Aveu

depuis 6 mois. Le dialogue se transforme progressivement en duo amoureux. On pourra étudier l'exaltation lyrique de l'aveu de Ruy Blas puis on s'interrogera sur la nature profonde du duo amoureux. 1) un aveu exalté R.Blas avoue une passion secrète, dérobée depuis 6 longs mois (V1221).Cet aveu passe par l'expression d'une thématique de l'ombre et de la lumière cf V1216/1219. Il utilise le langage traditionnel de la tragédie classique "ma flamme" L'aveu est marqué par l'emploi de l’hyperbole avec

influents. Phèdre finalisé en 1677 est une tragédie (genre littéraire venant du théâtre antique). Cette scène est le dernier et le plus conséquent aveu de Phèdre qui va révéler à Thésée son époux toute la vérité ; son amour incestueux et le mensonge de Oenone. Dans cet extrait peut-on dire Phèdre innocente ou coupable ? Annonce du plan… Développement : I. Aveu de Phèdre : Malédiction et Châtiment a. Elle déclare Hyppolite innocent. Puis elle se définit comme une victime de la traitrise d’Oenone ; comme

réside dans le conflit qui tourmente Phèdre, \"théâtre et victime d'une tragédie interne.\" L'extrait étudié est le second aveu de Phèdre. L'ensemble de la pièce met en scène 3 confessions de l'héroïne. Celle-ci nous présente, avec toute la grandeur des personnages tragiques, la violence d'une passion et la fatalité qui y est liée I / Une femme passionnée a) Un aveu direct et involontaire -Direct → Passage du « vous » au « tu » qui marque le rapprochement et le changement de ton mais

Introduction Avec Phèdre, Jean Racine a réussi à surclasser les grands dramaturges de son époque. L’extrait « un aveu involontaire » publié en 1677 est une tragédie classique qui évoque un drame opposant l’amour et la raison. Dans cette œuvre, Phèdre dit à son beau-fils Hippolyte qu’elle l’aime. Dans un commentaire composé partiel, nous allons démontrer que par son drame passionnel, l’extrait « un aveu involontaire » est une vision fataliste de l’être humain victime de ses passions. Dans les paragraphes suivant

Remplissage du plan de commentaire acte I sc 3 vers 259 à 316Un aveu de l’amour interdit de Phèdre à Oenone A- Un aveu difficile pour Phèdre qui se fait aider par Oenone -anaphore j’aime puis …. interruption du discours car trop difficile à avouer-recours aux périphrases : fils de l’Amazone, prince par moi-même opprimé, -Phèdre évite de répondre directement : suspense, prépare Oenone mentalement par hyperbole : tu vas ouïr le comble des horreurs-aide d’Oenone par 3 phrases interrogatives : aimez-vous 

I) Un incipit fantastique A) Doute B) Double interprétation II) Une présentation originale du récit A) Aveu du perso B) Effet d’attente Un incipit fantastique 1 Le doute du lecteur Ce qui est étrange est la double vie du personnage : en effet il y a une incertitude qui exprime le doute chez le lecteur : - L.17 : « il me semblait au contraire que je m’endormais et que je rêvais que j’étais prêtre » - L.5 : « je ne puis croire »

meilleure » mais, celle-ci formule un aveu « faux » avec la formule  « faites comme si j’étais convenue de tout. » (l.25-26). Ensuite, comme Trivelin ne valide pas cet aveu et lui rappelle qu’elle pourra être délivrée plus rapidement, elle avoue de façon incomplète à la ligne 32 et tente de se justifier en invoquant sa jeunesse puis son statut social. Enfin, elle avoue en demi-teinte avec la réponse « je crois qu’oui » (l.46), mais Trivelin accepte cet aveu. Résumé de la scène 5 Au début de la scène

l'héroïne ne tardent pas à se faire savoir. En effet, la tirade commence par une apostrophe (vocatif latin) à Hippolyte : « Oui, Prince ». (...) Plan: Introduction I) Un aveu travesti qui joue sur la confusion entre le père et le fils A. L'éloge de l'Amour B. Un amour caché C. Un mari dont elle ne veut pas II) Un aveu qui se confirme et qui amène à des questions A. Un amour de plus en plus affirmé B. Des regrets C. Le début d'un rêve III) Une vérité qui se laisse entendre : le destin

désigne sa passion amoureuse, « connais donc Phèdre » (vers 672) invite Hippolyte à découvrir qui est réellement Phèdre. Elle passe de « J’aime » (vers 673) à « Je t’aime ». C’est un aveu arraché dont elle a honte comme nous le montre si bien l’expression « Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? (vers 694). Son aveu est involontaire, c’est la passion qui la domine, plus forte que son amour maternel. Elle souffre et est détruite à cause de cette passion. Le verbe « j’ai langui » (vers 690) montre

scène tout l’instant tragique de la pièce en mettant en œuvre plusieurs procédés théâtral que je vais vous présentez en répondant à la problématique suivante : Comment Racine met-il en scène le second aveu de Phèdre ? Dans une première partie, nous observerons comment le tragique est-il traité dans cet aveu, puis nous traiterons la façon dont Phèdre se perçoit elle-même et dans une troisième partie nous montrerons comment la fatalité du destin joue-elle du sort de Phèdre. Avant que Phèdre n’avoue