Avec le sourire

sérieux qu''il avait, une sorte de tristesse qui ne le quittait jamais. Il essaya de sourire ; là, il éprouva comme un choc en s''apercevant qu''il n''y arrivait pas. Il avait beau se forcer, essayer à tout prix de plisser les yeux et de relever les bords de sa bouche, impossible, il ne savait plus sourire. [...] C''est alors que ses yeux s''abaissèrent vers Tenn. Robinson rêvait-il ? Le chien était en train de lui sourire ! D''un seul côté de sa gueule, sa lèvre noire se soulevait et découvrait un double

81 56 56Fight th chhhhuuuuuuuuuuiuiiiiiiiiijhhhhvvvv hahahh Le passé me manque autant que tu me manques. Je n'arrive pas à tourner la page. J'ai beau essayer de t'oublier, ça revient à la charge constamment. Ton sourire me manque, c'est fou comme il m'était indispensable. Te voir sourire était la chose la plus belle que j'ai vue dans ma vie. Te voir heureux me comblait de joie. J'arrive plus à faire semblant. Je pensais qu'avec le temps, tu serais de moins en moins présent. On m'a toujours dis que

à avancer. suis-je qu'une enfant immature pour toi ?C'est sûrement la jalousie qui me fait réagir ainsi . J'ai pas l'habitude qu'on me ... [Lire la Suite...] Catégorie(s) : texte d'amour un amour à vie 13 loves une rencontre, un regard, un sourire , des mots, des gestes... L'amour arrive toujours lorsque l'on s'y attend le moins a croire que cupidon se plait a se cacher et nous envoyer ses flèches quand bon lui semble, je ne peut que l'en remercier. C'était prémédité, cupidon s'est joué de

amis de passage. J'avais un frère. Plus beau, plus fort. Un frère aîné, glorieux, invisible. J'étais toujours envieux, en visite chez un camarade, quand s'ouvrait la porte sur un autre qui lui ressemblait quelque peu. Des cheveux en bataille, un sourire en coin qu'on me présentait en deux mots : « Mon frère. » Une énigme, cet intrus avec lequel il fallait tout partager, y compris l'amour. Un vrai frère. Un semblable dans le visage duquel on se découvrait pour trait commun une mèche rebelle ou une

sortir de la bulle qui nous retient, qui nous encercle, qui nous asphyxie et qui nous tue discrètement, doucement. Certains recommandent le sourire parce qu’il ne coûte rien et produit beaucoup, qu’il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne, et qu’il ne dure qu'un instant mais son souvenir est parfois immortel. C’est simple, on peut sourire à n’importe quel moment et aussi longtemps qu’on veut, pour consoler nos peines, réconforter nos cœurs, calmer nos esprits, soulager nos douleurs…

tout à l’heure comme ça après je pourrai jouer avec toi !». Emmy la regardait en lui faisant de grands sourires, poussa quelques petits rires et agitait de plus en plus ses petits membres, puis regarda sa sœur Eva, tout en souriant et gesticulant. Sa sœur la voyant sourire, à son tour, lui sourit et la pris sur ses genoux face à elle. Eva la faisait tenir debout continuait à lui faire grands sourires ainsi que quelques grimaces pour continuer à la faire rire. Sa mère regardait Emmy, toujours du canapé

surnom que l’on nous donne, il paraît que l’on fait peur et personne n’ose nous approcher. Le rejet, voilà ce que nous subissons. Je n’ai pas d’avenir et la classe sociale fait vraiment tout dans ce monde, c’est répugnant. J’étais anéanti, même mon sourire forcé contempla mes larmes de tristesse. Mes yeux brillants reflètent mo image sombre, j’ai l’air si pitoyable. Je continuais de boire, mais les larmes encombraient une partie de ma gorge. Parce que je me connais, je suis juste un enfant qui pleure

classe. Soraya s'avança vers la première liste, et je savais que son cœur battait aussi vite que le mien. Amy, à ma droite, me donna une petite tape sur l'épaule. Lorsque je vis nos quatre noms sur la liste qu'elle me montrait, je ne pus retenir un sourire. Qui se transforma en grimace lorsqu'après avoir parcouru les autres noms, je remarquais celui d'Andrew Stoney. Avec un grognement, je m'écartai de la liste afin de laisser les autres la regarder. __- On est toutes ensembles ! S'écria Soraya en

avant d'être emportés par un vent noir de suie. Montag arbora le sourire féroce de tous les nommes roussis et repoussés par les flammes. Il savait qu'à son retour à la caserne il lancerait un clin d'oeil à son reflet dans la glace, à ce nègre de music-hall passé au bouchon brûlé. Plus tard, au bord du sommeil, dans le noir, il sentirait ce sourire farouche toujours prisonnier des muscles de son visage. Jamais il ne le quittait, ce sourire, jamais au grand jamais, autant qu'il s'en souvînt. Il accrocha

les beaux quartiers de Paris . Petite, elle allait en vacances chez son oncle et sa tante qui habitaient au Havre. 1 Elle passait du temps à admirer les paquebots partant ou arrivant au port . Tous ces passagers descendants leurs valises avec le sourire au lèvres l'émerveillaient. C'est depuis cette époque qu'elle avait décidé de devenir infirmière sur ce bateau immense, qui la faisait rêver . Madeleine avait un teint quelque peu métissé, grande et élancée, elle plaisait à tous les hommes. Mais elle