Au nom de la vérité

esprit, comme un sous-entendu aussi perfide qu'inévitable. Mais je ne veux, pour le présent, tenir compte que de la grande vérité oubliée, - la perversité primordiale de l'homme, - et ce n'est pas sans une certaine satisfaction que je vois quelques épaves de l'antique sagesse nous revenir d'un pays d'où on ne les attendait pas. Il est agréable que quelques explosions de vieille vérité sautent ainsi au visage de tous les complimenteurs de l'humanité, de tous ces dorloteurs et endormeurs qui répètent sur

ingénus, je me dis Qu’elle m’écoutera sans déplaisir sans doute ; Et vraiment je ne veux pas d’autre Paradis. XV, La bonne chanson, Verlaine J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère, Habite en ce cœur tout à vous, Mon cœur uniquement jaloux De vous aimer et de vous plaire ; Et je tremble, pardonnez-moi

Truth Commission for El Salvador », in Neil J KRITZ (ed.), Transitional Justice, op. cit., vol. 1, p. 292-325 (extrait de l’article du même nom publié dans Vanderbilt Journal of Transnational Law, 27 (3), 1994. Th. Buergenthal avait notamment été juge et président de la Cour interaméricaine des droits de l’homme de 1979 à 1991, puis membre de la Commission Vérité du Salvador (1991-1993). Il a été élu à la Cour internationale de Justice en 2000. 10. Theo VAN BOVEN, « United Nations Commission on Human

1984George Orwell, de son vrai nom Eric Arthur Blair (1903-1950), publie en 1949 un roman clé de la littérature du XXe siècle, 1984. C’est son plus célèbre roman, considéré comme une référence dans les romans dystopiques et même du genre de la science fiction en général. Orwell est inspiré par un livre écrit en 1920 du nom de Nous Autres, de Levgueni Zamiatine qui relate semblablement la même histoire si l’on y fait pas attention. Cependant, l’oeuvre d’Orwell est unique en son genre, par son

négatif. Ces chartes insistent tout d'abord sur le respect nécessaire de la vérité. Un journaliste, stipulent-elles, ne doit pas user de moyens déloyaux : mensonge, déformation de faits ou de documents, accusations sans preuves. Mais si tous les documents s'accordent pour faire de la vérité un impératif essentiel, certains notent l'imprécision de ses contours. J.C. Guillebaud affirme que le rapport du journaliste avec la vérité n'est pas chose simple, notamment en raison du temps qui lui est imparti

L'illusion et la vérité sont deux termes paradoxaux, l'un qui fait office de réalité, c'est à dire la vérité et l'autre qui fait office d'imagination. Or ces deux termes ne peuvent être utilisés en même temps puisqu'ils sont paradoxaux sauf dans le cas où l'illusion peut se confondre à la vérité. L'illusion est donc synonyme dans ce cas de vérité. C'est pourquoi nous dirons que la vérité est la réalité. Problématique : Faut-il préférer l'illusion pour être heureux ? Qu'est ce que l'illusion

la persévérance doit reposer sur cette fondation-là. Je ne peux persévérer que quand je suis établi dans le roc qui est Jésus-Christ, fondé sur Lui et sur sa Parole. Il est la vérité, sa Parole est la vérité, et si je persévère dans l'erreur, je ne vais pas arriver au but, il faut que je persévère dans la vérité, c'est-à-dire en Christ et en sa Parole, il a tout prévu pour que je puisse persévérer jusqu'au bout. Il a prévu de me soutenir, il a prévu de me nourrir, il a prévu de se révéler à

le lien de droit qui existe entre le père ou la mère et son enfant, c’est la paternité ou la maternité. La filiation, selon le Doyen Carbonnier, c’est avant tout le moyen technique de désigner des titulaires pour le contrôle de la progéniture, de nommer ceux qui sont les plus aptes à assurer la socialisation de l’enfant, à le pousser en avant par l’autorité parentale et l’héritage. Et déjà, nous comprenons que la filiation est un lien hautement complexe dans lequel l’institution publique n’a qu’un

d’automne Le 12 décembre 2008 Le film américain la matrice réalisé par les Frères Wachowski, sorti en mars 1999 au Canada. Dans science-fiction, Thomas Anderson, un jeune informaticien connu dans le monde du piratage informatique sous le nom de Néo, est contacté via son ordinateur par ce qu’il pense être un groupe de pirates informatiques. Ils lui disent que le monde dans lequel il vit n’est qu’un monde virtuel dans lequel les êtres humains sont gardés sous contrôle. Morpheus, le chef de

raconter ma vie »), de lui donner du sens. Il affiche donc clairement la volonté d’écrire son autobiographie. Lignes 4 à 6 « À coup sûr, j’ai composé l’an dernier un compte rendu officiel de mes actes, en tête duquel mon secrétaire Phlégon a mis son nom. » Hadrien rappelle un premier essai d’écriture biographique. Le fait qu’il le désigne comme «