Augustin Calmet

et précisément, que pour avoir la vie éternelle, il fallait observer les commandements de Dieu ne se réduisaient pas, à la seule foi que l’on devait avoir en lui, mais qu’il était nécessaire ce que la Loi de Dieu nous commande. » page27 « Saint Augustin et après lui saint Thomas, et ensuite tous les théologiens, définissent (le péché) une action, une parole ou un désir contre la loi de Dieu. D’où il s’ensuit que si une opinion, quelque probable qu’elle puisse être, est contraire à la loi éternelle

Dernière édition : il y a 738 jours INTRODUCTION Qui n'a jamais menti ? Cette question du mensonge pardonnable est bien moins simple qu'elle ne paraît. Le mensonge a une certaine importance dans notre vie quotidienne, mais est-il pardonnable ? LE MENSONGE Personne n'est infaillible et personne n'est à l'abri d'un mensonge, qu'il soit important ou non. Si l’on part du principe qu’il ne faut jamais mentir, alors il faut admettre que l’on doit mentir de temps en temps. Et certains diront

Longtemps, je me suis endormi tard. Le soir, mon père avait coutume de venir s’asseoir à mon chevet pour me lire des fables de La Fontaine. Je l’écoutais sans toujours comprendre ce que j’entendais, mais je me souviens de mon étonnement teinté de frayeur devant certaines des gravures qui accompagnaient les textes. Ainsi, pour « L’Aigle et l’Escarbot », l’illustrateur avait représenté l’insecte aussi grand que le malheureux lapin que l’aigle tient entre ses serres et cette disproportion me fit par

Les philosophes Marcel Conche a) -Il est indubitable, en effet que le supplice des enfants a été et ne devrait pas être, et que dieu pouvait faire qu’il ne soit pas. Comme dieu ne s’est pas manifesté dans des circonstances ou, moralement il l’aurait du, s’il existait il serait coupable. La notion d’un dieu coupable et méchant apparaissant contradictoire, il faut conclure que dieu n’est pas. - La religion, a la différence de la philosophie, est sous la catégorie de l’utile. Elle promet

en particulier sur l’histoire de sa personnalité »[2] ? Jean Philippe Miraux, dans son œuvre L’autobiographie – Écriture de soi et sincérité, après avoir analysé les différents types de lecteur idéal pour les plus célèbres autobiographies (Saint Augustin, Rousseau, Leiris…), conclut en disant : «  [L’auteur] Séparé de son texte devenu public, éloigné de son autobiographie par le temps ou la mort, il doit poser clairement les raisons qui l’ont poussé à écrire, mais il doit aussi clairement préparer

LA ROCHEFOUCAULD – MaximeLa paresse « De toutes les passions celle qui est la plus inconnue à nous-mêmes, c'est la paresse ; elle est la plus ardente et la plus maligne de toutes, quoique sa violence soit insensible, et que les dommages qu'elle cause soient très cachés ; si nous considérons attentivement son pouvoir, nous verrons qu'elle se rend en toutes rencontres maîtresse de nos sentiments, de nos intérêts et de nos plaisirs; c'est la rémore qui a la force d'arrêter les plus grands vaisseaux

le sujet fait une biographie de lui-même (des écrits de sa vie) ;  L’hagiographie : c’est la biographie des Saints (exemple : Sainte Thérèse, St. François d’Assises, etc.) La toute première autobiographie (Les Confessions) fut écrite par St. Augustin au IVème siècle, où il raconte son itinéraire, de sa formation à sa conversion. De nos jours, grâce à l’évolution des temps et des technologies, les biographies ne sont plus uniquement faites sous forme de livres mais peuvent également prendre la

baigneras pas deux fois dans le même fleuve " ( 6e s ) • Le temps, insaisissable " Qu'est ce que le temps ? " Si personne ne me le demande, je le sais . Mais si on me le demande et que je veuille l'expliquer, je ne le sais plus " écrit Saint Augustin. D'un coté l'existence du temps relève de l'évidence, de l'autre toute analyse conclut à sa non existence : le passé n'est plus , le futur n'est pas encore , le présent bascule dans le passé au moment même ou il accède a l'être et se réduit à l'instant

saint Augustin. « Le XVIIe siècle est le siècle de saint Augustin » (Jean Dagen). Prégnance de la doctrine de l’évêque d’Hippone, qui propose une vision très sombre de la condition humaine. Pensée aujourd’hui lointaine et peu connue alors qu’imprègne les grands esprits du XVIIe siècle et notamment le milieu port-royaliste.  faut donc avoir cela en tête quand on lit les Pensées. Œuvre d’un moraliste-théologien, d’un homme qui connaît la Bible, récite par cœur les Psaumes, a lu saint Augustin, a

m’objectera-t-on, nous mourrons, et notre conscience ne sera plus, et le temps aura vaincu. Avant, je vais traiter le temps objectif . Il en va de soit que la solution se trouverait au niveau du présent, et non dans le passé ou l’avenir, car comme le dit St Augustin «L’avenir n'est pas, le passé n'est plus, le présent serait éternité s’il n’allait pas rejoindre le passé». Cependant admettre que le présent rejoint le passé c’est dire qu’il a une durée, or le présent n’a ni début ni fin, le présent n’a pas du