Avion militaire

nationale. Les industriels reocnvertissent leurs appareils de prodution ainsi Krup fabrique des munitions, des obus... Les Allemands se specialisent dans les sous-marins. KLes alliers prennent de l'avance dans les chars ( Renault, Citroene) et les avions. 2) La mobilisation des femmes et des enfants La guerre se joue aussi à l'arriére. Les femmes remplaçent les hommes dans les usines et dnas les champs. C'est une perode d'emancipâtion pour elles. Les suffragettes revendiqueront leur droit de

les rangs de l’armée de l’air, vous devenez de fait militaire et, plus précisément, « aviateur », quel que soit le métier choisi : pilote ou mécanicien, cuisinier ou fusilier commando, spécialiste télécoms ou maître-chien, interprète ou contrôleur du ciel. Et si embrasser une carrière d’aviateur constitue un virage déterminant, la réalité de la vie militaire se révèle très différente des stéréotypes que l’on imagine. Le statut du militaire évolue en permanence, en phase avec la société moderne

chimique mise au point par les Allemands (en 1915, de l’Ypérite) s’est révélée d’un usage délicat, d’un emploi délicat et le lance-flamme expérimenté par les français s’est montré plus dangereux pour les utilisateurs que pour les ennemis ! -Les avions sont utiles, mais sans plus : ce sont d’abord des engins d’observation pour guider l’artillerie et les bombardements aériens sont peu décisifs. -Les alliés espéraient beaucoup d’une arme secrète, appelé tank, littéralement une caisse à roulette capable

des médiateurs et des guides nous conduisant à la maturité, nous ouvrant le monde du travail, du devoir, de la culture et du progrès – préparant l'avenir. Parfois, nous nous moquions d'eux et nous leur jouions de petites niches, mais au fond nous avions foi en eux. La notion d'une autorité, dont ils étaient les représentants, comportait à nos yeux, une perspicacité plus grande et un savoir plus humain. Or, le premier mort que nous vîmes anéantit cette croyance. Nous dûmes reconnaître que notre âge

l'autre. Il a toutes sortes de guerres : à cause des religions, du racisme, etc. Je ne pense pas qu'il pourrait y avoir un monde sans guerres. Il y aura toujours des conflits entre les gens, les pays. Et puis même s'il n'y a plus de guerres sans avions, canons, il restera toujours des petites guerres, des disputes, des bagarres ... Faire la guerre, je pense que ça ne sert à rien, cela ne peut que donner de la souffrance, de la tristesse et de la mort. Nina. Il y a des guerres parce que dans

noce, une godaille indescriptible. Ceux des soldats qui buvaient dans les boutiques s’élancèrent dehors, suivis de leurs parents et de leurs amis qui se disputaient l’honneur de porter leur sac ; les rangs étaient rompus, c’était un pêle-mêle de militaires et de bourgeois ; des mères pleuraient, des pères plus calmes suaient le vin, des enfants sautaient de joie et braillaient, de toute leur voix aiguë, des chansons patriotiques ! On traversa tout Paris à la débandade, à la lueur des éclairs qui

est stimulée. Des dirigeables sont d'abord utilisés mais ils restent très vulnérables aux tirs. On a alors recours à l'aviation en mettant au point un système de tir à travers l'hélice, des bombes sont même larguées - à la main - à partir de ces avions. L'aviation devient donc une arme de plus en plus stratégique. Toujours dans cette logique de développer la force de l'artillerie, on imagine d'installer des canons sur des véhicules blindés. Les premiers chars sont utilisés sans succès lors de

revers envisage l’issue du conflit. Ils escomptent une dislocation de la coalisation. Et surtout, il presse la mise au point d’arme secret qui doivent leur assurer la victoire. Les allemands ont une recherche scientifique hors norme porté sur les avions à réaction, les fusées à combustion liquide. Pour leur permettre d’atteindre l’Angleterre par les côtes françaises. Et faire des bombes nucléaires. Dans cette objectif, abattre l’Allemagne. L’occupation de l’Afrique du nord permet l’ouverture d’un

dernier jour il y eut, chez nous, un marmitage exceptionnel ; l'artillerie lourde anglaise pilonnait sans arrêt notre position, de sorte que nous eûmes de fortes pertes et que nous ne revînmes que quatre-vingts. Nous étions rentrés de nuit et nous avions fait aussitôt notre trou, pour pouvoir, enfin, une bonne fois, dormir convenablement ; car Katczinsky a raison, la guerre ne serait pas trop insupportable si seulement on pouvait dormir davantage. Le sommeil qu'on prend en première ligne ne compte

est fort stimulante et bien documentée. Elle montre les forces du complexe américain et les difficultés européennes en la matière dans de nombreux systèmes comme l’A400 M (avion de transport tactique). Fait intéressant : l’auteur constate, en ce qui a trait à la production d’armement, que le nouveau cycle de dépenses militaires ne vient pas du 11 septembre mais débute plutôt en 1999. L’inflexion est davantage de l’ordre du discours. Le dernier texte de cette section vient de la plume de Ian Roberge