Autel

qu'une folie épouvantable, broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts dans l'été, dans l'herbe, dans ta joie, Nature, ô toi qui fis ces hommes saintement !... - - Il est un Dieu qui rit aux nappes damassées Des autels, à l'encens, aux grands calices d'or ; Qui dans le bercement des hosanna s'endort, Et se réveille quand des mères, ramassées Dans l'angoisse et pleurant sous leur vieux bonnet noir, Lui donnent un gros sou lié dans leur mouchoir ! Arthur

........ Doc 3 : La procession des Panathénées. La procession partait des portes du Dipylon, traversait le quartier du Céramique ( le quartier des potiers), l’Agora, montait à l’Acropole et longeait le Parthénon pour arriver devant le grand autel d’Athéna où avaient lieu des sacrifices. Le cortège rassemblait des citoyens, des femmes et des filles de citoyens ; mais aussi des métèques, portant des plateaux d’offrandes et des jarres d’eau, et peu être même des habitants non libres de l’Attique

Tout d’abord, la publicité peut être perçue comme une religion. En effet, 1) Connotations religieuses de la publicité a- La langue de la publicité rappelle celui des religions. b- Le magasin est un temple de la consommation, la vitrine un autel. Les slogans rappellent les cantiques et les affiches les images pieuses c- La publicité chante le lyrisme de l’objet et rend la vie quotidienne plus joyeuse et esthétique. De plus, 2) Rôle d’aide a- Le slogan nous conseille, il prend la forme

régions inhospitalières sauvages. Lycaon va alors être comparé aux bêtes féroces du Ménale. Il est un tyran et il remet en question que Jupiter soit un dieu "s'il est un dieu ou mortel". Comme punition, Jupiter brûle le palais et ses pénates (autel domestique dans l'atrium avec portrait d'ancêtres). Ici, le feu est symbole de purification. 2ème punition :la métamorphose de Lycaon se fait en plusieurs étapes : -il perd le langage articulé - il consomme de la viande crue - il perd les vêtements

apercevoir les différents dieux, les grecques étant polythéistes. Les grecs vivaient donc en permanence en croyant aux dieux. La configuration de la scène est donc assez semblable à la notre. Nous trouvions donc une fosse d'orchestre ainsi qu'un autel dédié à Dionysos. Cette espace circulaire accueillait aussi le chœur. Le chœur étant composé d'un certain nombre de chanteurs qui prenaient en charge la partie lyrique du spectacle, donc le chant. Dans la pièce nous trouvions généralement un protagoniste

vénération car ceux-ci sont prêts à se venger et à punir les injustes. L’inscription DIIS MANIBUS inscrite sur les monuments funéraires est une dédicace aux dieux mânes. A partir du II ème siècle, le monument funéraire présente généralement la forme d’un autel. b) Les Enfers Dans la Rome Antique, lorsqu’une personne décède, son âme descend dans les Enfers, royaume de Pluton, pour y être jugé. Elle doit d’abord payer une obole à Charon afin de franchir le Styx. Après son jugement, l’âme part soit

toujours noyés d’ombre, chaque photographie est en noir et blanc et représente l’image banale d’une personne parfois souriante. L’identité des individus reste inconnue. L’ensemble de ces encadrements compose une forme dessinée sur le mur, elle évoque un autel, un objet de recueillement. e) Dans cette œuvre Boltanski met en forme l’absence. Il travaille la mémoire collective et la petite mémoire (mémoire affective, émotions singulières à chacun) à travers ces photos qui ont fort pouvoir émotionnel

père d' Hannibal, instituant une haine mutuelle sans fin entre Rome et Carthage. La seconde guerre punique (-218 ; -201). Comme vu dans le texte traduit en classe (ci-contre) Hamilcar Barca , le père d' Hannibal fit jurer à son fils sur un autel de vouer une haine sans fin aux Romains ,avant de mourir.En -218 Hannibal s' empara donc volontairement de Sagonte afin de provoquer les Romains.Comme les Romains gouvernaient à présent la Méditerranée ( mare nostrum) Hannibal choisit de passer par

moi. Songez que moins je me crois faite pour être négligée, plus je ressentirais vivement une injure. J'ai de la vanité, et beaucoup. Je ne sais pas haïr ; mais personne ne sait mieux mépriser, et je ne reviens point du mépris. Demain, au pied des autels, vous jurerez de m'appartenir, et de n'appartenir qu'à moi. Sondez-vous ; interrogez votre cœur, tandis qu'il en est encore temps ; songez qu'il y  va de ma vie. Monsieur, on me blesse aisément et la blessure de mon âme ne cicatrise point ; elle saigne

de la tempera également souvent utilisée pour les tableaux religieux 1) Genre ou formes de l'oeuvre Cette œuvre est un polyptyque (tableau en plusieurs parties), elle rappelle la forme des retables : dans une église, c'est un tableau placé sur un autel et sur lequel sont représentés les épisodes de la vie du Christ et des saints de la Renaissance. C'est une oeuvre figurative, car on peut reconnaître des éléments du réel. Elle appartient au genre pictural de la peinture d'histoire. 2) Thème Dans