Australopithèque

étymologiquement " la pierre ancienne ". L'Homme est alors nomade, cueilleur et chasseur : la prédation est son mode de vie. Cette période est divisée en 3 parties :  Le paléolithique inférieur où l'on trouve les premiers hominidés en Afrique : les australopithèques, bipèdes, qui ont vécu il y a 5-4 millions d'années ( Lucie : 3,5 M d'a ).Mais il y a aussi les premiers Hommes d'Afrique : l'homo habilis par exemple, qui vécut il y a 2,6-2,4 M d'a, avec les premiers habitats et les premières industries ( débitage

datant de 1,51 à 1,52 Ma ont été trouvées au Kenya à Ileret[9]. Apparition parce que la science n’explique pas sa création mais déterminerait son apparition en se référent à des supposés ancêtres .Les plus lointains ancêtres de l'homme (les australopithèques) sont apparus il y a 4 millions d'années. Des ancêtres plus proches (Lucy, homo habilis, puis homo erectus) ont commencé à utiliser des outils. L'homme actuel (l'homo sapiens-sapiens), est apparu il y a 200.000 ans. Sur ces 200.000 ans, 194

nombreux singes habitaient les forêts africaines. Puis, il y a dix millions d'années environ, les prairies commencèrent à remplacer les forêts et les ancêtres de l'homme quittèrent les arbres pour s'installer sur le sol. Les premiers hominiens, les Australopithèques, apparurent en Afrique, il y a quelque cinq millions d'années. Ils marchaient sur leurs membres inférieurs, et ils se répandirent en Asie et en Europe.  Les premiers hommes, les premiers du genre Homo, sont apparus sur Terre il y a deux millions

ces caractères. On admet que tous fossiles présentant au – un de ces états dérivés appartiennent à la lignée humaine. 2 fossiles âgés de + de 6 Ma peuvent prétendent être au titre du + ancien homininé : Toumaï (Tchad), Orrorin (Kenya) Australopithèques : (anamensis, africanus, robustus=caractéristiques ≠), vécu entre -4 &-1 Ma, bipédie existe, bassin élargie, trace de pas Tanzanie (-3.6 Ma). Squelette reste adapté pour grimper, vol crânien = 400-500cm3, front fuyant, mâchoire dirigé vers l’avant

autre australopithèque, plus évolué puisque capable de fabriquer un grand nombre d'outils. On l'appela l'homo habilis et on peut le considérer comme le prédécesseur de l'homo sapiens. Depuis, Leakey a ajouté un nouveau chaînon à la lignée des hominiens africains avec l'homo 147 0 (simple référence de classement), ainsi nommé bien qu'il s'agisse probablement d'une femme. Le volume du crâne, indice de l'intelligence, permet de penser que sa présence entraîna l'élimination des australopithèques. Plus

Hominoïdes (pas de queue), au même titre que les gibbons ; Hominoïdés, au même titre que l'orang-outan ; Hominidés, au même titre que les gorilles ; Homininés, au même titre que les chimpanzés et bonobos ; Hominines, au même titre que les australopithèques (éteints), ardipithèques (éteints) et Paranthropus (éteints) ; Homo sapiens appartient au genre Homo au même titre qu’Homo habilis, Homo erectus, l'homme de Néandertal ou l'homme de Flores (éteints). Bien que le terme de race chez les humains

imaginaire, quatre “catégories” de base sont listées: 1. l’Australopithèque 2. l’Homo habilis 3. l’Homo erectus 4. l’Homo sapiens Les évolutionnistes appellent les prétendus premiers ancêtres de l’homme, ceux encore identiques aux singes, “Australopithèque”, ce qui signifie “singe sud-africain”. Ces créatures ne sont en réalité qu’une ancienne espèce de singe qui s’est depuis éteinte. Les recherches étendues faites sur divers spécimens d’Australopithèques par deux anatomistes anglais et américain

Ces éléments sont de nature sociale. Exemple avec la paléontologie de Y. Coppens où l’évolution humaine est liée à une adaptation des hommes à leur milieu (dû à un tremblement de terre : forêt => savane). Le paradigme de la mère Lucy (première australopithèque : première femme debout) mais deux découvertes 20 ans plus tard vont casser ça : • Du côté ouest (forêt) on découvre des fossiles qui étaient bipèdes qu’on date bien avant Lucy et vient déstabiliser l’affaire de Coppens • Dans les années 80 on

On y trouve des ossements, des outils simples, des traces de pas. Ces vestiges prouvent qu’il y a sept millions d’années, des proches d’ancêtres des êtres humains vivaient sur ce continent. C’est à partir de là que l’on voit apparaitre les australopithèques. Ils sont moins grands que les êtres humains, ils étaient bipèdes et utilisaient leurs mains pour saisir des objets. Ils se nourrissent de racines, de fruits, d’herbes. A l’image du singe, ils grimpaient aux arbres. Les traces les plus anciennes

résultats provisoires de la recherche archéologique. D’une façon générale, la recherche moderne a tendance à reculer les datations et à compliquer les choses en renonçant à une vue trop linéaire de l’évolution ! Les pré-hominiens : Australopithèques, pithécanthropes : Toumai en Centre Afrique – 6 millions d’années. Cousin des grands singes – et non pas descendant de ceux-ci : ancêtre commun probable à rechercher entre – 10 et – 7 millions d’années. Découverte en 2001 au Tchad d’un