Aviron

tous les jours) Pots d’accueil et de départ le premier et le dernier jour Activité proposée : 1er jour : - Visite abbaye des prémontrés : Découverte de la richesse de leur région, ouverture d’esprit, et culture. GRATUIT - Aviron dans la Moselle : (Club de lil dech) : Cohésion d'équipes, motivation. 10*15= 150€ - Soirée dansante, Paëlla : Ambiance décontractée qui permet mieux connaitre ses collègues dans un autre contexte. 2ème jour : - Jeux de rôle : Confiance

Baudelaire, «Don Juan aux Enfers», Les Fleurs du Mal, 1857. Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon1, Un sombre mendiant, œil fier comme Antisthène2, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes se tordaient sous le noir firmament, Et, comme un grand troupeau de victimes offertes, Derrière lui traînaient un long mugissement. Sganarelle en riant lui réclamait

géant » donnent une impression de majesté. Ces valorisations en font un oiseau exceptionnel. Cependant ce poème donne de l’albatros une deuxième vision totalement opposée. Lorsqu’il se pose, celui-ci parait ridicule ses ailes sont comparaient à des « avirons » ; d’un vol royal on passe au boitement de l’infirme. L’oiseau est agressé moralement en étant caractérisé comme « gauche et veule » « comique et laid » puis physiquement par les moqueries des marins « l’un agace son bec », « l’autre mime, en boitant »

scénariste, réalisateur, compositeur, producteur, écrivain et chanteur britannique né le 11 Juin 1959 à Oxford. Il a étudié l'Archéologie et l'Anthropologie à Cambridge. Son père Ran Laurie ayant été médaillé d'or aux Jeux olympiques de 1948 à Londres en aviron, Hugh sera lui-même rameur durant ses études, puisqu'il prit part en 1980 à la course Oxford-Cambridge. Plus connu sous le nom de Hugh Laurie, il a surtout joué dans des séries télévisées ou des téléfilms. Depuis 2004 aux États-Unis, il interprète

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid ! L’un agace son bec avec un brûle-gueule, L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l’azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d’eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu’il est comique et laid !L’un agace son bec avec un brûle-gueule,L’autre mime, en boitant, l’infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince

Théâtre (1 an à l’académie de Evere), cinéma, littérature, musique (batteur dans le groupe « Urban Killers ») Sportif: Aviron, Basketball (champion en minime 1998), ultimate frisbee (Depuis 10ans) en tant que semi-professionnel (équipe nationale – 19 ans, triple champion de Belgique 2008 indoor, outdoor et sable et enfin vice champion d’Europe

ce qui montre bien que l'albatros n'est que un divertissement au service de l'équipage. L'albatros se voit donc sujet au moquerie sur terre au v1 "pour s'amuser" "l'autre mime en boitant ..." . Il se voit dévalorisé avec la comparaison "comme des avirons" v8 signifiant un passage du Navire imposant à l'aviron risible . II Le poète un semblable de L'albatros a)De l’idéal . Grace à l'hyperbolle v16 "geant" on observe la grandeur que possede le poete . Tout comme avec au v13 "le Poète" possédant

connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il ; voire même qu’avec ça dans la main — et il faisait le geste de tirer sur les avirons — il se fichait de tout le monde. Il avait rossé en course plus d’un Anglais, jadis, à Joinville ; et il plaisanta sur le mot « dames », dont on désigne les deux montants qui retiennent les avirons, disant que les canotiers, et pour cause, ne sortaient jamais sans leurs dames. Il s’échauffait en pérorant et proposait obstinément de parier qu’avec

connaisseur. Il avait canoté, lui aussi, dans son jeune temps, disait-il; voire même qu’avec ça dans la main - et il faisait le geste de tirer sur les avirons- il se fichait de tout le monde. Il avait rossé en course plus d’un Anglais, jadis, à Joinville; et il plaisanta sur le mot "dames", dont on désigne les deux montants qui retiennent les avirons, disant que les canotiers, et pour cause, ne sortaient jamais sans leurs dames. Il s’échauffait en pérorant et proposait obstinément de parier qu’avec