Avec le sourire

notre regard est tout de suite attiré par une jeune fille, d’environ 9-10 ans, de face, nue et amaigrie, le visage terrifié, entourée de 2 autres personnages, avec, à sa droite, la tenant fermement par le poignet, un Mickey Mouse arborant son célèbre sourire,  tel  un masque du bonheur. Et, à sa gauche, un Ronald Mac Donald ventripotent, saluant joyeusement, voire frénétiquement…  de la main gauche, on ne sait quoi ou qui (on suppose une foule de gens), comme lors d’une parade événementielle. La position

sentir. Tu sens ? Tu sens à quel point j'ai mal ? Tu sens à quel point le sourire qui habite d'ordinaire mon visage est faux ? Chut.. J'ai la voix cassée. Les yeux rouges d'avoir pleuré. Le visage noyé de larmes. La tête pleine de tristesse. Les pensées pleine de peine. Le regard plein de haine. Et encore le cœur brisé..  « ~ Tu crois que je suis heureuse parce que je te dis que je vais bien parce que tu me vois sourire parce que tu me vois rire parce que mes yeux brillent Mais si je te dis que

venait de voir la jeune fille qui quelques secondes avant avait ouvert les portes du bar. Le jeune homme au cheveux fous regarda dans la même direction que la personne assise à côté de lui. Elle était là, Joanna. La brune regarda Antoine avec un sourire chaleureux mais quand elle vit Mathieu, à côté de lui sa réaction fut pour le moins différente.Elle le regarda avec froideur et méchanceté comme n'a pu s'empêcher de le remarquer le jeune homme aux cheveux fous. Elle entraîna Antoine par le bras disant

*Flash-back* Eugénie : Alizée ! Aurélie ! Descendez ! Accompagnée de ma sœur, j'ai dévalée l'escalier pour voir ce que nous voulait maman. C'est alors que je l'ai vu. Cet homme qui a bouleversé nos vies. Il nous observait Alizée et moi avec un immense sourire et une pointe d'appréhension dans le regard. Alizée : Enfin un petit ami ! Maman t'auras mis le temps. Eugénie : Pas un simple petit ami, Alizée, il s'appelle Charlie et c'est votre père. Je me suis tourné vers ma sœur, pour une fois elle était

s'assoir en face du garçon et de lui sourire amicalement. Auquel l'africain répond avec un autre sourire blanc. Ensuite, l'allemande commence à manger le plateau en mangeant la majorité normale et en la partageant avec une exquise générosité et courtoisie avec le garçon noir. Et ainsi, lui se prend la salade, elle boit la soupe, les deux picorent également dans le même plat et ensuite lui s'occupe du yaourt et elle du fruit. Tout cela truffé de multiples sourires éduqués, timides de la part du garçon

s'asseoir en face de l'homme et amical sourire. Pour que la réponse avec un sourire blanc africain. Puis le plateau de départ allemande manger essayant de regarder comme d'habitude et de la générosité et le partage avec une exquise courtoisie à l'homme noir. Et c'est ainsi qu'il prend la salade, elle se précipite la soupe, les deux numéros de piquer l'égalité de la même plaque de ragoût à la fin et on se rend compte le yaourt et un fruit. Ce multi truffées sourires instruits, timide par le garçon, doucement

- Mieux vaut être entouré par peu de gens qui vous aiment , que par beaucoup qui vous le font croire .. - Juste envie de le revoir et que son regard me redonne de l'espoir ... - L'amour c'est sourire avec son cœur. › - The love it is to smile with the heart - Fatiguée mais debout, le sourire malgré les coups.. - Tired but up, the smile in spite of the knocks - Ne juge pas sans connaitre, ne parle pas sans savoir ! - J'encaisse , J'observe , J'dis rien mais je retiens ! - Vous voulez prouver

demandé contre lequel ensuite elle négocie la tête du prophète Saint Jean-Baptiste.Le quatrain 1 commence par une subordonnée circonstancielle de but, qui associe de manière complètement paradoxale et qui constitue la première surprise de ce poème : le sourire et Jean-Baptiste, qui est un personnage associé à la décapitation. Première surprise immédiatement suivie dès le vers 2 d’un autre effet de surprise avec l’énonciation à la première personne (je) ; ici Apollinaire fait le choix de parler au nom de

2° "LE SOURIRE DE MARKO" Cette histoire se passe en Serbie pendant les invasions turques. Marko est un héros serbe qui ne craint pas la douleur. Un jour, Marko Kraliévitch se fait dénoncer par son amante. Celui-ci s'enfuit à la nage, mais se fait attraper par les filets d'un bateau de pêche, puis ramener au rivage. Ici l'attendent des soldats turcs et la femme qui l'a dénoncé. Marko fait le mort, maîtrisant parfaitement ses réactions et sa respiration. Cependant, la femme n'est pas dupe

de même l’accompagner à son garage car elle a quelque chose de mystérieux à lui montrer. Son imaginaire se voit stimulé, il accepte. Elle ouvre, il fait tout noir. « Il n’y a plus de lumière ici, viens avec moi » dit-elle au pas de la porte, un sourire aux lèvres. Elle le prend par la main et ils pénètrent dans le noir. Soudain la porte se referme, quelqu’un la verrouille. Lumière. Une petite fête est organisée rien que pour lui. On tombe toujours sur plus fou que soi. Deux jeunes gens se réveillent