Autorité

Dès le début de cet extrait on s'aperçoit que Georges est quelqu'un de brillant grâce à une énumeration de quatres verbes conjugués au passé simple: "souleva", "reprit", "agrandit" et "développa", cela nous démontre sa détermination. Madeleine de son côte est montrée comme une femme ambitieuse: "ayant allumé une cigarette", au 19eme siècle il n'y avait pas beaucoup de femmes qui fumaient c'était surtout les hommes donc cela nous donne un sentiment de liberté. Cette métaphore "des traits piquants

Chers lecteurs, chères lectrices qui veulent du changement. Je suis un militant pour le retour à la démocratie et j'ai créé ce journal dans le but de vous éclaircir sur la dernière montée au pouvoir de ce régime totalitaire qui nous a tous bouleversé la vie depuis quelques mois. Tout d'abord, je voudrais vous rappeler les mesures prises par ce gouvernement extrême en commençant par cette loi, sur l'extermination des animaux domestiques autres que brun que personne n'aurait du accepter. Pourquoi

 Sommaire I. Le rôle d’un manager p 2 1. Qu’est-ce qu’un manager ? p 2 2. Les différents rôles d’un manager p 3 II. La délégation p 4 III. Le contrôle p 6 IV. Les styles de management p 8 I. Le rôle d’un Manager 1. Qu’est-ce qu’un manager ? Le manager est désigné par la hiérarchie et est imposé à une équipe. Il doit organiser, coordonner et contrôler l’activité de son équipe. Le manager a des objectifs et cherche à les atteindre avec son équipe. Le rôle du manager a bien évolué

 Notre texte est issu de l'ouvrage Les temps hypermodernes (2004) de Gilles Lipovetsky. Dans ce livre, écrit en collaboration avec Sébastien Charles, Lipovetsky revient sur son parcours intellectuel et les différentes étapes de son travail, mais il apporte aussi un élément supplémentaire à son interprétation de la « seconde révolution moderne » : le « postmoderne » a fait son temps, nous sommes passé à l'âge de « l'hypermoderne ». Gilles Lipovetsky est

Ce qui fait de Julien un être différent de ses frères et de son pére est l'image que Stendhal fait apparaître des frères, il le qualifie de « géants » qui sont très actifs On remarque qu'il insiste sur la force, la taille, l'action «lourdes haches» (1. 2),«espèce de géants» (1. 24), «copeaux énormes » (1. 4)). Puis il décrit un père autoritaire et brutal La brutalité apparaît dans la voix et la violence du ton «voix de stentor» (1. 1), «terrible voix de son père » (1. 11), dans des manifestations

Université d’Etat d’Haïti Faculté de lettres Sciences humaines et Sociales Cours d’Analyse du Social et des Problèmes Sociaux L2SAC2 Résumé de « Pouvoir et Assistance : cinquante ans de service social » Verdès-Leroux Jeanine. Pouvoir et assistance: cinquante ans de service social. In: Actes de la recherché en sciences sociales. Vol. 2, n° 2-3, juin 1976. pp. 152-172 Michel AUGUSTIN Novembre 2015 Le document “Pouvoir et Assistance: Cinquante ans de service social”, est un texte Verdès-Leroux

Puis-je savoir ce que je suis ? Vivant dans un état de droit, je peux être arrêté par les forces de l’ordre qui peuvent me réclamer mes papiers d’identité. Sur cette carte d’identité. Sur cette carte d’identité figurent certaines caractéristiques ; mon sexe , mon nom ,mon prénom , ma taille , ma domiciliation , mon âge… les renseignement suffisent-ils véritablement a me connaitre moi-même ? Le sujet m’interroge sur le droit , la légitimité de me connaitre moi-même. Il semble que je suis légitimement

L’Africain de J.M.G. LE CLEZIO Thème : Le souvenir Présentation : L’Africain de Jean-Marie Gustave Le Clézio rend un bref mais intense hommage à son père, qui a résidé en Guyane puis au Cameroun lorsque ces pays étaient encore sous domination française, y exerçant la profession de médecin. L’auteur aura donc attendu d’avoir dépassé les soixante ans pour publier ce roman à dimension autobiographique et dont les souvenirs qui le nourrissent sont pourtant ancrés en lui depuis bien longtemps.

pertes. Les autorités, au lieu de leur offrir des aides effectives, ont choisi de soulager les barrages et donc d’augmenter la malaise des pauvres, elles leur ont construites des tentes au lieu des maisons, les pensions n’ont pas dépassé les 3, 4 millions de centimes pour les défunts sous les gravats ou les paysans. Même les grandes villes ne sont pas échappées des inondations, non juste de la pluie mais des égouts. Pour ces problèmes, il faut poser la question aux autorités sur le rôle des

la raison en est que c’est l’État qui, en opprimant, est la source du désordre social. Par ailleurs l’anarchisme n’est pas l’anomie. Toute société a besoin de règles. La question est de savoir si ces règles doivent être imposées d’en haut par une autorité supérieure arbitraire ou si elles peuvent se déduire naturellement d’un principe éthique universel qui ne soit pas l’expression de privilèges ou de rapports de force politique. Bien sûr, les anarchistes répondront différemment, selon qu’ils sont