Auguste Comte Le Moi Peut Il S Observer Lui Meme

d’autres pays d’Europe se forment durablement : l’Italie, composée jusque là d’une mosaïque d’états séparés bien que possédant des bases linguistiques et culturelles communes, ne se forme que vers 1870. C’est également le cas de l’Allemagne vers la même époque, qui se fédère avec Bismarck autour du royaume de Prusse. Délimitation temporelle : cf. chronologies photocopiées. Quelles sont les caractéristiques importantes du 19ème siècle ? 1. Un siècle bourgeois et industriel La Révolution Française

en termes d’explication et les sciences de l’esprit dont l’objet, soumis à l’aléa de la psychologie humaine, ne peut être appréhendé qu’en termes de compréhension3. Une théorie qui, sur la question du rapport aux valeurs, met en relief toute la différence qui oppose la posture allemande, empreinte de neutralité axiologique, et le positivisme de la tradition française, de Comte à Durkheim, empreinte d’une forme non négligeable de naturalisme. En effet, selon le point de vue wéberien, la science

noués entre un seigneur et un vassal au sein de l’aristocratie uniquement (pas de paysans vassal). Il s ‘agit de liens de dépendance honorable qui unissent et hiérarchisent l’aristocratie. Ces liens d’hommes à hommes structurent l’aristocratie elle-même. Les droits féodaux proviennent du contrat féodo- vassalique. La seigneurie: concerne les rapports qui existent entre l’aristocratie, comme groupe social dominant, et la paysannerie, qui est soumise à son pouvoir et dominée. Le régime seigneurial

Ce lien consiste à lien deux personnes à la suite d’un serment réciproque ; l’un promettant de protéger l’autre qui l’assiste. Or ce type de liens devient progressivement de l’ordre des relations privées pour entrer par la suite dans la structure même de l’empire. En 847, une loi « Capitulaire de Mersen » a invité tous les hommes libres à se prendre un seigneur par le lien de fidélité ; plaçant ainsi tout un tas d’intermédiaire entre les hommes libres et le souverain. - Menace permanente de la

l’Antiquité Il faut partir d’un exemple : de la Bible. Pas pour des convictions religieuse, ni pour une raison historique. Mais pour une raison juridique. Le récit de la Genèse est l’introduction de la Bible. On comprend par cette Genèse à quoi peut servir une introduction au droit. Le récit des trois premiers jours suffit pour nous donner une idée de ce qu’est et de ce que doit être une introduction. Une introduction est le récit d’une création. Elle ne produit en réalité rien de nouveau : la

rejaillit donc directement sur le roi. - Par la stabilité de la monarchie 2 règnes longs permettent de stabiliser l’institution royale : Celui de Philippe Auguste (1180-1223) qui a rendu la couronne de France indépendante des pays étrangers. Le roi peut donc s’imposer aux grands féodaux Celui de Saint Louis (1226-1270) : on relève pour lui un vrai souci de diplomatie et de justice. Le roi n’apparait plus comme un

politique. Le facteur humain : l’homme est l’élément du système. Il y a des prévisibilités du comportement humain selon les situations. Le comportement humain est logique et rationnel, mais le facteur humain peut entrainer des complications. Le comportement humain est donc prévisible même dans ses aberrations. Il existe 2types de compréhension des phénomènes : • La démonstration (l’analyse de cause à effet) • La reviviscence (patrice Chéreau) Dans les sciences politiques, l’affectif

montrant quelle confiance est due à tant de rapports qu'on vous fait ! Un objet de pur agrément peut s'élever encore à l'honneur d'un plus grand mérite : c'est de vous rappeler cette vérité de tous les temps, qu'on connaît mal les hommes et les ouvrages quand on les juge sur la foi d'autrui ; que les personnes, surtout dont l'opinion est d'un grand poids, s'exposent à glacer sans le vouloir ce qu'il fallait peut-être encourager, lorsqu'elles négligent de prendre pour base de leurs jugements le seul conseil

l’industrie, censées apporter le bonheur au monde. On loue la vitesse, on célèbre la « fée électricité ». Le positivisme (Positivisme : philosophie valorisant la connaissance, l’expérience et le progrès, développée notamment par Auguste Comte) développe une véritable religion du progrès. De nombreuses revues scientifiques, des conférences, des musées participent à la diffusion des connaissances. Les romans de Jules Verne font l’éloge des sciences et des inventeurs. Les Expositions

connaissance de l’enfant : A la fin du XIXe siècle, des médecins et les pédagogues ont fait progresser la connaissance de l’enfant. * La personnalité du maître : différente selon la formation qu’il a acquise, selon les modèles qu’il aura pu observer. Son équilibre psychologique jouera un rôle dans la transmission du savoir. Chapitre 2 : Les pionniers et les ancêtres Evolution de la pensée pédagogique à la fin du XIX siècle et au début du XXe Quelques facteurs qui semblent les plus significatifs