Augustin Calmet

L’œuvre de saint Augustin (354-430 ap. J.-C.) est colossal et elle a profondément marqué l’histoire de notre civilisation. En réalité, Augustin a imprégné toute la réflexion philosophique et théologique de l’Occident, et cela, à partir de la fin de l’Antiquité jusqu’à aujourd’hui en passant par le Moyen-Âge. Ainsi, les débats suscités par l’interprétation de son œuvre ont grandement contribué à l’émergence de la pensée moderne et particulièrement au concept d’autonomie. Dans les lignes qui suivent

l’autorité suprême de Dieu. A) Saint Isidore : Né au 7eme siècle de notre ère, évêque de Séville. Il est parfois considéré comme le dernier père de l’église, il prend la suite des quatre grands docteurs de l’occident : saint Ambroise, Saint Augustin, Saint Jérôme et Saint Grégoire le Grand. Par son célèbre ouvrage « Les étymologies » il peut être considéré comme le fondateur de l’église canonique. Il a assuré la transmission du droit romain au droit canonique. Il reprend tout d’abord la distinction

scrupule une fidélité à un homme appelé le jésus christ → les chrétiens = fidèles du christ. Christos= celui qui reçoit l'onction de Dieu. Cette religion apparaît efficace. Religion chrétienne est perçue comme la vraie religion. Cela est visible chez St Augustin lorsqu'il écrit la cité de Dieu → la vraie religion est la religion chrétienne, ceux qui suivent le christ. Il y a donc un monopole du mot religion dès sa naissance sur et par le christianisme et les chrétiens. Jusqu'au 17ème siècle, lorsqu'on va

Esméralda ne s'est pas servie de Quasimodo. Tout d'abord, elle a énormément pitié de lui, ce qui ne prouve pas encore qu'elle ne s'est pas servie de lui. Ensuite, c'est Quasimodo qui l'a enlevée juste avant qu'elle se fasse pendre. Puis, elle n'avait plus le choix, elle devait rester à Notre-Dame, sinon elle se faisait lyncher. Quasimodo s'est très bien occupé d'elle, ce qu'il n'était certainement pas obligé de faire. Esméralda a certainement remarqué que Frollo l'aimait, mais son comportement

secours de la veuve et des pupilles. Le sacré et le profane ne se quittaient point; ils s'étaient glissés ensemble jusque dans la chaire: saint Cyrille, Horace, saint Cyprien, Lucrèce, parlaient alternativement; les poètes étaient de l'avis de saint Augustin et de tous les Pères; on parlait latin, et longtemps, devant des femmes et des marguilliers; on a parlé grec. Il fallait savoir prodigieusement pour prêcher si mal. Autre temps, autre usage: le texte est encore latin, tout le discours est français

Qu'apprend-t-on sur Dieu et l'homme dans le discours de l'apôtre Paul aux Athéniens (Bible; Livre des Actes, chapitre 17, versets 17 à 34) ? Dieu est créateur et particulièrement créateur de l'homme: verset 24: « Le Seigneur qui a fait le monde et toutes les choses qui y sont [...] »; verset 26: « Et il a fait d'un seul sang toutes les races des hommes, pour habiter sur toute la face de la terre, ayant déterminé la durée précise et les bornes de leur habitation ». L'homme a besoin de Dieu et

Marilyn Houle Beccaria, le père de la justice moderne Beccaria est considéré comme le père de la justice moderne puisqu'avec ses ouvrages faits sur le droit pénal, il est énormément en avance sur son temps. Il a exposé l'idée que tout délit devait entrainer une peine équivalente au mal causé. C'est ce que l'on retrouve avec notre système d'aujourd'hui. (Les sentences et le temps d'incarcération varie selon le crime) Dans un de ses ouvrages, il laïcisait la justice et libérait la justice criminelle

Celui-ci résume cette théorie en s'appuyant en fait sur une conférence organisée par des évêques catholiques qui reprennent une théorie de la guerre développée par saint Augustin et saint Thomas D'Aquin. En effet la théorie de la guerre juste a une longue histoire. Sans remonter à la Bible, ni à Aristote, on peut créditer saint Augustin puis saint Thomas Aquinas[2] de la première présentation systématique de cette théorie. Il y discute non seulement la justification de la guerre mais aussi le type de

Augustinisme politique, fondée sur les idées de St Augustin, l’un des plus célèbres évêques des IV et Vème siècles. B) La théocratie royale La théocratie est une doctrine du pouvoir royal. C’est « le gouvernement par Dieu et pour Dieu ». Les Mérovingiens n’ont jamais cherché à théoriser le pouvoir contrairement aux Carolingiens. Ces derniers vont chercher des justifications à la qualification de leur pouvoir dans les écrits de Saint Augustin dont l’idée est que « chaque individu qui détient une

|L’homme et la mort | | | | | | | |Un être qui a |Pour Bossuet, les |Au ch. 5 de O vous, |Dans la page d’Idées| | | | |conscience d’être |hommes ensevelissent|Cohen dit qu’ils s’en |noires, Franquin | | | |