Audrey Hepburn

les pubs et les célébrités. D’ailleurs ce phénomène est de plus en plus usuel. En conséquence, les stars de tout temps, imposent leur style aux différentes populations à travers leur façon d’agir. Nous pouvons citer quelques exemples comme Audrey Hepburn ou encore Marilyn Monroe et bien d’autres qui ont inspiré leurs fans, entre autres, à porter le même style d’habits. D’autant plus que ce n’est pas seulement le style de vêtements qui a été repris par des personnes mais aussi des styles de coiffure

pas anodin; il correspond à des stratégies différentes: une superstar cible surtout le BRIC (Brésil, Russie, Inde,Chine) . Ce n’est pas l’association d’une marque et d’une star qui est nouvelle car dés les années soixante, Givenchy habillait Audrey Hepburn, Yves Saint Laurent était associé avec Catherine Deneuve … Mais jamais auparavant ces contrats n’ont eu un rôle aussi commercial que celui qu’ils ont aujourd’hui. La griffe qui semble le mieux avoir compris cette stratégie d’association entre

réalisation cinématographique. Le metteur en scène traduit en images ce que l'auteur a exprimé par des mots, et les acteurs s'identifient aux héros du roman : Anna Karénine a tour à tour le visage émouvant de Greta Garbo ou celui de Vivian Leigh. Audrey Hepburn prête ses traits à Natacha dans Guerre et Paix. Pourtant, ces adaptations, si séduisantes qu'elles soient, risquent de décevoir le lecteur de Tolstoï qui, aux images trop précises imposées par le film, préfère celles que lui suggèrent sa propre

Vania de Tchekhov ou Hamlet de Shakespeare. Plus tard, elle revient à Hollywood où on la remarque notamment dans Duel au soleil de Vidor (1947), dans La Nuit du chasseur de Laughton (1955) et dans Le Vent de la plaine de John Huston (1960) avec Audrey Hepburn et Burt Lancaster. Sa longue carrière la conduit à tourner encore Un mariage de Robert Altman (1978) et surtout Les Baleines du mois d’août (1987) – son dernier film – avec Bette Davis et Vincent Price. Elle s’éteint presque centenaire à New York

Vania de Tchekhov ou Hamlet de Shakespeare. Plus tard, elle revient à Hollywood où on la remarque notamment dans Duel au soleil de Vidor (1947), dans La Nuit du chasseur de Laughton (1955) et dans Le Vent de la plaine de John Huston (1960) avec Audrey Hepburn et Burt Lancaster. Sa longue carrière la conduit à tourner encore Un mariage de Robert Altman (1978) et surtout Les Baleines du mois d’août (1987) – son dernier film – avec Bette Davis et Vincent Price. Elle s’éteint presque centenaire à New York

famille a péri à Auschwitz, son œuvre, sommet du Witz, s’infléchit d’une noirceur frisant parfois le cynisme. Dans Boulevard du crépuscule, Gloria Swanson, immense vedette du muet, joue le rôle d’une star décatie. Même les comédies romantiques avec Audrey Hepburn, Sabrina et Ariane, sont des Cendrillon au happy end ambigu. A la fin des années 50, Wilder entame une décennie de grandes comédies qu’il écrit, réalise et produit. Il quitte la Paramount après avoir tourné pour la Fox Sept ans de réflexion (1955)

les cinéphiles peuvent voir dans les salles obscures Touchez pas au grisbi, du grand Jacques Becker, héritier, d’une certaine façon, de Jean Renoir ; Tant qu’il y aura des hommes, de Fred Zinnemann ; Vacances romaines, de William Wyler, avec Audrey Hepburn ; Sur les quais, d’Elia Kazan, ou le crime était presque parfait, d’Alfred Hitchcock… Le 31 octobre, les députés bouclent leurs valises pour gagner Paris ou la session parlementaire va reprendre le surlendemain. Pierre Mendès France, l’homme

avec succès par les yé-yé français : « As Tears Go By », créée par Marianne Faithfull, et « Ruby Tuesday » de Richard Anthony. [pic] II/ Les actrices telles que Audrey Hedburn et Brigitte Bardot 1/ Audrey Hepburn: mythe et icône des années 50 qui perdure jusqu’aux années 60 [pic] La beauté gracile d’Audrey Hepburn, à l’instar de celle de Greta Garbo, d’Ava Gardner ou de Marlene Dietrich a laissé une empreinte inaltérable dans l’iconographie du XXème siècle. Les beaux rôles qu’elle

           Aux Etats-Unis, la mode des années 50 est synonyme de grâce et d’élégance : Hollywood est en pleine expansion avec des films à succès comme Certains l’aiment chaud et les actrices glamour imposent leur style de pin-up voluptueuse. Audrey Hepburn devient l’égérie de Givenchy, le grand couturier va d’ailleurs créer ses tenues dans Diamants sur canapé. Marilyn Monroe et Lauren Bacall imposent leur style glamour, robes corolle et gants fins montant jusqu’aux coudes, ou jupes « crayon » arrivant

clientèle. En matière de publicité, plus on avance dans la mondialisation, moins il y a de modèle unique. Si l’on considère l’esthétique corporelle, le modèle américain est resté dominant pendant des décennies. Il n’a évolué que lentement, des brunes Audrey Hepburn et Lauren Bacall à la blonde Marilyn Monroe ; celles-ci étaient des modèles dont l’image était diffusée dans de nombreux pays. Aujourd’hui, on se retrouve avec une grande diversité de modèles esthétiques. Ce genre de publicité peut être très mal