Aveu

ai dit assez. Épargne moi le reste. Je meurs, pour ne point faire un aveu si funeste». Dans ce vers Phèdre affirme son aveu de mourir pour son amour. Ce vers est subjonctif car elle a ce souhait ou le but de réaliser qu'elle voulait mourir. La longueur des mots et des phrases de ce vers aussi nous indique l’écoulement de l'état de Phèdre. On peut voir un champ lexical de la mort au (vers 220 à 242)«criminelles»,«Je meurs»,«un aveu si funeste»,«silence»,«mon âme»,«douleur»,«cruelle»,«foi»,«j'en mourrai

qui prend en compte les autres (« vous auriez tous été bien tranquilles » à la l. 33), et elle parle d’ailleurs d’elle-même à la troisième personne. Tout ce qui reste est l’adjectif « petite » (l. 33) pour s’auto-qualifier. Le fait qu’elle raye son aveu renvoie à ses actes, qui n’ont servi à rien. La 2ème lettre est vraiment adressée à Hémon : elle ne retient que ses sentiments pour lui, et prend en compte les conséquences de ses actions sur les autres, mais sans parler clairement de ce qu’elle a

extrait contient trois mouvements : de la ligne un à dix, Adolphe énonce ses motifs de rupture, de la ligne dix à vingt, la volonté d’une rupture est annoncée, puis de la ligne vingt à trente-trois, Ellénore réagit à cet aveu. De quelles manières Benjamin Constant met-il en lumière un aveu de désamour entre deux amants, Adolphe et Ellénore, au chapitre VI d’Adolphe ? Intéressons-nous premièrement aux raisons qui poussent le narrateur à vouloir rompre. Tout d’abord, les verbes à l’imparfait « était » (l

Phèdre – Aveu acte I scène 5 Introduction Racine, dramaturge du XVII s'inscrivant dans le Classicisme fait représenter sa 9ème tragédie Phèdre pour la 1ere fois en 1677 sous le nom de Phèdre et hippolyte. La pièce rencontre un fort succès et provoque 12 ans de silence de la part de Racine. Cette tragédie est une pièce d'aveu par excellence présentant l'amour incestueux que Phèdre porte pour Hippolyte. Phèdre fera trois aveux qui la précipiteront vers sa chute. A Oenone (Acte I scène 3),

Le jeu de l’amour et du hasard, Marivaux : Acte III scène 8 : Introduction : Une des dernières scènes ou Silvia va tester l’amour de Dorante. On assiste au triomphe final de l’amour. I/ Un double aveu : 1) L’expression détournée du sentiment amoureux : -DORANTE : il utilise la métaphore du feu en parlant d’amour (L 470 tes paroles ont un feu qui me pénètre) c’est l’amour qui le brule, a cote il y a la préciosité ou l’objet aime est comparé à une divinité (L470 je t’adore, je te respecte),

déclinant ainsi divers procédés appartenant au registre comique. I/ Révélation de l'identité des personnages Un aveu réciproque mais difficile Au début de la scène, règne le quiproquo, imposant aux valets une certaine courtoisie, marquée par le vouvoiement (ex : Arlequin : « Ma reine, je vous vois et je vous quitte... »). Le dialogue s'oriente vers un aveu en trois étapes : Arlequin révèle son identité à Lisette On découvre les réactions de Lisette, et la surprise comique

Livre I 1712 à Mars 1728.(0-16 ans) Préambule - Mort de sa mère - Lectures nocturnes avec le père - A Bossey, chez le pasteur Lambercier : découverte de l'injustice (le peigne cassé) ; émois sexuels lors d'une fessée (premier aveu) - En apprentissage chez le graveur Ducommun - Jean-Jacques fuit Genève dont il trouve un soir les portes fermées. Livre II Mars à Décembre 1728.(16 ans) Recueilli par des réseaux chargés de convertir les jeunes protestants - Première rencontre à Annecy de Mme

Français :SUJET : DissertationIntroduction : Dans cette pièce de Lagarce Juste la fin du monde, le protagoniste, Louis, fait d’emblée l’annonce de sa mort proche et sa volonté de l’annoncer à sa famille. Cependant, cet aveu est empêché et le lecteur est dans l’attente de cet aveu, sans cesse déçu puisqu’il n’assiste à aucune révélation de la part de Louis. C’est pourquoi Jean-Pierre Sarrazac présente cette pièce comme « un drame qui n’advient pas, qui restera l’affaire intime d’un seul, en butte

révéler comme exceptionnel et qu’il faut avoir du courage avec la négation partielle : « un aveu que l’on n’a jamais fait à son mari » Elle rappelle que c’est sa vertu qui motive cette révélation grâce à la conjonction de coordination « mais » et au rythme binaire : « l’innocence de ma conduite et de mes intentions » (l 2). Elle explique que c’est parce qu’elle n’est pas coupable qu’elle peut formuler cet aveu. Parle de conduite et d’intentions et n’a rien fais et ce n’est pas volontaire Formule concessives

Tout d'abord, les spectateurs sont les récepteurs des apartés de Silvia : « j'ai besoin à tout moment d'oublier que je l'écoute. » à cet instant elle révèle qu'elle écoute Dorante, « il ne faudrait pas s'y fier »cette fois si, c'est son aveu inconscients qui révèle qu'elle est sensible aux propos de Dorante. Le regard du spectateur est ensuite en situation de mise en abyme par la présence de Mario et Orgon durant la didascalie, ces deux personnages ont le même statue que les spectateurs