Grange que le capitaine

campagne d’Haussmann pour la rénovation de la capitale est intitulée « Paris embellie, Paris agrandie, Paris assainie ». Haussmann redessine progressivement le nouveau Paris en entreprenant des grandes modifications. Il a le « culte de l’axe » comme l’on disait au 19ème siècle,  c’est à dire qu’il perce des grandes lignes droites et met en scène de vastes perspectives sous forme d’avenues ou de vastes places. L’exemple le plus célèbre étant la place de l’Étoile (photo power point) d’où partent 12 avenues