Audrey Hepburn

Chanel sera très populaire jusque dans les années 1960. C’est l’Amérique qui va influencer la © Hemera Technologies/Photos.com mode de Paris. Les jeunes veulent une mode plus « courante» et moins traditionnelle. Aux États-Unis, Hollywood présente Audrey Hepburn, Marilyn Monroe et Lauren Bacall qui s’imposent par la splendeur de leur style. Elvis Presley et James Dean introduisent les jeans et la mode américaine des rebelles. Vers la fin de la décennie, Yves Saint Laurent présente des robes droites et

movie star when she becomes romantically involved with a director (Lluís Homar). Lena, a heartbreaking figure whose own identity is so unformed that she is only too eager to become someone else (early in the movie she is costumed and styled as Audrey Hepburn), is “maybe the saddest character I ever wrote,” Mr. Almodóvar said in an interview in New York, seated across from Ms. Cruz. “She has a past she doesn’t like at all, so when she finds she can impersonate someone, it’s like having a new life.

pas le type de Mad Men ? – Percy ! s’écria Annabeth d’un ton horrifié. – Ben quoi ? protesta-t-il. Je regarde pas beaucoup la télé. – C’est Gregory Peck ! (Annabeth avait les yeux écarquillés et sa mâchoire se décrocha.) Et… oh, par les dieux ! Audrey Hepburn ! Je connais 744/1102 ce film ! Vacances romaines. Mais ça date des années 1950. Comment… ? – Oh ma chérie ! (La jeune femme fit une pirouette digne d’un esprit des airs et s’assit à leur table.) J’ai peur que tu ne me confondes avec quelqu’un

Dans un beau film, je me mettrais à courir après le taxi sous la pluie, et nous tomberions dans les bras l'un de l'autre au prochain feu rouge. Ou bien ce serait elle qui changerait d'avis, soudain, et supplierait le chauffeur de s'arrêter, comme Audrey Hepburn/Holly Golightly à la fin de Breakfast at Tiffany's. Mais nous ne sommes pas dans un film. Nous sommes dans la vie où les taxis roulent. On quitte d'abord la maison de ses parents, et ensuite, parfois, on quitte la maison de son premier mariage

situation même si ce n’est pas évident tous les jours. C’est pour ça que Brad et moi restons très souvent au calme à la maison. Avec quelle star rêvez-vous de rester coincée dans l’ascenseur? J’aurais bien aimé rester coincée avec une star comme Audrey Hepburn. En tournant The Tourist. J’ai beaucoup pensé à elle. J’ai eu l’impression d’être comme elle, en portant des tenues de rêve tout au long du film. Si j’ouvrais votre penderie, qu’est-ce que je trouverais à l’intérieur ? Du noir ! Des pulls, des

beau film, je me mettrais à courir après le taxi sous la pluie, et nous tomberions dans les bras l’un de l’autre au prochain feu rouge. Ou bien ce serait elle qui changerait d’avis, soudain, et supplierait le chauffeur de s’arrêter, comme Audrey Hepburn/Holly Golightly à la fin de Breakfast at Tiffany’s. Mais nous ne sommes pas dans un film. Nous sommes dans la vie où les taxis roulent. On quitte d’abord la maison de ses parents, et ensuite, parfois, on quitte la maison de son premier mariage

sens associe-t-on à l'oreille ? L'ouïe Quelle reine des défilés de mode Alain Souchon évoque-t-il dans sa chanson “Foule sentimentale” ? Claudia Schieffer 91 Questions Réponses De quel couturier français, l'actrice américaine Audrey Hepburn était-elle l'égérie ? Hubert de Givenchy ou Givenchy Selon le proverbe, on ne fait pas d'omelette sans... Casser des oeufs Quel lien de parenté unissait Sigmund et Anna Freud ? Père et fille Dans la bande dessinée, quel objet

animada filmada en 1973 y en la que Robin era un aguerrido zorro. También quiso darle la vuelta al mito Richard Lester en Robin y Marian (1976) al volver a recuperar los personajes en el crepúsculo de su vida. Sean Connery (como un barbudo Robin) y Audrey Hepburn (como Marian) encarnaron la historia, musicada por John Barry. Nuevamente el olvido. Hasta que, a principios de los 90, la moda del momento volvió a decidir que la historia molaba otra vez y se sucedieron las adaptaciones. En 1991 incluso coincidieron

Odile a été embauchée comme stagiaire rédac pendant l'absence d'Octave. Elle n'aime que l'argent et la célébrité mais fait semblant d'être naïve. Les nouvelles filles font toutes ça : garder toujours les lèvres entrouvertes et les yeux ébaubis comme Audrey Marnay dans une série photo de Terry Richardson; actuellement, le sommet de l'arrivisme consiste à feindre l'innocence. Odile raconte à Octave comment elle s'est fait percer la langue toute seule un samedi après-midi : - Non, il n'y a pas d'anesthésie

marques. 178 L’IDENTITÉ DE LA MARQUE © Dunod – La photocopie non autorisée est un délit Prenons le cas de Givenchy. La maison d’Hubert James Taffin de Givenchy habillait la femme élégante, raffinée, d’une sophistication toute parisienne. Audrey Hepburn, qui fut durant quarante ans l’égérie du créateur, en cristallisait toutes les valeurs. En 1996, Hubert de Givenchy prend sa retraite. John Galliano lui succède – l’espace d’une saison seulement, avant de partir chez Dior. Arrive ensuite Alexander