Aveu

mêle ses mots aux larmes. Seuls les sanglots demeurent une demande de pardon et une autoaccusation. Cette confession le soulage et permet l’évacuation du poids qui obstruait son âme. Monsieur Bark a besoin de cette aveu pour être en parfaite honnêteté vis-à-vis de son ami. Mais cet aveu exprimé dans un langage qui n’est pas commun aux deux hommes prend aussi de part et d’autre les accents d’un nouveau langage commun. CONCLUSION: Situé au beau milieu du roman, le passage que nous avons étudié constitue

Elmire, fait preuve d’une certaine maîtrise du langage dans son emportement amoureux. Les compliments font partie de la stratégie de Tartuffe qui a le calcul de mêler le langage religieux à celui du profane. 2- Discours religieux Dans cet aveu, Tartuffe ne se défait pas de son rôle de faux dévot ; il donne ainsi des accents de religion à sa flamme pour ne pas brusquer la situation, de ne pas montrer qui il est réellement. Il commence sa tirade par « l’amour qui nous attache aux beautés éternelles »

I-Un aveu furieux a)une scène d’amour douloureuse. 1er argument = Phèdre se révèle dans cette scène, devient une femme amoureuse Les preuves= 1ere colonne du tableau b)une scène d’amour passionnelle II-La jalousie d’une héroïne tragique a)une passion dévorante b)une vengeance endiablée Phèdre est une tragédie de Racine publiée en 1677,elle est représentative du classicisme. Cette tragédie est l’extrait 6 de l’acte4.dans cette œuvre, racine a souhaité traiter plus précisément le thème

écrire la somme en toute lettre & en chiffre à la main). * aveu judiciaire, reconnaissance au cours d'une instance d'un fait ou d'un acte, "reine des preuves" car liant le juge -sauf en matière pénale. * serment décisoire, procédure d'instruction par laquelle une partie demande à l'autre de prêter serment. Soit l'adversaire prête serment, alors il a de grande chance de gagner le procès. Soit il refuse, ce qui équivaut alors à un aveu judiciaire de sa culpabilité. Très rarement utilisé puisque

"connais donc Phèdre", au même vers, c'est pour qu'on sache se désigne. Au vers 673, elle passe de "J'aime." à "je t'aime", c'est un aveu qui lui est enlevé : "cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ?" (vers 697). Ses "faibles projets" (vers 700) en réalité ne sont pas faibles, elle ne tient pas : "un cœur trop plein de ce qu'il aime" (même vers). Son aveu est involontaire, c'est une passion qui la domine et qui est plus forte que son amour maternel. Au vers 693, "j'ai langui" montre combien

reste auprès d’elle. Même dans d’autres situations semblables, elle n’hésite pas à s’opposer à tous ses proches car c’est l’amour qui la guide dans ses actions. De plus, dans la scène 12, lorsqu’Araminte avoue son amour à Dorante, on voit que c’est un aveu sincère car il est chargé d’émotions ; Araminte semble différente. Enfin, on a la preuve ultime que son amour est sincère lorsqu’elle pardonne (voire même défend) Dorante quand il lui révèle le stratagème malhonnête dont il a usé pour la séduire. Alors

début de leur discussion est neutre : les verbes sont essentiellement conjugués au présent de l'indicatif donnant une valeur actuelle à l'énoncé, un échange vivant. Phedre parle sans évoquer ses réels sentiments « Que dis-je ? Cet aveu que je viens de te faire, / cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ?/Tremblante pour un fils que je n'osais trahir, / Je te venais prier de ne point le haïr. », En effet, Phèdre est follement amoureuse d'Hippolyte mais le dissimule par plusieurs moyens : -

L.A III, 12 de « Dorante, plaintivement (…) » à « stratagème » Eléments d’intro - Présentation générale de la pièce : genre, date, contenu - Situation du passage : l’extrait s’inscrit dans l’acte de dénouement. ( Les attentes st d’une part le retour à un état de stabilité pr les personnages- la résolution du noeud ; d’autre part, l’enseignement à tirer de la pièce puisque la comédie possède une vertu morale : « castigat ridendo mores ») Le rythme s’accélère en fin de journée. Dés le début

constitue l’enjeu majeur de cet extrait. Nous étudierons dans le premier mouvement du texte (l. 1 à 9) comment la tension naît de l’agressivité dont fait preuve Alex, puis nous verrons dans le deuxième mouvement (l. 9 à 20) comment Nathan va faire son aveu. Nous analyserons ensuite, dans un troisième mouvement (l. 21 à 39) la crise que fait entendre la sœur Édith et nous montrerons enfin dans le quatrième et dernier mouvement que la tragédie est évitée (l. 30 à 39) par les paroles d’apaisement d’Alex

que prend la conversation, puis l’auteur précise : « l’inconnue avait les larmes aux yeux ». La suite du passage reprend l’idée d’une tournure grave : « Elle quitta la main de Vanina, et de l’air dont elle serait allé a la mort, lui dit : « J’ai un aveu à vous faire » ». Ce passage nous montre l’honnêteté de l’inconnue qui ne veut pas tromper Vanina. Le carbonaro demande de la pitié de la part de Vanina dans cette phrase mais aussi a la suite du texte a la ligne 172 : « Je suis un malheureux carbonaro »