Augustin Berque

citations * Ne dis pas tes peines à autrui ; L'épervier et le vautour s'abattent sur le blessé qui gémit. * Il nous faut toujours apprendre pour apprendre enfin à mourir. Marie Von Ebner-Eschenbach * Il se mit à étudier comme un homme se serait mis à boire, pour oublier.Valéry Larbaud * Etudiez comme si vous deviez vivre toujours ; vivez comme si vous deviez mourir demain.Saint Isidore de Séville * La haine, c'est la colère des faibles !Daudet * La tolérance est

seconde note Deuxième semestre 2 thèmes autonomes : 1° L’Amour 2° Le mensonge L’Amour  Série d’exposés sur la conception de l’amour au fil des siècles par les auteurs. Groupes de deux ou trois Le mensonge  Cours avec des extraits de texte (St. Augustin ; Kant – Benjamin Constant) Semestrielle finale écrite, dissertation La note de philosophie à la maturité n’est plus liée à celle d’histoire-géo. Fin de la partie « inutile » En juin… 1 Programme modifié en novembre 1 Philosophie

Saint Augustin (354-430) est né d’un père païen et d’une mère chrétienne. Sa première religion fut le manichéisme, doctrine fondée sur l’opposition du bien sur le mal, où le bien finit par triompher. Il se convertit au christianisme en 388 et devient en 396 évêque d’Hippone. Son principal ouvrage est La Cité de Dieu, écrit de 413 à 427. Ce livre est une réponse aux critiques des païens : en 410, les Wisigoths envahissent Rome et la mettent à sac ; les Chrétiens en sont rendus responsables. Dans La

Conscience, Inconscience « L'Homme est à la fois le plus proche et le plus éloigné de lui-même. » Saint Augustin « Je pense, donc je suis. » Descartes Désir « La vie d'un être de désir est comme un pendule qui oscille entre la souffrance et l'ennui. » Schopenhauer « Le désir ouvre « la guerre de tous contre tous. » Hobbes L'Art « Est beau, ce qui plaît universellement et sans concept. » Kant Le travail « Par son travail, l'Homme cultive et humanise la nature. » Marx « Le

a)Or je trouve, pour revenir à mon propos, qu'il n'y a rien de barbare et de sauvage en cette nation, à ce qu'on m'en a rapporté ; sinon que chacun appelle barbarie ce qui n'est pas de son usage ; comme de vrai, il semble que nous n'avons autre mire de la vérité et de la raison que l'exemple et l'idée des opinions et usances du pays où nous sommes. Là est toujours la parfaite religion, la parfaite police , parfait et accompli usage de toutes choses. Ils sont sauvages, de même que nous appelons sauvages

mais en aucun cas des sources de connaissance ou de protection contrairement au Dieu des sociétés monothéistes. Ainsi nous pourrions évoquer les « numina » romaines : il s’agit de toute petites divinités, auxquelles on accorde un pouvoir local. St Augustin, dans La Cité de Dieu, IV, 8, évoque toutes celles liées à la maturation du blé : Seia pour le blé en général, Ségétia pour le blé en germe, Tutellina pour le blé récolté et mis en réserve, Proserpine aux articulations et aux tiges du blé, Nodutus

Dans le texte de Malebranche intitulé « De la recherche de la vérité », nous étudierons le thème, la thèse et le problème posé. A.Le thème Tout d'abord, le thème est la recherche de la vérité, l'argument d'autorité et la tendance à croire le discours d'autrui. L'auteur veut nous convaincre qu'il faut se mettre à réfléchir par soi même car c'est un plaisir et cela nous donne de l'honneur. On peut avoir du mal à se fier à ce que nous dit l'autre parce que nous n'avons aucune certitude et nous

Les dernières volontés d'Alexandre Le Grand Sur le point de mourir, Alexandre convoqua ses généraux et leur communiqua ses dernières volontés, ses trois ultimes exigences : 1 - Que son cercueil soit transporté à bras d'homme par les meilleurs médecins de l'époque. 2 - Que les trésors qu'il avait acquis (argent, or, pierres précieuses...), soient dispersés tout le long du chemin jusqu'à sa tombe, et... 3 - Que ses mains restent à l'air libre se balançant en dehors du cercueil à la vue de

religieuse et morale du XVIIe siècle qui doit son nom à l'évêque d'Ypres, Cornélius Jansenius (1585-1638). Son ouvrage, l'Augustinus, publié en 1640, provoque un grave débat entre les jansénistes, partisans de cette doctrine inspirée de celle de saint Augustin (354-430), et les Jésuites. Jansénius prétend que le péché originel a fait perdre à l'homme sa liberté, et que la grâce est uniquement accordée par la volonté de Dieu selon une prédétermination "gratuite", donnant ainsi peu de part au libre arbitre

4ème de couveture Le tremblement de terre de Lisbonne Le 1er novembre 1755, jour de la Toussaint, la terre dévore Lisbonne et dix milles innocents. C’est le tremblement de terre qui provoque l’un des plus grand mal physique de l’histoire. Le drame traverse l’Europe à la vitesse d’une trainée de poudre. En ce jour religieux, l’impact de l’événement donne naissance à un débat philosophique entre Rousseau et Voltaire sur la déstinée et l’existence du mal. Dans ce poème argumentatif, Voltaire explique