Au Sujet D Un Enfant Monstrueux

est celui qui reste le plus près du mythe initial d’Homère dont il s’inspire pour Ondine. Les autres artistes s’approprient le thème et transforme le personnage en une amante protectrice ou inspiratrice. LA DISSERTATION : Analyse du sujet • Le sujet est composé de trois parties : o Une citation prise dans le corpus (texte de Giraudoux) et qui fait un clin d’œil au lecteur spectateur en référence à la réécriture o Une question restrictive et péjorative (« ne soit qu’une

famille ne supportent pas sa vue. La nouvelle s'achève par la mort du personnage, avec cet épitaphe : « Venez donc voir, il est crevé, il est là, il est couché par terre, il est crevé comme un rat » Pourquoi métamorphoser ? Si la métamorphose est un sujet traditionnel, Kafka ne lui donne t-il pas également un aspect original et unique. Faut-il noter également, en tant que caractéristique récurrente de l'auteur, le thème de l'exclusion et la dimension tragicomique-comique de l'œuvre ? La Métamorphose

qui fait périr la jeune femme et son père, puis, après un monologue dramatique, elle égorge les deux fils qu'elle a eus de Jason. Ce dernier, fou de douleur, voit disparaître dans le ciel le char ailé où Médée a pris place avec les cadavres de ses enfants. La beauté tragique de cette figure féminine, à la fois tendre et monstrueuse, a créé une tradition littéraire. Hippolyte (représenté en 428) Hippolyte refuse d'honorer Aphrodite et repousse la passion qu'éprouve pour lui Phèdre, l'épouse de

RACINE, BOSSUET). On y inclut CORNEILLE (1640). L'Âge classique est une période vaste: elle va du milieu du 16ème jusqu'après le 17ème siècle. Au 16ème siècle apparaissent les premiers écrits, les premiers arts théoriques. Les doctes ont écrit au sujet du théâtre. On écrit encore des œuvres néoclassiques sous l'Empire (19ème siècle). Ces premiers théoriciens ne sont pas français: SCALIGER (1561), CASTELVETRO (1570). Les écrits et les arts théoriques sont des tragédies. Le poème dramatique est une

construction et réceptions des savoirs. L'exemple des Histoires incroyables de Palaiphatos Introduction : La tristement célèbre Médée est en réalité mal connue, et en proie à de trop nombreux a priori. C’est pour y voir plus clair à son sujet que j’ai décidé de traiter des diverses figures qu’elle présente selon différents auteurs antiques. A mes yeux, elle montre deux visages contradictoires: la sorcière, personnage nuisible à la société qui l’entoure ou, au contraire, la femme

terriblement redondant… 1. L’évidence de la parole En apparence, cette faculté humaine n’est rien moins que mystérieuse : elle nous précède et nous survivra. Nos parents parlent et nos enfants parleront, c’est un fait. Alors qu’on adopte une perspective critique sur la morale qu’on décide d’enseigner aux enfants, sur les qualités humaines à développer chez eux (la pitié, l’humour, l’ironie, la patience etc.), sur le goût et la disposition de leur esprit pour la rationalité ou l’abstraction, sur

j’inscris le mot «Caprice». D’ailleurs mon article est, en fait, une mise en garde on ne peut plus utile et salutaire. Si l’on en tient compte, peut-être assistera-t-on à une nouvelle renaissance artistique. CYRIL : Quel en est le sujet ? VIVIAN : J’ai l’intention de l’intituler « Le Déclin du mensonge, protestation ». CYRIL : Du mensonge ! J’aurais pourtant cru que nos hommes politiques en maintenaient la tradition. VIVIAN

fascination pour l’arbre. « je suis bien persuadé » : relayé par un « on » à valeur généralisante : humanité concerné (lecteur, habitant) partage de cette admiration par tous. Présence de l’énonciateur sera très forte dans la suite du livre. D) Sujet : étrange, mystérieux, pourquoi cet arbre ? Quel rapport entre Frédéric et lui ? Fin du texte débouche sur des remarques quelque peu étranges sur la « beauté renversée ». ---------------------------------------------------------------------

André Comte-Sponville voudrait au contraire mettre en avant le désir-jouissance : celui que nous éprouvons quand nous désirons ce dont nous ne manquons pas : l’odeur du crâne de mon tout-petit, les caresses de l’amoureux(se), la main confiante de mon enfant dans la mienne. Il y a action, plaisir et joie dans ce désir-là : c’est le désir de l’amour stable et heureux. Spinoza : le désir n’est pas manque, il est puissance : aimer, c’est pouvoir jouir ou se réjouir de quelque chose que l’on a ! (p 370)

commune ». L’accumulation procède par des sortes de rectifications qui font percer la critique sous l’éloge apparent. ( Enfin, en une sorte de clin d’œil qui ressemble à un effet de mise en abyme, Maupassant établit une comparaison avec un « mauvais sujet des romans populaires ». Sans doute est-ce aussi une indication sur le peu de morale réelle du personnage. Conclusion : Incipit rapide, vif qui met l’accent sur un personnage propre à susciter des sentiments ambivalents : doté d’un pouvoir de