Automutilation

l’adolescent, avec cependant une symptomatologie marquée par l’absence de spécificité : • qualité particulière de l’angoisse : l’intolérance du patient aux fluctuations de son niveau d’angoisse est constante et permet souvent de comprendre les automutilations qui surviennent tout autant dans les moments d’angoisse suraiguë que lorsque le sujet se retrouve confronté à une sensation de vide insoutenable • pathologie de l’agir où les passages à l’acte (tentatives de suicide, fugues, délinquance, conduites

scolaire pas de perspective ou de projet, - Echec en famille d’accueil. Cependant, ces diverses problématiques se retrouvent toutes sous l’expression « critères d’accueil » . Ils adoptent des symptômes similaires : tentatives d’autolyses, automutilation (Scarifications), fugues, consommation de toxiques, vols, dégradations. Le travail avec les adolescents, est-ce un choix ? Ce travail me conduit à penser que d’une part travailler avec une population d’enfants au sein d’un foyer relève

brûlures par cigarettes qui se présentent sous la forme d’excoriations circulaires, souvent sur-infectées et pouvant être confondues avec un impétigo. - L’alopécie Par arrachements brutaux et répétés des cheveux, à distinguer de l’alopécie par automutilation chez des enfants maltraités et souffrant de carences affectives.  Les fractures De diagnostic facile lorsqu’elles sont consécutives à un traumatisme direct (crâne, côtes, os propres du nez, rachis), elles sont difficiles à repérer ou à interpréter

principales sources-auteurs de violence contre les enfants en conflit avec la loi : personnel des lieux de détention, le personnel de la police et forces de sécurité , les détenus adultes, les autres enfants détenus, et les enfants contre eux mêmes (automutilation et le suicide) Un enfant bénéficie d'une mesure de déjudiciarisation lorsqu'il/elle est en conflit avec la loi mais que son affaire est réglée par des formules autres que le recours à une audience judiciaire. Pour bénéficier d'une mesure extrajudiciaire

excès ; • Forte impulsivité et prise de risque dans au moins deux domaines (sexualité, toxicomanie, conduite automobile.) ; • Instabilité affective ; • Fortes colères souvent sans raison réelle ; • Menaces suicidaires et/ou automutilations ; • Troubles de l'identité ; • Sentiment d'ennui, de vide ; • Peur d'être abandonné ; • Réactions disproportionnées au stress. La schizophrénie Les symptômes : • Apparaît vers la fin de l’adolescence • Manque de

(hyperactivation, stimulant cardiaque). Des neuromédiateurs (les peptides opioïdes) régulent la perception de la douleur ; chez les enfants autistes, il y a une hypersécrétion anormale de morphine endogène ou endorphine, ce qui expliquerait les automutilations pour arriver à un seuil où ils peuvent percevoir la douleur. • Hypothèses psychanalytiques : celles-ci ne rejettent pas sur le plan étiologique, l’idée d’éventuelles anomalies de l’équipement neurologique. - B. Bettelheim a rapproché

remise spontanée), consommation ou trafic de substances illicites (stupéfiants) ou prohibées (alcool) Niveau de gravité Niveau 3 violences volontaires (atteinte à l'intégrité physique, bousculades, crachats, coups, agressions sexuelles, automutilations), menaces avec armes par nature ou par destination (arme à feu, arme blanche, scalpels, tout autre objet dangereux...) Niveau 4 violences avec armes par nature ou destination, tout autre fait qualifié de crime (meurtre, viol, violences

les objets tranchants. Trouble du comportement = instabilité psychomotrice (instabilité, hyperactivité). Agressivité contre eux-mêmes et contre les autres. Les lois, le rapport aux règles de la société ne sont pas intégrés. Isolement et automutilation plus ou moins graves. Conséquence : la personne souffre d’une instabilité de l’humeur, des difficultés à contrôler ses pulsions, ses réactions impulsives, des relations interpersonnelles instables et des difficultés avec l’intimité. Exemple

troubles bipolaires ou certaines dépression, mais on les améliore (durent moins longtemps par ex, souffrance diminuée, on évite TS, etc...). Syndrome de maunchesen : l'automutilation Syndrome de lasthénie de Ferjol : les malades se font des automutilations qui les rendent asthéniques (avalent des bris de verre pour se mutiler à l’intérieur). La pulsion de mort chez Freud est répétitive : obstination des malades à faire rechutes. = Névrose de destinée. Les psychotropes ne sont pas des traitements

d’évaluation jouent un rôle de médiation et de triangulation en permettant de mettre à distance les affects et les émotions qui envahissent les équipes lorsqu’elles doivent faire face à des comportements autistiques difficiles comme, par exemple, les automutilations ou les conduites hétéro-agressives. En effet, ces échelles peuvent exercer un effet rassurant en donnant l’impression de mieux contrôler ce qui paraît incontrôlable, de quantifier des conduites autistiques qui débordent les soignants, et par là