Au Printemps Maupassant

que celle de Noé. Je crois que cette situation "absolue" donnera beaucoup de relief à l'ouvrage. Ah! mon cher Hetzel, si je ratais ce livre-là, je ne m'en consolerais pas. Je n'ai jamais eu un plus beau sujet entre les mains. » C'est seulement ce printemps-là de l'année 1868 que Verne trouva le titre définitif de son œuvre ; il avait hésité auparavant entre Voyage sous les eaux, Vingt mille lieues sous les eaux, Vingt-cinq mille lieues sous les océans, Mille lieues sous les océans... Cependant, la

bon matelot mais brutal, fréquentait le cabaret du père Auban où il buvait aux jours ordinaires quatre ou cinq petits verres de fil [eau-de-vie] et aux jours de chance à la mer, huit ou dix, ou même plus suivant sa gaieté de cœur, disait-il. » (Maupassant, Le Noyé.) Trouvons 3 noms, 3 verbes, 3 adjectifs, 3 articles, 3 pronoms – dans l’ordre où ils se présentent. Noms : Patin (nom propre), matelot, cabaret. Verbes : fréquentait, buvait, disait. Adjectifs : bon, brutal, ordinaires. 10 © Groupe Eyrolles

bon matelot mais brutal, fréquentait le cabaret du père Auban où il buvait aux jours ordinaires quatre ou cinq petits verres de fil [eau-de-vie] et aux jours de chance à la mer, huit ou dix, ou même plus suivant sa gaieté de cœur, disait-il. » (Maupassant, Le Noyé.) Trouvons 3 noms, 3 verbes, 3 adjectifs, 3 articles, 3 pronoms – dans l’ordre où ils se présentent. Noms : Patin (nom propre), matelot, cabaret. Verbes : fréquentait, buvait, disait. Adjectifs : bon, brutal, ordinaires. 10 © Groupe Eyrolles

créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés. Puis Robineau baisse. Et ainsi de suite. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie mais Robineau a perdu beaucoup d'argent. Au printemps, Mouret achète l'hôtel Duvillard qui se trouve entre la boutique de Bourras et le « Bonheur ». Bourras, lui aussi est en pleine lutte avec Mouret pour lui prendre des clientes mais comme avec Robineau, c'est Mouret qui gagne. En juillet 1866, Denise

Zola, le roman doit être une sorte de « laboratoire » grâce auquel on peut étudier les comportements humains, les révéler voire les dénoncer. DEUX ARTICLES DU MONDE À CONSULTER • Alain Robbe-Grillet p. 10-11 (Michel Contat, 20 février 2008) • Maupassant, chroniqueur vagabond p. 11 (Robert Solé, 19 décembre 2008) Portrait de Jean-Jacques Rousseau par Alain Ramsay, 1766. Vers le contemporain Aux xxe et xxie siècles, le roman est toujours un genre particulièrement prisé par les auteurs, comme par

Justifier (le mot «solitude»). 4- Point de langue — Réécrire la phrase «Le cocher n’eut pas plus tôt levé son fouet…», en supprimant la négation. Rappeler l’expression de l’antériorité. - 38 - Les voyageurs de la diligence 1- Le réalisme de Maupassant : une scène ancrée dans la réalité. — Qu’est-ce qui crée l’impression de la réalité ? (les noms de lieux, les noms des personnages — le parler paysan. Préciser par des citations. Situer les lieux sur une carte.) 2- La diligence : retrouver le sens

créer sa faille (soie noire). Mais Mouret baisse le prix du Paris-Bonheur devant les yeux effarés de ses salariés. Puis Robineau baisse. Et ainsi de suite. Finalement, c'est Mouret qui gagne la partie mais Robineau a perdu beaucoup d'argent. Au printemps, Mouret achète l'hôtel Duvillard qui se trouve entre la boutique de Bourras et le « Bonheur ». Bourras, lui aussi est en pleine lutte avec Mouret pour lui prendre des clientes mais comme avec Robineau, c'est Mouret qui gagne. En juillet 1866, Denise

des idées reçues, qui constitue une espèce de collection de propos, de pensées qu’il considère comme des bêtises révélatrices de son époque. De ce point de vue, l’étiquette de « réaliste » que lui ont notamment attribué les naturalistes (Zola et Maupassant, entre autres…), s’inspirant de son œuvre, est exagérée, voire faussée : il est resté en partie romantique, mais un romantique désabusé, nostalgique et contradictoire. C’est ainsi qu’il a tendance à manquer d’objectivité dans la façon d’accentuer

toilette au hammam ; leur coquetterie quand elles se fardent, se parent de bijoux à outrance ou de vêtements colorés. La couleur, voilà un autre trait caractéristique du monde oriental très prisé des artistes exotiques. Un passage de La Vie errante de Maupassant (1890) illustre parfaitement cet amour de la couleur chez les Arabes : « Voici des burnous de cachemire ondoyants comme des flots de clarté, puis des haillons superbes de misère, à côté des gebbas de soie, longues tuniques tombant aux genoux, et

LECTURES CURSIVES Voici les nouvelles que nous vous proposons de lire : →Cocode Maupassant : http://fr.wikisource.org/wiki/Contes_du_jour_et_de_la_nuit/Coco →Iceberg deKassak : http://lettres-histoire-geo.ac-amiens.fr/sites/lettres-histoire-geo.ac-amiens.fr/IMG/pdf/Une_selection_de_nouvelles_a_chute.pdf →Quand Angèle fut seule de Merigeau : http://lettres.ac-rouen.fr/francais/recit/angele.html →La ligue des rouquins de Doyle : http://fr.wikisource.org/wiki/Nouvelles_Aven