Avantage Du Totalitarisme

réflexion suivante : dans quelle mesure peut-on dire que la démocratie est un concept relatif ? Thème n° 1 Comment définir la démocratie ? Mots-clefs Monarchie – aristocratie – démocratie – démocratie antique – démocratie libérale – autocratie - totalitarisme – libéralisme – pluralisme – autonomie – hétéronomie Doc. 1 : F. Hamon et M. Troper, Droit constitutionnel, LGDJ, 2009, 31ème éd., n° 83-89 (extraits) La classification des formes de gouvernement A. – Classification ancienne « Les trois

entremêlés et ne sont pas indépendants. Dans le cas où un seul homme détient le pouvoir, on qualifie le régime d'autocratique et l'on assiste ordinairement au développement d'un culte de la personnalité, caractéristique de nombreuses dictatures ou totalitarismes. Les régimes autoritaires ne présentent que rarement des caractéristiques démocratiques. Ils s'opposent profondément au parlementarisme et prospèrent généralement sur la perte de crédibilité de ce système politique. Ni la population dans son ensemble

interdiction des comiques… Ce traité de philosophie politique et de philosophie du droit, peut être considéré comme un premier manuel de totalitarisme. Rien n’est laissé en dehors de la Cité, de l’Etat dirions-nous aujourd’hui. On connaîtra jusqu’à une date récente d’autres exemples de ces utopies, en réalité meurtrières, au travers du totalitarisme. Le vingtième siècle a été à cet égard un siècle terrible. ARISTOTE Aristote se prête mieux à une illustration de la pensée politique

président est décédé, et Hitler devient Président en même temps que chancelier. Paragraphe.3: L'autoritarisme et le totalitarisme Pressentiment dans la littérature et certains auteurs avaient senti l'émergence d'un nouveau régime. Cette nouvelle société industrielle avait en elle les germes d'une régime autoritaire. Climat général des 30's où on a pu constater le regain du totalitarisme. A. L'expansion mondiale du modèle autoritaire 1. Le modèle autoritaire A. Un pouvoir conservateur La base

moments : une socialisation heureuse et socialisation malheureuse. La première est celle qui correspond aux sociétés commençantes avec des relations interpersonnelles vraies. Dans cette socialisation, l’existence sociale n’apporte alors guère que des avantages. Avec la socialisation malheureuse naissent les problèmes. Cette socialisation commence avec le passage au premier plan du phénomène de propriété : « le premier qui ayant enclos un terrain, s’avisa de dire ceci est a moi, et trouva des gens assez

non-retour et nécessite un changement intellectuel profond. Nier la machine équivaut à se condamner, mieux vaut en être le maître et donner à ses produits un « contenu de réalité » : éliminer chaque désavantage de la machine, sans sacrifier aucun de ses avantages. S'il commence à exister une architecture, une peinture, une sculpture modernes, Gropius constate que les objets usuels ne participent pas de ce mouvement : l'artisan, qui a le savoir-faire, plagie les époques révolues, tandis que l'artiste, qui

la plus efficace serait de confier ces services à l’entreprise concurrentielle ou de manière plus générale par la position prise par la commission ou la cour de justice des communautés européennes. A rapprocher de l’étatisme, bureaucratie. Totalitarisme - Concept moderne appartenant au XXe siècle, celui des « guerres totales », il est apparu dans les années trente pour désigner l’apparition des phénomènes de masse et les pensées politiques prétendant à la domination complète de la société. Pensé

sur le présent, sur l’ère de l’acculturation des masses et du totalitarisme écrasant » affirme également Kwathar AYED8. Les contre-utopies sont donc des œuvres politiques au sens fort, puisqu’elles se veulent aussi des critiques cinglantes, « ironiques », « caricaturales »9 ou « désespérées » selon les cas, de sociétés réellement existantes, par exemple le monde plus spécifiquement « soviétique » pour ZAMIATINE ou tous les totalitarismes de son époque pour ORWELL. Comme le disait Bronislaw BACZKO

du système et appel à un remède systémique, le keynésianisme. Lorsque Keynes réfléchit à mettre en place un nouveau système, il se sent impliquée dans une mission, si les démocraties libérales ne trouvent pas un moyen de sortir de la crise, le totalitarisme pourra se répandre partout et le libéralisme sera condamné. L'objectif de Keynes est d'abord politique, défendre la liberté et la démocratie. Il est conscient qu'il invente un système qui remet en cause le libéralisme mais qui permet de sauver

l’idée de propriété. En effet, dans cette société nouvelle, sont privilégiés sans nul doute les propriétaires : Benjamin Constant, politique libéral contemporain de Guizot, considère la liberté des modernes comme fondée sur la sphère privée. Or cet avantage de la propriété profite à peu d’individus dans une société ou l’indigence est devenu fait social. Karl Marx, philosophe et théoricien allemand du XIXe, avait d’ailleurs souligné ce caractère trop formel des libertés dans les démocraties capitalistes