Augustin de Cantorbéry

trois parties de la science qui se divise ainsi : science physique, science mathématique et science théologique. b) Chez Origène, elle s’étend dans le sens ancien, mais y ajoute un nouveau sens : un discourt sur Dieu et le Christ. c) Chez Saint Augustin, il y a trois genres de Théologie : Théologie mythique, qui traite les dieux païens ; Théologie physique qui traite des astres et Théologie civile, qui traite le culte de l’empereur divinisé. d) Chez les scolastiques au moyen-âge, le mot théologie

foi, l'adhésion absolue de l'esprit. C'est avec le christianisme que les philosophes s'opposeront aux théologiens pour apporter la preuve de l'existence de Dieu ou de sa non existence. Nous citerons parmi eux les plus illustres tels : Augustin, Anselme de Cantorbéry, Thomas d'Aquin, Pascal ou encore Descartes, Kant et Nietzche et tant d'autres encore. Nous voyons par ce trop bref historique de la notion de Dieu que ce concept s'inscrit aussi dans un environnement culturel dont nous ne pouvons le

salut, tout en étant interne au cœur de l’homme, se relève de deux disciplines distinctes : « la philosophie et la théologie, qui au delà de toute présomption de discordances s’interpellent sans cesse. En s’appuyant sur la formule de l’évêque de Cantorbéry, saint Anselme : La théologie « Fides quaerens intellectum », la foi à la recherche de son éclaircissement intellectuel va à la rencontre de la philosophie « intellectum quaerens fidem » l’intelligence a la recherche de la foi et elle s’y fie.

L’enseignement d’Aristote et des péripatéticiens. 6 Théologie chrétienne héritée de la patristique (les Pères de l’Eglise) et d’Anselme de Cantorbéry (1033-1109). 7 A l’université de Paris, au XIII e siècle, le plus grand théologien était Thomas d’Aquin (1225-1274). Il était originaire d’Italie et contemporain de Saint-Louis. Il essaya de faire la synthèse entre Saint-Augustin et Aristote. Son œuvre majeure est la Somme théologique qui s’organise comme une succession de questions et de réponses. 2 3

des trois parties de la science qui se divise ainsi : science physique, science mathématique et science théologique. b) Chez Origène, elle s’étend dans le sens ancien, mais y ajoute un nouveau sens : un discourt sur Dieu et le Christ. c) Chez Saint Augustin, il y a trois genres de Théologie : Théologie mythique, qui traite les dieux païens ; Théologie physique qui traite des astres et Théologie civile, qui traite le culte de l’empereur divinisé. d) Chez les scolastiques au moyen-âge, le mot théologie

des Confessions de saint Augustin, datent de cette époque.     L'enluminure romane (XIe-XIIe siècles) La tradition antique se poursuit tandis que les différents éléments apparus précédemment – lettres ornées, lettres historiées, feuillages, animaux – s'ajoutent les uns aux autres.  Les rinceaux, tiges stylisées disposées en enroulement, sont utilisés à profusion dans les bordures. Les "pages-tapis" ou peintures "à pleine page" occupent tout l'espace de la page. L'école de Cantorbéry (Psautier de Bury

paganisme et de l’État. En 391, Théodose interdit le paganisme et ferme les temples. Les empereurs interviennent désormais de plus en plus dans la vie interne de l’Église. 11) Quelle est la conception des rapports entre l’Eglise et l’Etat chez Saint Augustin ? C’est dans un contexte d’affaiblissement (la fin de l’Empire, les invasions barbares…) que les conceptions Augustinienne donne naissance à la théorie des deux glaives. Cette théorie vise à normaliser en Occident les relations entre l’ordre

théologie catholique avaient tenté de démontrer la liberté de l’homme. Augustin d’Hippone et Anselme de Cantorbéry prétendaient que la volonté n’a pas d’autre cause qu’elle-même ; c’est là ce qui la définit comme libre. Saint Augustin, dans son traité Du Libre Arbitre, employait la notion d’automotricité de la volonté, héritée du Phèdre de Platon qui parlait d’autokineton (capacité à se mouvoir par soi-même). Mais ni Augustin ni Anselme ne précisaient vraiment comment la volonté pouvait se mouvoir

autour de l’Apocalypse de saint Jean : Raoul Glaber voit venir la fin du millenium pendant lequel Satan, l’antéchrist était enchaîné, mais d’autres (Adson de Montier-en-Der et Abbon de Fleury pour les plus célèbres) rappellent les paroles de saint Augustin qui s’opposait à toute forme de millénarisme : “pour ce qui est du jour et de l’heure, nul ne le sait”. 2. L’Église des laïcs : un héritage parfois positif a. La réforme monastique *L’élan du Xème siècle Cluny et les autres 9 Tout commence en

paganisme et de l’État. En 391, Théodose interdit le paganisme et ferme les temples. Les empereurs interviennent désormais de plus en plus dans la vie interne de l’Église. 11) Quelle est la conception des rapports entre l’Eglise et l’Etat chez Saint Augustin ? C’est dans un contexte d’affaiblissement (la fin de l’Empire, les invasions barbares…) que les conceptions Augustinienne donne naissance à la théorie des deux glaives. Cette théorie vise à normaliser en Occident les relations entre l’ordre