Avantages Et Inconvenients De La Polygamie

d'un clause que l'on appel la tontine, la clause d'accroissement, en effet en cas deces de l'un des deux concubin, le bien sera automatiquement attribuer au concubin. Le concubin n'est pas heritier. Cette indépendance peut parfois avoir des inconvénients. Pour remédier la jurisprudence, est obligée de recourir aux notions de droit commun : La notion d’indivision : chose indivis (partager un appart). Cela prévoit parfois la clause de tontine, qui est une cause d’accroissement de plein droit, permettant

point unies par la connaissance. Elles ne suivent pourtant pas invariablement leurs lois naturelles: les plantes, en qui nous ne remarquons ni connaissance ni sentiment, les suivent mieux. Les bêtes n'ont point les suprêmes avantages que nous avons; elles en ont que nous n'avons pas. Elles n'ont point nos espérances, mais elles n'ont pas nos craintes; elles subissent comme nous la mort, mais c'est sans la connaître; la plupart même se conservent mieux que nous, et ne font

personnels de la femme auxquels s’ajoutent la dot et le Morgengab peuvent ne pas suffire à l’entretien de la femme survivant à son mari aussi a-t-il semblé équitable de lui donner une part des acquêts. Il ne s’agit pas d’une donation du mari mais d’un avantage coutumier dont la mention la plus ancienne se trouve dans la loi ripuaire, loi des francs ripuaires (le long du Rhin, Ripa est la Rive en Latin). Ce texte attribue un tiers des acquêts à la femme, c’est dans cette loi que l’on rencontre pour la

l’égalité entre la fille et le garçon confiés à la garde, en leur laissant la latitude de choisir leur dévolutaire, à l’âge de 15 ans. 4- S’agissant de la polygamie, nous avons veillé à ce qu’il soit tenu compte des desseins de l’Islam tolérant qui est attaché à la notion de justice, à telle enseigne que le Tout Puissant a assorti la possibilité de polygamie d’une série de restrictions sévères. « Si vous craignez d’être injustes, n’en épousez qu’une seule ». Mais le très Haut a écarté l’hypothèse d’une parfaite

présidés par les pontifes. Le caractère religieux et public du testament primitif permet de comprendre son but : le droit romain ignorait le privilège de masculinité et le droit d’aînesse ; aussi le paterfamilias utilisait-il son testament pour avantager celui de ses parents qu’il considérait comme le futur chef de la famille, chargé de l’entretien du culte domestique et le plus apte à assumer à son tour les responsabilités familiales. L’évolution postérieure, qui a permis au testateur de disposer

pas seulement admise comme la plus ancienne, mais — déduction faite de la polygamie, — on l'identifiait avec la famille bourgeoise actuelle, si bien qu'à proprement parler la famille n'avait absolument pas subi d'évolution historique ; on concédait tout au plus que dans les temps primitifs pouvait avoir existé une période de rapports sexuels exempts de toute règle. A vrai dire, on connaissait, à part la monogamie, la polygamie orientale et la polyandrie indo-tibétaine ; mais ces trois formes ne pouvaient

demain le tribunal, 6.Pas la clandestinité, le concubinage, l’amour libre, à la corinthienne, à la samaritaine ou à la Sarkozienne, 7.Pas une chose telle que ceux qui sont dedans veulent sortir et ceux qui sont dehors veulent entrer, 8.Pas la polygamie, pas la polyandrie ou l’homosexualité, le gay, 9.N’est pas « si tu veux jouer la vie, il faut rester célibataire, en vérité en vérité, il faut rester célibataire », 10.Pas la solitude à deux, pas la rencontre de deux bons viveurs ou chacun jongle

habitudes, à la situation du peuple pour lequel elles sont faites ; qu’il faut être sobre de nouveautés en matière de législation, parce que s’il est possible, dans une institution nouvelle, de calculer les avantages que la théorie nous offre, il ne l’est pas de connaître tous les inconvénients que la pratique seule peut découvrir ; qu’il faut laisser le bien, si on est en doute du mieux ; qu’en corrigeant un abus, il faut encore voir les dangers de la correction même, qu’il serait absurde de se livrer

ils ont la nationalité. En principe la prohibition de la polygamie est d’ordre public. Même si la loi nationale des époux permet la polygamie, leur union ne pourrait pas être célébrée en France par des agents diplomatiques de leur pays. Principe : le mariage ne peut pas être célébré en France même devant des agents diplomatiques car idée de souveraineté nationale. II) Les effets d’un mariage polygamique célébré à l’étranger La polygamie est un fait, elle existe et le législateur ne doit pas fermer

habitudes, à la situation du peuple pour lequel elles sont faites ; qu’il faut être sobre de nouveautés en matière de législation, parce que s’il est possible, dans une institution nouvelle, de calculer les avantages que la théorie nous offre, il ne l’est pas de connaître tous les inconvénients que la pratique seule peut découvrir ; qu’il faut laisser le bien, si on est en doute du mieux ; qu’en corrigeant un abus, il faut encore voir les dangers de la correction même, qu’il serait absurde de se livrer