Autoportrait Physique

Le goût pour le sport a souvent été perçu comme la marque d'une inculture. Cependant son omniprésence dans les sociétés modernes montre qu'il n'est pas une simple pratique physique, qu'il y aussi des enjeux culturels et politiques. On peut donc se demander si les valeurs de la culture sportives contribuent ou non a l'éducation et a l'épanouissement de la personne. Après avoir mis en évidence les valeurs et les vertus du sports, nous montrerons les limites du modèle éducative qu'il propose.

Uccellini Théâtre et peinture Tout public à partir de 9 mois le spectacle Une peintre, à la fois timide et impudique, réalise devant le public son autoportrait. Pour commencer elle n’a besoin de presque rien : de l’eau et de la terre. Elle peint le tout début, la première impression d’être en vie, la première bouffée d’air dans les poumons. Au fur et à mesure qu’elle se déploie sur la toile, s’enrichit le regard qu’elle porte autour. A moins que ce ne soit exactement le contraire : un pas

profit de celle de Personne dans les lois de Rome. Une personne (du latin persona, c'est-à-dire les masques des acteurs antiques des tragédies), contrairement à l’individu, ne se définit pas par le coté physique, extérieur, génétique de l’être humain. Ainsi, si le " qui " ne renvoie pas qu’au physique, il peut renvoyer à la personne : l’identité sociale, composé à la fois de comment on se perçoit mais aussi de comment on est perçu par les autres : que cela soit des groupes de pairs, la famille et ainsi

à Paris et semble être un adolescent brillant mais solitaire et farouche. Il s’exalte en lisant Chateaubriand. Après son bac, il s’inscrit à la faculté de droit mais songe surtout à fréquenter le quartier latin où il côtoie des marginaux. Autoportrait en 1860 Pour l’éloigner de ses mauvaises fréquentions, la famille décide de lui offrir un long voyage. Il s’embarque pour Calcutta, mais il reste dans sa cabine et s’abandonne à une mélancolie inquiétante. Baudelaire par Nadal en 1855

essai dénonce le fait que les gens jugent par l'aspect extérieurs, ils jugent les personnes dans savoir ce qu'ils sont vraiment. Texte 9 Cet essai est un autoportrait de l'auteur qui se décrit comme banal, sans rien d'exceptionnel ; pourtant il est heureux, il se sent bien dans sa peau. En effet beaucoup jugent sur la beauté ( le physique, la taille, la corpulence … ) or Montaigne est très petit et n'est pas beau. Texte 10 Montaigne explique qu'il ne se fit qu'à lui même. Il est solitaire

propre. Il est aussi indivisible car que le corps forme un ensemble avec l’âme, tout du moins en théorie car on peut penser que l’âme et le corps sont deux entités distinctes. Mais cela n’empêche que la conscience de l’homme sur lui-même donc sur son physique le présente comme un individu. C’est une notion au premier abord dégradante car anonyme, elle fait perdre un peu l’identité de la personne. Un individu est vu comme un terme renvoyant à la solitude car il se démarque des autres. Il se détache de

l'ouvrage « Essais » 1588. Montaigne utilise la première personne qui est particulièrement utilisé dans ce texte surtout au début des paragraphes : « Moi », « J’ai la complexion », « J’ai honte ». Il se peint lui-même. Le texte est comme un autoportrait Montaigne raconte son expérience personnelle, ces voyages. Pour lui le voyage c’est un plaisir (ligne 1) mais aussi de liberté. Il indique quelle attitude a il a prit pendant les voyages. Montaigne montre les décisions simples et l'absence de contrainte

équipage, paniers Personnages : quelques femmes ; un homme âgé ; Tiberge (témoin) = gens ordinaires ≠milieu de la cour. Environnement disparaît rapidement pour mettre en valeur les 2 personnages. II/ Les personnages 1) Pauvreté du portrait physique Rien sur le narrateur Manon : adj. mélioratif  « si charmante ; fort jeune » 2) Esquisse des portraits moraux Narrateur : innocent = retenue, sagesse, timide Jeune fille : aisance et expérimenté => CONTRASTE entre les 2 personnages 3) L’échange

triptyques emblématiques, dont Trois Figures dans une pièce en 1964. Après le suicide de son compagnon George Dyer en 1971, l’artiste réalise trois triptyques où il décrit de manière obsessionnelle la scène du drame. Il peint également de nombreux autoportraits. Son thème de prédilection est la représentation du corps humain sous la forme de personnages écorchés, agités et déformés. Largement influencé par l’art classique, Francis Bacon bâtit une œuvre violente et déchirante, triturant la figure humaine

devient dominant dès 1910 chez les expressionnistes allemands. 1909 Théâtre japonais 1910 Franzi sur une chaise (Les cernes et les contours sont très appuyés. Le contour est plus anguleux) 1913 Femme faisant sa toilette devant un miroir 1910 Autoportrait Octobre 1911 il quitte Dresde pour Berlin. Avènement de son style pictural. Recourt au grand format et privilégie des compos simplifiées. Il abandonne l’exploitation des tons rouge, bleu et vert au profit d’une palette plus sourde constituée