Autopsie

détective prit en charge les dépositions de chacun des invités présents à la scène du crime. Cela ne l’intéressait guère encore, parce qu’il fallait déterminer la nature de la mort de M. Menard. Il fit appel à la section scientifique pour faire une autopsie qui confirma que c’était une mort suite à un empoisonnement. Il fallait alors trouver des suspects crédibles qui pouvaient en vouloir à M. Menard. Au fil des jours, le détective Brunet avait ciblé des suspects potentiels. En premier lieu nous avons

reprise par la longue phrase : "il faut que j'ouvre au couteau le mystère comme un ventre, et que j'y plonge à pleines mains, même si rien ne changera rien à rien". Métaphore chirurgicale évoquant une césarienne (il faut "accoucher la vérité" ?) ou une autopsie, avec hypotypose : "couteau", "ventre", "plonger", renforcée par les allitérations en [r] puis en [pl] : "plonge" / "pleines mains", et le retour du [r], avec la répétition obsessionnelle et l'antanaclase du "rien". Cruauté de l'acte, présenté comme

Belles Lettres, 1990, 246 p. CARZOU, Jean-Marie, Arménie 1915 : un génocide exemplaire, Paris, Calmann-Lévy, 2006, 333 p. CHALIAND, Gérard, TERNON, Yves, 1915, le génocide des Arméniens, Bruxelles, Ed. Complexe, 2002, 213 p. DADRIAN, Vahakn, Autopsie du génocide arménien, Bruxelles, Ed. Complexe, 1995, 266 p. DADRIAN, Vahakn, Histoire du génocide arménien : conflits nationaux des Balkans au Caucase, Paris, Ed. Stock, 1996, 693 p. DASTAKIAN, Anne, Le génocide arménien, Paris, Ed. la Mascara

L’écriture ou la vie: un choix douloureux pour Semprun → cf. pp. 254-255 :  Écrire le renvoie dans la mémoire de la mort  Abandon de l’écriture, pour survivre → cercle vicieux durant 17 ans… (p.215) : système circulaire qui enferme l’écrivain → autopsie du problème (pp.217 sq.)  « Je dois écrire, mais comment ? »  vrai problème ≠ technique = éthique (cf. ext.)  > choix : thérapie de l’oubli (« béatitude obnubilée de l’oubli »), durant 17 ans → finalement, une ascèse: « écrire jusqu’au bout de

apposition ou étalement – cytocentrifugation : projection d’un spot sur une lame – cytologie en couche mince («mono-couche») • BUTS DE LA CYTOLOGIE : • Dépistage • Cyto-diagnostic couplé ou non à l’histologie (ponction-biopsie). 9 4. Autopsie (ou nécropsie) scientifique • Il faut différencier : – L’autopsie scientifique – l’autopsie médico-légale – la dissection anatomique des cadavres. • BUT : établir un diagnostic rechercher les lésions responsables du tableau clinique et

de l’hémisphère gauche[réf. souhaitée]. Ses cendres sont éparpillées dans un lieu tenu secret, conformément à son testament. Mais, en dépit de ses dernières volontés, son cerveau et ses yeux sont conservés par le médecin légiste ayant effectué son autopsie.[réf. souhaitée Albert Einstein

médecine monastique. A cette époque, la chirurgie est un travail manuel donc au niveau le plus bas de la dignité. Les premières dissections occidentales ont lieu à Bologne vers 1266-1275. Au XIVème siècle naît la médecine judiciaire avec les premières autopsies. La passion de l’anatomie se dévoile avec la Fabrica de Vésale, les dessins anatomiques de Léonard de Vinci, Michel-Ange, le Titien, Raphaël,… Même l’Encyclopédie de Diderot encense la pratique de la dissection anatomique : « la conservation des

Toutefois, on peut dégager un semblant d'histoire : Les Smith, famille traditionnelle londonienne, reçoivent les Martin. Le capitaine des pompiers leur rend visite. Celui-ci reconnaît en Mary, leur bonne, une vieille amie. Cette œuvre se veut une autopsie de la société contemporaine, par le truchement des propos ridicules et banals que tiennent les deux couples au coin du feu. Le summum de l'absurde est atteint lorsque le pompier demande “Et la cantatrice chauve ?” et qu'on lui répond “Elle se coiffe

étude de la préface ( ACTE I, scène 1 : Le portrait de Thésée par Hippolyte (vers 65 à 113) ( L’Hippolyte racinien : un jeune premier languissant. ( ACTE I, scène 3 : l’aveu de Phèdre à Œnone (vers 269 à 316) ( L’Eros racinien : autopsie d’une passion (ACTE II, scène 5 : l’aveu de Phèdre à Hippolyte (vers 631 à 711)   ( Phèdre, une reine incandescente ( ACTE IV, scène 6 : la jalousie de Phèdre (vers 1225 à 1294) ( ACTE V, scène 6 : Le récit de la mort d’Hippolyte par

seulement en 1960 que l’on exige un certi�cat médical qui atteste que la personne est bien morte et que l’on peut l’inhumer. Tout ceci c'est fait grâce à des décrets: > Décret 1941: reconnaissance légale de l’arrêt circulatoire comme signe de mort. Autopsie moins de 24 heures non autorisée. (Avant, il était interdit de procéder à l'autopsie d’un cadavre avant que ce soit écoulé 24 heures. Il fallait l’autorisation du maire de la commune ou du préfet de police.) > Circulatoire 1948: obligation par