Augure

le « lieu », à l’origine l’espace délimité dans le ciel (et par suite également, la région terrestre correspondante) par l’augure pour y interpréter les auspices. Un édifice dédié à un dieu ne devenait un temple qu’après avoir été consacré par les augures (qui s’assuraient de la volonté des dieux) et par les pontifes. La prière se fait la tête couverte, agenouillé, en touchant l'autel ou le genou de la statue. Ils répètent à voix haute les prières prononcées par le prêtre et la prière se termine par

hirondelles, représentant le retour du bonheur, de la chaleur. Cette scène pourrait faire penser à des augures, en effet, durant la civilisation romaine avant de prendre n'importe quelle décision les romains avaient recours aux augures: ils regardaient , le nombre, le comportement des oiseaux symboles de la volonté des Dieux, comme Romulus et Rémus l'ont fait pour choisir le futur roi de la ville. Ici, cette augure ce présente bien puisque le ciel est bleu et le hirondelles volent. Malgré ce paysage remplie

découper, séparer[1] ». Anciennement, templum désignait une portion d'espace (généralement rectangulaire) délimitée par un augure, à l'intérieur de laquelle ce prêtre effectuait ses observations (comptage des oiseaux, passage de nuages, etc.). N'était pris en considération par l'augure, et n'avait de signification religieuse que ce qui survenait dans ce périmètre. Cette pratique des augures était désignée comme la contemplatio, d'où le mot français contemplation (la méditation intériorisée) tire son origine

Vénus Victrix, aidèrent César tout au long de sa guerre en Gaule, en lui donnant leur force. « Les Dieux nous donnent l’occasion! Leur pluie nous protège. » p.317 Telles étaient les pensée de Julius César, les dieux lui envoyaient des signes, ou augures, pour le guider dans ses décisions. Les légions se battent ad gloriam de Rome, c’est pour cela que non seulement Jupiter et Vénus aident César dans sa destinée, mais également Fortuna, qui lui apparaît lors de chaque bataille. Lorsqu’il devient imperator

qui tonne et foudroie, ouvre des tombes, gronde Comme ce lion du Capitole. Un homme sans plus de force, pour l’action, Que toi, ou moi ; et pourtant redoutable > voir ‘Cassius dans I-2’→ remise en question supériorité de César. Et de mauvais augure Cassius plus loin confirme (I-3) : Oui, l’aspect de ce ciel Est semblable au travail que nous entreprenons : Rouge comme le sang, épouvantable. Brutus dans II-1 : Entre la conception d’un projet terrible Et le passage à l’acte, tout l’intervalle

l’Ancien qui avait gagné sa confiance et était un autre lui-même. Tarquin l’Ancien : Tarquin l’Ancien était le 5eme roi de Rome. Il était d’origine Etrusque. Sa femme, nommée Tanaquil, qui avait été instruite par ses parents dans la science des augures suivant la discipline des Tyrrhéniens, le tira seul à quartier, l’embrassa et le remplit de bonnes espérances, l’assurant qu’un jour il passerait d’une fortune privée à la dignité du roi…il se fit appeler Lucius au lieu de Lucumon et pour nom de famille

montre sa divinité pour les citoyens romain. A ses pieds se tient un aigle, symbole de Jupiter et positionné dans la même posture que Jupiter (de ¾) sur un trône. Il tient un spectre dans sa main gauches et un lituus courbé qui est le bâton des augures romains (ressemblance avec la crosse des évêques actuelle). Oikouméné, pose sur la tête d’Auguste la corona civica, la couronne civique, surement pour symboliser les vies des citoyens romains qu’il a sauvées. Tout à droite se trouve un dieu barbu

juridique, question de type public, politique Spic : regarder // Au : racine du mot Avis : oiseau Augurium : augure : terme religieux pour l’observation des oiseaux Aug : racine d’augmenter, d’auteur Augur : prêtre : augure : personne qui fait l’acte Augustus : personne désigné par Jupiter (à travers les oiseaux) pour faire une action Prends le bon côté de Romulus : choisit par les augures mais pas le mauvais côté royal Peuple qui marche à la tradition 2 consules à la tête de la république

des avantages que le peuple romain avait par-dessus les autres peuples : ce qui paraît ridicule aux sages est nécessaire pour les sots ; et ce peuple, qui se met si facilement en colère, a besoin d’être arrêté par une puissance invincible. Les augures et les aruspices étaient proprement les grotesques du paganisme 11  ; mais on ne les trouvera point ridicules, si onfait réflexion que, dans une religion toute populaire comme celle-là, rien ne paraissait extravagant : la crédulité du peuple

surtout une affaire de volonté. L’étymologie du mot « bonheur » renvoie à l’idée de circonstance favorable : en vieux français, « bon heur » désigne la chance favorable, le terme « heur » dérivant du latin augurium qui signifie augure, présage, chance. Est de bon augure ce qui résulte d’un destin favorable. Ainsi, les circonstances ne dépendent pas de l’individu, de sa volonté, mais du destin ou de la chance, de la bonne fortune. C’est en ce sens que l’on peut considérer le bonheur comme un état