Avec le sourire

passe, Mme G lui réponds qu’elle n’ait pas contente car Jack n’est pas venu (Jack est son fils, il habite à PARIS). Pour détendre la résidente, l’aide soignante allume son cadre pour faire défiler ses photos. Mme G regarde les photos et fais un grand sourire et nous là laissons tranquille. A 9h, nous revenons voir Mme G qui est de nouveau énervée. Elle parle très fort, elle est en colère « Comment ça se fait, que je suis toujours dans mon lit et que personne ne vient me voir ». L’aide soignante ne

à Florence que la toile a été réalisée. Elle met en scène une jeune femme, représentée à mi-corps, dans une loggia. Vêtue avec une grande simplicité, elle adopte une pose de trois quarts, dirige son regard vers le spectateur et esquisse un léger sourire. Sa silhouette se détache sur un fond de paysage brumeux, à l'arrière plan son caractère est irréel, au premier plan on perçoit des rochers, une route sinueuse et un petit pont. La place occupée par le paysage est inhabituelle pour l'époque elle démontre

consolé, Elle élève le cœur et calme la souffrance, Comme un esprit des cieux sur la terre exilé. Courbé par le travail ou par la destinée, L'homme à sa voix s'élève et son front s'éclaircit ; Toujours impatient dans sa course bornée, Un sourire le dompte et son cœur s'adoucit. Dans ce siècle de fer la gloire est incertaine : Bien longtemps à l'attendre il faut se résigner. Mais qui n'aimerait pas, dans sa grâce sereine, La beauté qui la donne ou qui la fait gagner ? Gérard de Nerval

Devoir Maison 1- Le registre de ces deux extraits est le registre comique, plus précisément satirique. Pour le premier extrait, les exemples sont : « très digne dans son obésité » (l.11 p.35), « le gros petit chaperon bleu » (l.15 p.35), « sourire bleu fade » (l.18 p.35). Et pour le deuxième extrait nous avons : « le crâne bourré de GameBoy » (l.2 p.26), « la gueule en Playstation » (l.3 p.26), « le corps trop épais pour un gamin de quatorze ans » (l.3-4 p.26), « le regard hébété » (l.4-5 p

partager, du moment que c'était pour y mourir et y être enterrés tout cru, la superficie exacte on s'en tapait. Parce qu'on se disait : on a le plaisir et le privilège de visiter notre propre tombeau !» . C’est une scène pleine d’ironie qui fait sourire, malgré son aspect tragique. Le film: Le moment drôle au début du film est lorsque que l'instituteur (Jacques) est dans sa classe en train de faire une dictée à ses élèves et puis il se lève de son bureau pour montrer ses grandes chaussures de

sur la barrière qui les sépare. De plus on observe aussi le lexique de la douleur : «  et que je les voit brûler à travers ton sourire », cette phrase nous montre une opposition entre 2 propos qui sont ici « brûler » et « sourire », on peut comprendre cette opposition comme les sentiments qu’elle ressentait avant et maintenant c’est à dire qu’auparavant elle portait un sourire et de nos jours elle veut brûler ; On comprend alors mieux la douleur qu’elle éprouve.

Conte de Noël « Un sourire qui vaut de l’or » Il était une fois un vieux berger qui aimait la nuit, son silence, son ciel parsemé d’étoiles. Ces étoiles, il les connaissait par leur nom. En les regardant, il disait souvent à son petit fils : “Il va venir.” - Quand viendra-t-il ? demandait l’enfant. - Bientôt! Les autres bergers riaient. “Bientôt! … Tu répètes cela depuis des années !” Mais le vieux berger ne les écoutait pas. Une seule chose l’inquiétait, son petit-fils aussi commençait à douter

le non-verbal disparaît. Du coup, une question se pose. Puisque l’impact du langage du corps disparaît, celui des mots et du ton augmente fatalement. Ces aspects doivent donc être d’autant plus travaillés. * Le sourire En général, le sourire s’entend au téléphone. Sourire au téléphone est en quelque sorte la première étape du conditionnement du commercial. En souriant vous vous mettez en conditions commerciales optimum, et comme tout le reste suivra votre client le ressentira. * Le

l’autre dans la poésie.   Tout droit sortie d’un monde fantastique, une araignée aux dimensions gigantesques, pourvues d’yeux et d’un sourire humain, semble s’engager dans une danse macabre : tel est le sujet choisit par Redon pour cette peinture de 1881.Redon ose s’aventurer dans la monstruosité, en accordant à l’araignée des caractéristiques humaines ; son sourire cependant, semble plutôt ironique et morbide. Et pourquoi une araignée ne sourirait-elle pas ? Redon est macabre, c’est bien différent

nom de Sfumato donné à cette manière de peindre, un peu voilée, propre à Léonard. La peinture diluée et passée en de nombreuses couches transparentes, très fines, est appelée glacis. Ces glacis permettent le rendu de la texture de la peau. Le sourire épanoui, mythique, de cette femme exprime à la fois la quiétude, le bonheur et la force. Une expression cependant un peu espiègle ou ironique interpelle le spectateur. La mode de l'époque voulait que les sourcils soient épilés, ce qui grandit