Auberge Rouge

d'étoffe et les rouleaux de soie de toutes les couleurs qui devaient l’entourer, comme en témoignent les tapis, la plupart du temps utilisés comme nappes, et les tentures, fréquemment représentés dans ses œuvres. En 1641, après avoir loué un temps une auberge appelée De Vliegende Vos (Le Renard volant), Vermeer père en acheta une autre, le « Mechelen »[15], où son fils passa le reste de son enfance. Le commerce était situé sur le Markt (le Marché) à Delft. Son acquisition représentait une lourde charge

crevées ;Mon paletot aussi devenait idéal,J’allais sous le ciel, Muse ! et j’étais ton féal ;Oh ! là ! là ! que d’amours splendides j’ai rêvées !Mon unique culotte avait un large trou.— Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma courseDes rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse.— Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frouEt je les écoutais, assis au bord des routes,Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttesDe rosée à mon front, comme un vin de vigueur ;Où, rimant au milieu des ombres

Dorénavant, j’étais libre comme l’air, j’ignorais ou passer la nuit, finalement j’ai passé la nuit sur le bitume froid et sale des rues anglaises et cela pendant une semaine, je me nourrissais grâce à la charité de certaines personnes mais, toutes les auberges par lesquelles je suis passé, me refusèrent l’hospitalité gratuitement. Je ne pouvais point me laver donc je dégageais une odeur peut plaisante qui me faisait un peu honte et qui décourageaient sûrement les patrons à m’accueillir. Malheureusement

II) Stimulation des relations entre l’auberge et les organismes de tourisme entrant de l’agglomération Page 9 à 12 A) La démarche de travail Page 9 B) Analyse des résultats Page 10 L’organisation d’un événement autour du centenaire de la première auberge de jeunesse Page 12 à 17 A) Le contexte de cet événement Page 12 B) Les démarches mises en œuvre et les résultats en découlant Page 13 C) Analyse du déroulement de l’événement Page 16 Analyse des compétences acquises lors de mon stage Page 17 à 20

THE INVISIBLE MAN CHAPTER 1 L’étranger est venu par un jour d’hiver ne février dans une auberge située sur une colline. Il est couvert de la tête aux pieds, lorsque l’aubergiste lui parle il répond à peine. Il regarde souvent par la fenêtre, comme s’il était inquiet. Pour manger, il surveille que personne ne vienne dans sa chambre et il refuse que l’on prenne ses habits pour les laver. CHAPTER 2 Un horloger vient réparer les horloges, il trouve l’Etranger bizarre, il essaie de lui faire

| |Don Quichotte parti de chez lui. Mais il se rappela que si il n’avait pas été armer chevalier, il ne pourrai pas être un chevalier| |officiel. Après de longues heures de marche, dans la campagne déserte, il aperçu un château (une auberge). Le preux chevalier, il | |décida de s‘arrêter. Il y rencontra des prostitués qu’il prit pour des dames, un aubergiste qu’il prit pour un châtelain. Il se | |fit armer chevalier par l’aubergiste.

Les Thénardiers La famille des Thénardiers occupe un place clef dans le roman. En effet, on la rencontre dès la première partie lorsque Fantine, mere de Cosette, passe devant leur auberge “ au sergent de Waterloo” a Montfermeil. Les Thénardiers son une famille comprenant un père, un mere, edux filles et deux garcons abandonnés. Le père est ancient soldat et il est devenu sergent et médaillé a la bataille de Waterloo. Fantine ne peut plus garder son enfant car elle retourne dans sa ville natale

ficelle et laramasse. Ensuite, M. Hauchecorne apercoit M. Malandain qui l`a regardé.A cause de cela, M.H. cache brusquement sa blouse. Puis, il va aumarché et se perd dans la foule. A midi presque tous les paysans seretrouvent chez Jourdani, une auberge normande, pour dîner. Dans lagrande salle, il y a une atmosphère de gaieté judqu`à l`arrivée ducrieur publie qui annonce la perte d`un portefeuille. Quelques minutesaprès un origadier arrive et il veut que M.H. lui accompagne à lamairie. M.Malandain

essentiellement descriptif qui dépeint l’ambiance conviviale et chaleureuse du lieu. Cette auberge est une allégorie de toutes les auberges et porte pour enseigne le Bonheur car c'est à ce terme que Verlaine veut associer ce genre d'endroit. La lecture du poème est aussi très orientée par les marques de ponctuations. Le choix des alexandrins est également représentatif de la noblesse que l'on veut accorder à cette auberge, les rimes alternent rimes féminines et rimes masculines, conformément aux conventions

nom de « Rhénanes », s’inspirant d’un voyage qu’il a fait en 1902 en Rhénanie. Dans la première strophe, on pourrait croire que le poète se situe dans une auberge près du Rhin buvant du « vin ». Il tremble sous l’effet de l’alcool avec « trembleur comme une flamme » Dans la deuxième strophe, l’auteur crie « Debout » aux gens qui, dans cette auberge, l’entourent et chantent, dansent une ronde. Il ne veut plus de laisser porter par l’alcool, il veut à nouveau de la stabilité comme avec ses créatures angéliques