Avis Personnelle Sur La Beauté De Baudelaire

contingents en regard de ceux-ci que les sept planètes lointaines en regard de la lune et du soleil, apparurent magistralement les grands-pères, les phares comme on disait, les étoiles lointaines dans la nuit des collèges, Malherbe et Racine, Hugo, Baudelaire et le petit Banville; qui l’un sorti de l’autre s’étaient donné le jour dans cet ordre ou à peu près, avaient relancé la filiation canonique qui fait s’échauffer couple à couple les douze pieds, tous venus de là, tous enfilés sur la grande tringle

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action. Tragique : quand un personnage sent peser sur lui la fatalité qui le conduit vers la souffrance ou la mort. Pathétique : quand une scène est très émouvante car elle montre la souffrance humaine. Lyrique : expression des sentiments personnels (fréquent en poésie). Réaliste : L’inverse du romanesque : donne l’illusion de la réalité en soulignant ses aspects ordinaires, imparfaits voire ridicules. Epique : Récit d’exploits qui illustre les valeurs d’un peuple. Registres complémentaires :

 1ère STI2D 3 SEQUENCE I – POESIE ET QUETE DU SENS Problématique Quel sens peut avoir la création poétique ? Que cherche le poète ? Textes étudiés en lecture analytique 1 – Hugo, « Le mendiant », Les Contemplations, 1856 2 – Baudelaire, « Correspondances », Les Fleurs du mal, 1857 3 – Jaccottet, « Le travail du poète », L’Ignorant, 1957 4 – Jaccottet, « Je sais maintenant que je ne possède rien … », L’Effraie, 1953 4 groupements de textes ○1er corpus. C’est le corpus que nous avons

assuré de la popularité de son thème. Et il fait la part belle au spectacle, accorde un soin particulier aux décors, fait appel à des peintres, met en oeuvre une machinerie complexe, pour le bonheur de l’oeil et le plaisir de l’émotion. Pourtant, la beauté de l’artifice ne parvient pas à masquer l’audace du propos. Molière sauve cependant les apparences pour qu’on ne puisse le taxer d’immoralisme : le grand seigneur, athée de surcroît, est puni et le Ciel s’est vengé de son insolence. Mais la religion

époque. Les mots deviennent indicibles. Thérèse est rongée non pas par le remord mais par le pardon et cette confession impossibles. Les raisons d’une attirance pour un « monstre » On peut déjà trouver des débuts de réponse dans la citation de Baudelaire placée en exergue au roman. Elle est tirée de « Mademoiselle Bistouri » du Spleen de Paris. "Seigneur, ayez pitié, ayez pitié des fous et des folles ! Ô Créateur ! Peut-il exister des monstres aux yeux de Celui-là qui sait pourquoi ils existent

descriptions assez longues de la nature environnante , soit en prélude à une scène, soit comme motif de transition, descriptions qui révèlent un sens aigu de l’espace et de la perspective ainsi qu’un véritable imaginaire pictural.[…] La célébration des beautés de la nature parcourt les textes, que ce soient les entrées printanières des chants de trouvères, ou les allusions qui y sont faites dans les romans…Mais ces expériences du monde sensible, lorsqu’elles sont organisées en paysage, le sont de façon

au sens littéraire, 864 ANtOiNE COMPAGNON désigne le récit fait par un survivant du drame auquel il a assisté. L’expression « life writing » aurait pour équivalent français une formule comme « l’écrire-la-vie », ou encore « les écrits personnels », selon le syntagme employé par Philippe Lejeune, spécialiste du genre, lequel couvre une bonne part de la production littéraire actuelle et dont la dimension égalitaire et démocratique prend le contrepied de la hiérarchie imposée par les genres

donc clairs : pour le classicisme d'un Delille et contre Chateaubriand et la traduction romantique, Lafond offre une « première traduction » [6] des sonnets résolument personnelle, peu littérale, qui obéit à des choix esthétiques à contre-courant de son époque — et annoncent paradoxalement la réhabilitation du sonnet par Baudelaire et, plus tard, par les symbolistes. Rappelons les termes du débat qui oppose tenants de la traduction en prose et ceux de la traduction en vers. Benjamin Laroche, qui est

106 107 107 108 108 108 109 109 109 111 A. Cabanel, Phèdre Poésie et musique à l’époque romantique M. Desbordes-Valmore, « Je ne sais plus » G. F. Kersting, La Brodeuse C. Baudelaire, « Parfum exotique » Exercices d’approfondissement 1 A. de Lamartine, Méditations poétiques, « L’isolement » 2 C. Baudelaire, Les Fleurs du mal, « Paysage » 3 F.-R. de Chateaubriand, René 4 Pétrarque, Canzoniere, « En retournant en Italie » 5 A. de Musset, Poésies nouvelles, « Nuit de mai » 6 L. G. Damas