Avec le sourire

du mythe c’est d’évacuer le réel. » culte de l’image) - médiatisation de l’œuvre - fétiche de la société de consommation - icône Parisien. INTERPRETATION : La Joconde c’est la grâce, la grâce d’un sourire. Mais un sourire est éphémère, comme la beauté. Un va et vient s’opère entre le sourire et le chaos du paysage, du chaos à la grâce (éphémère) et de la grâce au chaos. Double discours sur le temps qui passe, puisque un portrait est déjà une méditation sur le temps qui passe. (d’où la présence

1911 1.4 La Joconde pendant les deux guerres mondiales 1.5 Depuis les années 1950-1960 2 Description 3 Le modèle 3.1 Lisa Maria Gherardini 3.2 Autres suggestions 4 Analyse du tableau 4.1 Technique 4.2 Dénomination 4.3 Symbolisme 4.4 Le sourire et le regard 4.5 Le paysage 5 Les copies de la Joconde 6 Influences et détournements 7 Collection Jean Margat 8 Études diverses 9 Existence d'autres copies 10 Références culturelles 10.1 Illustration 10.2 Chanson 10.3 Littérature 10.4 Bande

fait devenir bien ! J'ai les yeux qui brillent depuis qu'ils ont croisés les tiens. Ce ne sont pas des mots jetés en l'air pour te donner le sourire. C'est mon coeur qui te parle, qui t'appelle & te dit que sans toi il est a l'abandon ! Non je ne suis pas amoureuse de toi, je suis FOLLE de toi. Folle de l'homme que tu es, cet homme qui aime me voir sourire, qui aime quand je l'embête (a). Si tu me laisses maintenant je ne m'en remettrais jamais. Je donnerai ma vie, je donnerai mon coeur pour que

pièce étrangement petite. Je ne pris pas la peine de lui fermer les yeux ; mi-clos, ils semblaient regarder le ciel qui avait depuis longtemps laissé place à une couverture de béton gris. Je touchai ses cheveux noir ébène, laissant place à un léger sourire, puis m’allongeai sur le sol couvert de liquide rouge et fermai les yeux. D’abord, je ne vis rien. Puis une lumière apparut. De l’espoir? Peut-être, mais pour moi c’était simplement un rayon de lumière artificielle qui ne tardait pas à s’éteindre

vieille habitude le voulait. Nous marchions et nos pas, me semblait-il, s’accordaient et suivaient un rythme commun. Elle baladait ses jambes, le sourire aux lèvres, et je me remémorais ce sourire, qui n’avait guère changé depuis 20 ans. Oui, FIONA n’avait pas changé. Elle conservait cette démarche gracieuse qui la distinguait si bien des autres et son sourire éclatant qui n’était, je remarquais, que plus élégant sous les rayons du soleil. Le soleil nous écrasait. Il était au plus haut dans le ciel

ruelles du centre-ville observant chaque individu, leurs visages, leurs sourires, leurs regards. Comment se fait-il qu’ils ne se disent pas « bonjour » quand ils se croisent entre compatriotes, ou n’échangent-ils point un sourire, même s’ils sont étrangers ? Sur notre île tout le monde se salue, avec chaleur et enthousiasme. Ici, peu le font. Les caissières des petits restaurants appelés « fast-food » accueillent avec le même sourire qu’un bulldog ! Ha ma chère! Ce qui me troubla le plus, c’est le mode

Je veux une vie avec des risques mais avec des lendemains, je veux une vie où tout serais rose bonbon au goût de miel, je veux voir des papillons danser dans un ciel orné d'un Soleil qui brille comme on ne l'a jamais vu briller, je veux voir des sourires sur chaque visage, je veux voir des enfants jouer dans la rue, je veux de l'amour partout, je veux une vie avec des éclats de rire et des larmes de joie, je veux des fleurs partout, je veux une flamme de bonheur dans le coeur de chaque être vivant

mortel, moi qui n'espère qu'un regard de toi, quand poseras tu tes yeux de lumiere sur l'ombre que je suis? Je te désire, tu m'attires pour que nous soit un plaisir je voudrais bâtir un avenir avec toi et le faire grandir avec ton amour et ton sourire. J'aimerai dancer un slow avec toi au moins tu sentirais comment bat mon coeur pour toi. Je veux ce que tu veux, tu veux ce que je veux alors cesse de vouloir et laisse moi t'avoir. Je ne peux plus taire mon silence, mes sentiments

quelques temps, on fini par avoir apprit quelque chose » Auteur inconnu « Bien écouter c'est presque répondre » Pierre CARLET de CHAMBLAIN de MARIVAUX « Soyez simple, clair, vrai, direct, précis, concis, et avec respect, politesse, gentillesse, regard, sourire,… » Les yeux...le regard Les yeux sont faits pour voir, ils sont aussi faits pour être vus... Nos yeux parlent de nos sentiments, de nos envies et amours, de nos acceptations, d'attraction… Le regard est le moyen le plus direct d'expression de la

et ils finirent par se sourire. « -Je… Je suis vraiment désolé. » Finit t-il par dire. « -Ne t’inquiètes pas ce n’est pas grave je n’ai pas eu mal. -Je m’appel David et tu dois être la nouvelle de ma classe Mélissa ? -Oui c’est moi. Répondit –elle avec un large sourire. -Heu sa te dirait qu’on fasse le tour du lycée ? Vu qu’on n’a pas cours je pourrais te montrer l’emplacement des salles si tu veux. -Avec plaisir, allons-y » acceptât-elle non sans un grand sourire.