Aviron

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des

est un oiseau majestueux à l'allure souveraine désigné par la périphrase du vers 16 : " les rois de l'azur ", autant lorsqu'il se pose il paraît ridicule : - les " ailes " du vers 7 qualifiés des deux épithètes " grandes " et " blanches " ? " les avirons (vers 8) ; - la beauté du vers 10 ? la laideur du vers 10 ; - du vol royal (vers 3), on passe au boitement de l'infirme (vers 12). Ces oppositions sont soulignées par des antithèses : - " roi " (vers 6) ? " maladroit " et " honteux " (vers 6) ; -

brillait, tout était calme. Je compris que j'avais les nerfs un peu ébranlés et je résolus de m'en aller. Je tirai sur ma chaîne ; le canot se mit en mouvement, puis je sentis une résistance, je tirai plus fort, l'ancre ne vint pas … Alors, avec mes avirons, je fis tourner mon bateau et je le portai en amont pour changer la position de l'ancre. Ce fut en vain, elle tenait toujours ; je fus pris de colère et je secouai la chaîne rageusement. Rien ne remua. Je m'assis découragé et je me mis à réfléchir

oiseaux des mers,Qui suivent, indolents compagnons de voyage,Le navire glissant sur les gouffres amers.A peine les ont-ils déposés sur les planches,Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux,Laissent piteusement leurs grandes ailes blanchesComme des avirons traîner à côté d'eux.Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule !Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid !L'un agace son bec avec un brûle-gueule,L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait !Le Poète est semblable au prince des nuées Qui

Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait! Le Poète est semblable au prince des

charges. Ils pouvaient se propulsé grâce aux voiles. Cet invention serve aux phéniciens de naviguer sur toute la méditerranée. 4-Les galères scandinaves : Les navires nordiques étaient des bateaux très performants, propulsés à la fois par des avirons et par des voiles. Ils furent construits en Scandinavie à partir du IXe siècle par les Vikings. Les plus célèbres d'entre eux, les drakkars, atteignant une vingtaine de mètres de long, disposaient d'une quinzaine de paires d'avirons. Ils étaient faits

proposés Les différents sports proposés sont : • Athlétisme • Equitation • Foot – Fauteuil • Natation • Tir à l’arc • Voile • Ski nordique • Boccia • Tirs portif • Tennis • Rugby-fauteuil • Haltéro/musculation • Escrime • Basket-ball • Aviron • Torball/Goalball • Tennis de table • Ski alpin • Judo • Foot à 5 d.v • Cyclisme • Hockey sur luge • Curling • Volley-ball II – Les jeux paralympiques Les jeux paralympiques comprennent les jeux d’été et d’hiver. Quatre milles sportifs

Jean par une subtile manœuvre parvient à dévier le bateau au dernier moment et folcoche tome a l’eau. (p213) « L’instant précis ou elle sautait je donnais un brusque coup de barre a droite. Folcoche tomba dans la rivière » Ensuite il fait tomber son aviron afin de justifier le fait de ne pas aider sa mère. (p213) « "Feignant ‘affolement, je laissai échapper ma godille, afin de me trouver dans l'incapacité officielle de lui porter secours". Cette scène nous montre que si les enfants détestent réellement

mers, Qui suivent, indolents compagnons de voyage, Le navire glissant sur les gouffres amers. A peine les ont-ils déposés sur les planches, Que ces rois de l'azur, maladroits et honteux, Laissent piteusement leurs grandes ailes blanches Comme des avirons traîner à côté d'eux. Ce voyageur ailé, comme il est gauche et veule ! Lui, naguère si beau, qu'il est comique et laid ! L'un agace son bec avec un brûle-gueule, L'autre mime, en boitant, l'infirme qui volait ! Le Poète est semblable au prince des

le biais de l’anecdote, Baudelaire rend-il sensible la souffrance de l’oiseau maltraité par les Hommes de manière à en faire le symbole de la condition du poète ? I. Une anecdote vécue a) Le contexte du voyage en mer Champ lexical des avirons englobe l’environnement maritime, la configuration du navire, les marins et les animaux. Situation de vie en mer vécue par Baudelaire par désœuvrement que les marins capturent des albatros pour s’en amuser. * Albatros animal mal aimé des marins