Avantages Inconvénients Théorie Keynésienne

c'est la productivité marginale du travail, c'est-à-dire ce que rapporte le dernier travailleur embauché, qui détermine le niveau du salaire, à conditions techniques inchangées. D'autre part, à volume d'emploi donné, l'utilité du salaire, soit les avantages que procure le salaire au travailleur, est égale à la désutilité marginale du travail, c'est-à-dire ce qu'il en coûte au travailleur d'aller travailler (effort, perte de temps libre...). Un niveau élevé de salaire limite l'achat de travail par les

propage aussi en Europe. Les solutions trouvées à l’époque sont paradoxales et aggravent les dépressions. La première solution envisagée aux États-Unis s’inscrit selon la pense libéral : Faire confiance au marché, aux investisseurs et couper dans les avantages sociaux, ainsi les salaires. Ces décisions sont inévitablement nocives pour le développement économique, mais aussi grave sur le plan social. Les causes mêmes de la dépression sont en raison d’une trop grande confiance au secteur bancaire et aux

particulièrement le cas pour l’espagnol. Flux de métaux précieux qui diminue, déclin de l’Espagne. Produisaient peux achetais beaucoup et l’argent ressortait de manière importante. On aboutit à un échec de la doctrine mercantilisme. Le principal défaut de cette théorie et de confondre la richesse d’une nation a la richesse d’un individu. Ainsi qu’à la quantité de la richesse d’un pays par rapport aux métaux précieux. 1) 2. La physiocratie (la puissance de la nature) Ecole française qui se développe au 18° siècle

 ommerce international La théorie du commerce international Loi des avantages comparatifs Le mercantilisme (XVIème XVIIIème) Plusieurs auteurs, comme Jean Bodin, John Locke ou Monchrétien s’intéressent aux raisons. Moyen de s’enrichir, confusion entre le roi et la nation, entre la richesse et l’or (puissance d’un souverain= stock d’or dans les caisses, c’est à dire l’excédent commercial sur les autres pays). XVIème, en Europe, l’Espagne a plein d’or. C’est une

ont, bien entendu, aussi, d’autres causes). La limitation des endettements trop risqués est, notamment, le fait de politiques volontaristes : l’encadrement du crédit est un des instruments des politiques de régulation conjoncturelle d’inspiration keynésiennes, très pratiquées après la Guerre. Cet encadrement permet de limiter tout emballement spéculatif. Toutefois, ce système n’est pas exempt de défauts. Le premier d’entre eux est, assurément, le risque lié à des variations de taux d’intérêt

(de quoi parle-t-on)............................................................................... 7 Problématiques ....................................................................................................................... 10 A/ LES THEORIES A PRIX ET SALAIRES FIXES......................................................... 10 IS (diagramme dit à 45° sans marché de la monnaie): ....................................................... 12 IS-LM: addition du marché de la monnaie..........

pouvons dégager deux conceptions : - La conception Keynésienne ou interventionniste  qui considère que les pouvoirs publics doivent intervenir sur l’économie et chercher par la monnaie à influencer l’économie réelle (production et l’emploi) la FED applique cette politique. - La conception libérale : où l’Etat doit intervenir le moins possible, qui considère que la monnaie est neutre donc qui applique ce que l’on appelle la théorie quantitative de la monnaie à savoir : MV= PQ. Production

des pays européens : niveaux de développement, état technologique, qualification et formation de la main d’œuvre, niveaux de vie et normes de consommation. Dans la théorie classique, le fondement du CI est la différence ; l’expérience communautaire donne plutôt la ressemblance comme moteur commercial, se rapprochant en cela des théories contemporaines du CI comme celle de la « demande de différence » et celle des échanges intra-branches. Le dynamisme du marché commun mène donc à une convergence des

environnementales, et économiques dans leurs activités et dans leurs interactions avec leurs parties prenantes sur une base volontaire). CHAPITRE I : APPROCHES ECONOMIQUES DE L’ENTREPRISE (L’entreprise comme organisation et comme acteur économique) En théorie économique, l’entreprise est considérée comme un agent au même titre que l’Etat, au ménage, le reste du monde, etc. mais les entreprises s’organisent de plus en plus sous différentes formes avec différentes fonctions. Les entreprises contribuent différemment

des politiques monétaires qui, comme leur qualificatif l'indique, privilégient les outils liés à la monnaie et à la distribution du crédit. Ce retour est largement lié au retour en grâce des théories néo-libérales. Celles-ci, en effet, contestent l'efficacité des politiques induites par la théorie keynésienne auxquelles elles attribuent volontiers les difficultés rencontrées depuis le début des années 1970 par les grandes puissances industrielles. C'est, notamment, le cas du courant monétariste organisé