Avec le sourire

on ne va pas en faire toute une histoire. Au fait, moi c’est Alexandra, mais tu peut m’appeler Alex » dit-elle avec un magnifique sourire. « Ok, moi c’est Sam. Enchanté » « De mêmes, alors, comme sa, tu es nouvelle. Ce n’est pas trop dur pour te repérer ? Je peut t’aider si tu veux» « Oui, ce serait vraiment gentil, merci beaucoup » dis-je avec un immense sourire. « Je vais te faire visiter. » Elle s’éloigna, et j’en profitais pour la détailler, elle était vraiment magnifique, elle portait

tête, un jeune homme d’environ mon âge, son visage avait des traits ferme et pourtant doux, les rayons du soleil éblouissaient ses cheveux blonds, qui étaient coupés légèrement courts, il me fixait avec ses yeux bleus foncés pétillants et avec un sourire malicieux au lèvre, qui me forçait à lui en rendre un. - Salut princesse, réveiller ? Dit-il. - James ! Quesque tu fais là ? - Bah, quand j’ai appris que tu venais habiter ici, je me suis dit que devais venir te voir. - Cool, entre. Embarrassé

notre regard est tout de suite attiré par une jeune fille, d’environ 9-10 ans, de face, nue et amaigrie, le visage terrifié, entourée de 2 autres personnages, avec, à sa droite, la tenant fermement par le poignet, un Mickey Mouse arborant son célèbre sourire, tel un masque du bonheur. Et, à sa gauche, un Ronald Mac Donald ventripotent, saluant joyeusement, voire frénétiquement… de la main gauche, on ne sait quoi ou qui (on suppose une foule de gens), comme lors d’une parade événementielle. La position

sa porte 2 fois avant d’entrer car je n’entends pas de réponse de sa part. Je me présente puis je m’asseois sur la chaise qui est à côté d’elle pour être à sa hauteur et installer un climat propice à la communication. Je la regarde sans forcément sourire. Je demande à Mme P comment elle va, elle regarde un point fixe devant elle mais elle ne me répond pas, je parle plus fort, mais elle ne répond pas. Je réessaye en parlant plus proche de son oreille, en vain. Je lui dis alors « Mme P je vais vous

serait folle de joie. - Alors d’accord. Ça fera plaisir à mes parents. Il me caresse les cheveux. Plus heureuse, ce n’est pas possible. - Bon, on a décidé où. Maintenant, quand ? - Tu devrais quand même poser la question à ta mère, non ? Le sourire de Christian s’efface. - Je lui laisse un mois, pas plus. J’ai trop envie de toi pour t’attendre plus longtemps. - Christian, tu m’as déjà. Tu m’as depuis un bon moment. Mais va pour un mois. J’embrasse sa poitrine, d’un baiser doux et chaste

compliques tout℮s l℮s situations avec ton amour à la con [...] ♥ « ~ Tu crois que je suis heureuse parce que je te dis que je vais bien? parce que tu me vois sourire? parce que tu me vois rire? parce que mes yeux brillent? Mais si je te dis que je vais bien c'est seulement pour essayer de m'en convaincre moi-même, et si tu me vois rire et sourire c'est seulement pour ne pas pleurer, et si tu vois mes yeux briller, c'est seulement mes larmes qui essais de ne pas couler » | ~Peu importe ce que

pas très bien ce qui allait ce passer mais la souffrance qu’il avait pu lire dans les yeux d’Hikari. Lui indiquait qu’elle avait besoin de lui pour passer ses épreuve même si il ne le connaissait pas et qu’elle lui avait mentit il voulait la voir sourire. -Que vas-t-il t’arriver ? -Pourquoi cette question, alors que je t’ai menti ? -Parce que tu semble si triste et que je veux t’aider et que si je ne peut pas je veux au moins pouvoir être là. -Je…Je… merci. Lâcha-t-elle en baissant la tête. Hikari

train de me demander si je vais bien ?! Bien sur que non, rien ne va, rien de va plus depuis que tu n'es plus là. Je fais semblant, tout le temps, toute la journée. J'ai l'impression que ma vie est un mensonge. Chaque pas hors de mon lit, chaque sourire, chaque éclat de rire et chaque "ça va, merci" est un mensonge. Alors non, ça ne va pas, j'ai même perdu l'envie de vivre. Je ne pensais pas qu'une personne puisse avoir un tel effet sur ma vie, je ne pensais pas que quelqu'un puisse un jour me manquer

conversation au quotidien. Et contrairement à l’énonciation directe, la métaphore oblige l’interlocuteur à passer du sens littéral au sens dérivé donné par le locuteur, que la présence d’indicateurs autres que lexicaux comme par exemple l’intonation ou le sourire révèlent l’ironie. Échange d’actes de langage Locuteur ou manifestations physiques Acte illocutoire Perlocutif Direct Indirect - Armengaud F. La pragmatique, 1985 N° 2230 Les actes performatifs sont représentatifs de l’état des choses qu’ils désignent

qui en auront besoin ♥ L'amour n'est pas l'amour si il fane lorseque il se trouve que son objet s'eloigne quand la vie deviens dur , quand les choses changent le vrai amour reste inchanger." ~ Les Freres scott J’ai rêvé d’un regard, d’un sourire mais tu m’ignores. J’ai rêvé d’un espoir j’ai mal de voir que j’ai tort. Car aucune larme de ta part ni même un seul remord. Et maintenant que je pars tu restes encore...Insensible   La vie serait tellement plus simple si on pouvait choisir. Si