Ava Gardner

façon, car certains acteurs et actrices appréciés du public obtiennent des emplois taillés pour eux. Ce sont les rôles qui viennent à la rencontre de l’acteur, non l’inverse. Du temps où Gary Cooper, Errol Flynn, Clark Gable, Ingrid Bergman ou Ava Gardner figuraient parmi les valeurs sûres du box-office, leurs admirateurs et admiratrices savaient qu’en allant voir leur star préférée, ils et elles le verraient interprétant un personnage à peu près immuable, ou du moins une variation sur un personnage

« Et moi, émoi », essai sur l’individualisme dans la communication publicitaire, affirme que « la ménagère est partagée entre les difficultés quotidiennes et l’appel des mythologies » fournis par les « figures de références » du cinéma américain : Ava Gardner, Marilyn Monroe pour les vedettes féminines. « Dès 1956, poursuit Pascal Weil, vont apparaître les signes d’une liberté nouvelle. Brigitte Bardot dans « Et dieu créa la femme » présente un modèle de star dont l’érotisme, même innocent, annonce

la population : l’Europe qui vient de vaincre le nazisme, essoufflée mais confiante dans le progrès et la science, est rassemblée autour de ses valeurs retrouvées. Les figures de référence de l’époque sont fournies par le cinéma américain : Ava Gardner, Marylin Monroe, Humphrey Bogart ou Gary Cooper. La ménagère est partagée entre les difficultés quotidiennes et l’appel de ces mythologies. La société repose sur un fort consensus : la croyance dans la consommation, le progrès et la légitimité

des adolescents donne lieu à une exploitation commerciale sans précédent et l'adolescente devient une star de la scène sociale avant d'être une star tout court. À l'écran on voit deux modèles de beauté féminine : la femme voluptueuse, du style Ava Gardner, Heddy Lamar, Dorothy Lamour et la beauté adolescente qui n'est pas encore une femme, incarnée dans les films par des actrices adolescentes comme Debbie Reynolds et Sandra Dee5. Les deux se combinent, pourrait-on dire, dans Marilyn Monroe dont le

 d'invraisemblances.  Bons  trucages.  Interprétation   convenable.     LES  TUEURS  (The  Killers)   É.-­‐U.  1946.  Drame  policier  de  Robert  Siodmak  avec  Burt  Lancaster,  Ava  Gardner  et  Edmond  O'Brien.  -­‐  Deux  enquêtes  sont  menées  parallèlement  au  sujet   d'un  meurtre  commis  par  des  tueurs  professionnels.  -­‐  Sujet  tiré  d'une  nouvelle

BELLE ACTRICE NORDIQUE o SONDAGE : ELISEZ LA VEUVE JOYEUSE o SONDAGE : ELISEZ LE MEILLEUR ACTEUR DU MUET o SONDAGE : ELISEZ VOTRE ACTEUR FAVORI o SONDAGE : ELISEZ VOTRE ACTRICE FAVORITE o SONDAGE : GARDNER OU TAYLOR ? o SONDAGE : GINGER ROGERS OU JUDY GARLAND ? o SONDAGE : LE COMTE DRACULA OU LE MONSTRE DE FRANKENSTEIN ? o SONDAGE : MATA HARI OU L'AGENT X27 ? o SONDAGE : QUEL EST LE DESTIN LE PLUS TRAGIQUE ? (CHEZ

canapé (1961) de Blake Edwards, fantasmant sur des bijoux de Cartier et Van Cleef & Arpels!!! Tout ça pour dire qu'on est entré bel et bien dans une société de consommation qui utilise les stars pour faire des publicités( exemple très marquant : Ava Gardner et Grace Kelly, même dans la brousse africaine de Mogambo(1953) de John Ford, ne peuvent faire un pas sans leur rouge à lèvres Max Factor!!!) Par ailleurs, Hollywood offre le rêve que tout le monde peut être beau. En effet, la plupart des films

des adolescents donne lieu à une exploitation commerciale sans précédent et l'adolescente devient une star de la scène sociale avant d'être une star tout court. À l'écran on voit deux modèles de beauté féminine : la femme voluptueuse, du style Ava Gardner, Heddy Lamar, Dorothy Lamour et la beauté adolescente qui n'est pas encore une femme, incarnée dans les films par des actrices adolescentes comme Debbie Reynolds et Sandra Dee. Les deux se combinent, pourrait-on dire, dans Marilyn Monroe dont le

concentré. Et toi ? Qui est ta cible ? Dans quels bras tu es ? D’une voix douce il dit Ava Gardner. Nousfûmes stupéfaits. Ali visait très haut, après tout, c’était virtuel, il n’y avait pas plus de filles que d’histoire d’amour. Nous nous tournions le dos, la main droite serrant notre pénis. Il fallait éjaculer en même temps. Sam hurlait en insultant sa proie. Moi, je gémissais et Ali criait : « Oui Ava, oui Ava ! » Ce jeu avait quelque chose de déprimant. Nous nous séparions la mine terne. Nous avions

général (voir le tableau 3). Dans un contexte publicitaire, certains auteurs mettent davantage l'accent sur la publicité elle-même (Krugman, 1962, 1965, 1967, 1977 dans Zaichkowsky, 1985), d'autres sur les produits (Howards & Seth 1969 ; Hupfer & Gardner, 1971 dans Zaichkowsky, 1985) ou encore sur les décisions (Clarke & Belk, 1978 dans Zaichkowsky, 1985). Dépendamment de la 39 référence sur laquelle se base l'auteur, sa définition de l'implication change. Le tableau suivant présente des