Aveu

sensation. V:29 => Phèdre cède sous la contrainte.On le remarque en voyant que Oenone est sujet du verbe de volonté. C) Tension et efficacité dramatiques V1,V2,V6 => Insistance sur le caractère moralement condamnable du secret. V:24-25 => Résistance car aveu => culpabilité. V:42 – 47 => Paroxysme dans la tension V : 42 – 43 – 46 => Stichomythie II- Objet et enjeux de l'aveu A) - Un secret inavouable : l'aveu d'un amour criminel et interdit B) - Les ressorts pathétiques de l'aveu (tant chez le

honte » v.32 / « C’est vous faire sans doute un assez libre aveu » v.37/ « On se tue à vous faire un aveu des plus doux » v.69 (rq : double sens du vb tuer qui peut aussi exprimer la souffrance voire la répugnance d’E. à jouer pareil jeu) - T. fait ses propres aveux de façon claire « Le bonheur de vous plaire est ma suprême étude » (v.55) : approche encore globale et abstraite « Qu’un peu de vos faveurs, après quoi je soupire » (v.63) : aveu plus franc avec valorisation du mot « faveurs » à connotation

psychologique et historique Préciosité + morale pessimiste I. Une scène d’aveu deceptive a. Un aveu voué a l’echec • Connecteurs logiques de l’oppositions ( adversatifs) Aveu déçu : aime le duc mais ne peut pas vivre avec • Construction syntaxique négative : image du bonheur - Morale chrétienne b. L’adieu a l’amour • Registre lyrique : expressivité des sentiments + « je » Tournents de la jalousie Aveu de la jalousie en forme de litote (l.30) • Pronoms personnels « je » , « vous » -> aments

(article 1354 du code civil). Si cet aveu est réalisé devant une instance de justice sa force probante est absolue et le juge est obligé de juger en conséquence, l'aveu est alors dit judiciaire. Il est irrévocable sauf erreur de fait. Si l'aveu est réalisé en dehors des instances judiciaires, dans une lettre, un enregistrement audio, fait devant témoin… sa force probante est relative, il ne fait qu'informer le juge qui n'est en aucun cas tenu par cet aveu, dit extra-judiciaire. Les juges peuvent

Séquence 2 : L’évolution du personnage de roman dans la sociétéObjet d’étude : Le récit et le roman du Moyen-Âge au XXIe sièclePartie I : Etude de l’œuvre intégral, La Princesse de Clèves, Mme de Lafayette, 1678 Séance 1 : Introduction · Définition : Le roman est une histoire en prose raconté par l’intermédiaire d’un narrateur. A une époque et dans un cadre donné (= spatio-temporel), il met en

reprenant sa phrase Vers 31 et en ajoutant que sa place n’est pas vide sur terre. Vers 32. Nous pouvons voir aussi que Marianne a des réplique plus courtes ce que l’auteur a voulu nous monter là c’est qu’elle veut accélerer le processus et attends les aveu d’Octave. Il a aussi aussi mis Marianne dans une situation de tutoiement envers Octave ce qui signifie un rapprochement voulu par Marianne. Vers 32,avec l’utilisatoin du champs lexical d’amour. Vers 1-2 “Heureuse,aimerait” B)...mais pourtant repoussée

mari, qui ne comprend guère son goût pour la solitude. Elle avoue alors, les yeux remplis de larmes, qu’elle est éprise d’un autre homme, et que pour rester digne de lui, elle doit quitter la cour. M. de Nemours assiste, caché et invisible, à cet aveu. M. de Clèves est dans un premier temps tranquillisé par la franchise courageuse de son épouse. Puis aussitôt, il commence à ressentir une vive jalousie et presse son épouse de mille questions auxquelles elle ne répond pas. Elle ne lui dévoilera pas

témoigne d’une esthétique classique ? I. Un aveu incroyable : A. Une mise en scène où le mystère est entretenu : Tout d’abord, cette scène semble « extraordinaire », par le mystère qui entoure l’aveu. La confession est dramatisée : * Avec le verbe « contraindre »(1) & le mot « dessein »(2) rend l’aveu comme une obligation délicate, un supplice. * L’héroïne présente sa confidence comme exceptionnelle : hyperbole (9/10) « un aveu qu’on a JAMAIS fait à son mari » insiste sur le

son mari, qui ne comprend guère son goût pour la solitude. Elle avoue alors, les yeux remplis de larme, qu'elle est éprise d'un autre homme, et que pour rester digne de lui, elle doit quitter la cour. M. de Nemours assiste, caché et invisible, à cet aveu. M. de Clèves est dans un premier temps tranquillisé par la franchise courageuse de son épouse. Puis aussitôt , il commence à ressentir une vive jalousie et presse son épouse de mille questions auxquelles elle ne répond pas. Elle ne lui dévoilera pas

reproches de son mari, qui ne comprend guère son goût pour la solitude.    Elle avoue alors, les yeux remplis de larme, qu'elle est éprise d'un autre homme, et que pour  rester digne de lui, elle doit quitter la cour. M. de Nemours assiste, caché et invisible, à cet  aveu. M. de Clèves est dans un premier temps tranquillisé par la franchise courageuse de  son épouse. Puis aussitôt , il commence à ressentir une vive jalousie et presse son épouse  de mille questions auxquelles elle ne répond pas. Elle ne lui dévoilera pas le nom de son