Aux Champs Prevert

des XIXème et XXème siècles dont 4 poèmes antérieurs au XVI siècle Poèmes d’amour Alphonse ALLAIS, XIX siècle Complainte amoureuse Oui dès l'instant que je vous vis Beauté féroce, vous me plûtes De l'amour qu'en vos yeux je pris Sur-le-champ vous vous aperçûtes Ah ! Fallait-il que vous me plussiez Qu'ingénument je vous le dise Qu'avec orgueil vous vous tussiez Fallait-il que je vous aimasse Que vous me désespérassiez Et qu'enfin je m'opiniâtrasse Et que je vous idolâtrasse Pour

décrypterons ensuite le message implicite que nous transmet ce sonnet. Ce sonnet est construit sur l’opposition entre deux tableaux (anaphore « tandis que ») qui traduisent une émotion violente . Les deux quatrains décrivent un champ de bataille ; le premier vers s’ouvre sur une métaphore qui assimile «  la mitraille » à des « crachats rouges » qui évoquent le sang et le mépris . Les combats durent « tout le jour » et tuent sans cesse : les expressions hyperboliques comme « croulent

la métaphore, (de Ronsard et Du Bellay à Jacques Prévert ou Eugène Guillevic en passant par Hugo, Apollinaire, les surréalistes et bien d’autres). L’emploi de l’image est d’ailleurs repéré comme une des marques de l’expression poétique ; un seul exemple emblématique de métaphore filée en rendra compte : « (Ruth se demandait …) Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel été / Avait, en s’en allant, négligemment jeté / Cette faucille d’or dans le champ des étoiles », (Victor Hugo, Booz endormi). Genres

La poésie du rêve éveillé. Etude comparée de "Rêverie" de V.Hugo et de "Spleen" de Baudelaire °Mise en évidence de l'opposition essentielle entre les deux poèmes : rêverie merveilleuse face à une rêverie sinistre. Relevé des champs lexicaux correspondants. °Mise en évidence qu'il s'agit d'un souhait dans le texte de Hugo et de la réalité chez Baudelaire. °Faire rechercher le point de départ des deux rêveries, assez semblable : la fin du jour et de l'année (Hugo) et la

se passe dans ses livres, ça se passe pas tout seul. Donc si on aime Zola ajd, c'est surtout pour son style. B) POÉSIE 1. Remarques générales: Pour analyser un poème: Thématique (champ lexicaus, choix des mots (mots durs, allusions...), emplacement des thèmes, figures de style, relation entre les champs lexicaux) Versification (alexandrins, quatrains, tercets, sonnets, rimes plates, rimes croisées, rimes embrassées) Musicalité (rythme (césures à l'hémistiche ou autre) , sonorités (si ya plein

lombric de France comme, avant lui, ses père et grand-père; son rôle, il le connaît. Il meurt. La terre prend l’obole de son corps. Aérée, elle reprend confiance. Le poète, vois-tu, est comme un ver de terre il laboure les mots, qui sont comme un grand champ où les hommes récoltent les denrées langagières; mais la terre s’épuise à l’effort incessant! sans le poète lombric et l’air qu’il lui apporte le monde étoufferait sous les paroles mortes. Jacques Roubaud, Les Animaux de tout le monde, Seghers

ambitieux, ou par des guerriers dont la profession est incompatible avec le repos, ont eu dans tous les âges les effets les plus funestes pour l’humanité. L’histoire ne nous fournit que des exemples de paix violées, de guerres injustes & cruelles, de champs dévastés, de villes réduites en cendres. L’épuisement seul semble forcer les princes à la paix ; ils s’aperçoivent toujours trop tard que le sang du citoyen s’est mêlé à celui de l’ennemi ; ce carnage inutile n’a servi qu’à cimenter l’édifice chimérique

Ainsi fait l'oiseau. Nous, nous cherchons, dans la ville, Le coin désert, l'abri solitaire et tranquille, Le seuil qui n'a pas d'yeux obliques et méchants, L’écrevisse La rue où les volets sont fermés ; dans les champs, Nous cherchons le sentier du pâtre et du poète ; Incertitude, ô mes délices Dans les bois, la clairière inconnue et muette Vous et moi nous nous en allons Où le silence éteint les

la métaphore, (de Ronsard et Du Bellay à Jacques Prévert ou Eugène Guillevic en passant par Hugo, Apollinaire, les surréalistes et bien d’autres). L’emploi de l’image est d’ailleurs repéré comme une des marques de l’expression poétique ; un seul exemple emblématique de métaphore filée en rendra compte : « (Ruth se demandait …) Quel Dieu, quel moissonneur de l’éternel été / Avait, en s’en allant, négligemment jeté / Cette faucille d’or dans le champ des étoiles », (Victor Hugo, Booz endormi). Genres

L’Enfant * Colette, Sido, Le Blé en herbe J.-P. Sartre, Les Mots A. Cohen, Le Livre de ma mère R. Gary, La Promesse de l’aube A. Hampaté Bâ, Amkoullel l’enfant peul * M. Pagnol, La Gloire de mon père*, Le Château de ma mère* J. Rouaud, Les Champs d’honneur G. Perec, W ou le souvenir d’enfance E. Laborit, Le Cri de la mouette * A. Nothomb, Stupeur et tremblement * K. Blixen, La Ferme africaine Nelson Mandela, Un Long Chemin vers la liberté Nouvelles et contes P. Mérimée, Colomba *, Carmen*