Avoué

le fuit pour ne pas succomber à cette passion. Ce vol se produit dans la deuxième partie du roman de Madame de La Fayette, le Duc de Nemours lui avoue, sans qu'il ne s'en rende compte, qu'il est pris d'un sentiment fort à son égard. Madame de Clèves fait de même lors du tournoi, de la deuxième partie du roman, où le Duc de Nemours est blessé. Elle lui avoue son amour sans le vouloir, elle a eu peur qu'il se soit fait mal lors de ce tournoi. Ce sont des aveux discrets qui vont permettre aux deux personnages

signifie le ruban que Arnolphe lui a offert alors que Arnolphe pense au pucelage. Agnès fait retarder l’échéance à deux reprises : ‘’je n’ose’’ v15, ‘’vous serez en colère’’ v 18. Ça accentue la tension dramatique. Le quiproquo prend fin lorsqu’Agnès lui avoue qu’elle parle bien du ruban : ‘’Il m’a pris le ruban que vous m’aviez pris’’ v21. Arnolphe s’en trouve soulagé comme le prouve la didascalie : ‘’Arnolphe, _reprenant haleine’’. Mais ce soulagement devint mitigé lorsqu’Agnès lui avoua qu’elle aurait

recherche "la chaussée" d'abord introuvable puis il est finalement arrêté par hasard. Le hasard est un auxiliaire précieux de la justice. Ses précédents employeurs sont morts de façon subite et bien que n’ayant rien avoué il est condamné à mort. Au cours du supplice il parle, il avoue avoir empoisonné les frères d’Aubray avec "l’eau blanche" fournie par Sainte-Croix, le tout avec la complicité de la Brinvilliers. Il met aussi en cause Pénnautier et un certain Martin. La Marquise ayant été citée cela

parlant nous amène à douter de l’importance de grandes études. Il est donc d’une absurdité de constater que l’élève n’a pas la capacité académique résoudre un simple calcul d’arithmétique. Par contre, un peu plus loin, elle se contredit elle-même. Elle avoue avoir appris par cœur tous les calculs mathématiques possibles. Et pour y augmenter le comique de situation, le professeur acquiesce qu’il est possible et avantageux pour elle de savoir ce qu’elle sait. C’est ainsi qu’on remarque que dans certaines

intentions (pureté d'intentions, Jésuites), digne, estime, admiration. Vb volonté: affirmation vertu (l.10, l.13) b) le refus de la tentation (faiblesse) Ne pouvant forcer son cœur, elle force son esprit et sa raison. Mari=guide=lutter tentat°. Avoue culpabilité mais oppose sentiments et actes. Sentiments fautifs (l.14/15). Hyperbole "mille"= culpabilité pass° mais rectifie son sentiment par "la pureté de [s]es actes" (l.14/15)= très janséniste, jugé sur ses actes et non ses intent°. Au nom de

brûle et me noie » (1555-1556). Mariane avoue avoir du dépit envers elle même et refuse la pitié de son destinataire, regrette d’avoir « perdu (sa) réputation » et de s’être exposée à la « fureur de (ses) parents, à la sévérité des lois de ce pays contre les religieuses, et à (son) ingratitude, qui (lui) paraît le plus grand de tous les malheurs. » En même temps, elle confesse avoir « un plaisir funeste d’avoir hasardé (sa) vie et (son) honneur ». Elle lui avoue l’avoir trompé après son départ et refuse

(1830), César Birotteau (1837), Une ténébreuse affaire (1841), Le Père Goriot (1835), Splendeurs et misères des courtisanes (1838-1844) mais est aussi au centre du Colonel Chabert. Derville dans tous les romans de Balzac joue toujours le rôle d’un avoué intègre. Dans le colonel Chabert, Il est le seul personnage honnête et généreux de ce roman et est le seul à accueillir, respecter et aider Chabert. Grâce à Derville, le lecteur à la possibilité de se confronter à deux aspects de la société. La première

réciproque. Nous pouvons le comprendre par exemple lors de la dernière rencontre entre le Duc de Nemours et la Princesse. Rencontre au cours de laquelle cette dernière avoue au Duc qu’elle l’aime « croyez que les sentiments que j'ai pour vous seront éternels, et qu'ils subsisteront également, quoi que je fasse  ». En dépit du fait qu’elle lui avoue ses sentiments, elle ajoute pourtant qu’elle ne peut pas entamer une relation avec lui « Mon devoir (...) me défend de penser jamais à personne ». On peut donc

dernier lui propose de se rendre à la plage. Ils y croisent des hommes qui menacent Raymond. Il avoue à Meursault qu’il a battu sa maîtresse qui se trouve être la sœur d’un d’entre eux. Le soir, Meursault décide de se promener sur la plage où il rencontre un des deux arabes. Abruti par le soleil, il tire plusieurs fois sur l’arabe et le tue. Le lendemain, il comparait devant un policier auquel il avoue son meurtre, à son avis sans gravité. Puis, il est condamné à 11 mois de prison. Les mois de prison

suicider. Phèdre lui avoue son amour pour H., alors que celui-ci avouait son amour pour Aricie en scène 1 acte 1. Parties : P1 : vers 246-258 : Phèdre peine a avouer ce qui ne va pas. P2 : vers 259-268 : Phèdre avoue son amour. P1+P2 phedre peine a sexprimer. Oenone doit la questionner, la pousser aa avouer. (dialogue entre les deux). P3 : vers 269-fin. : Phèdre parle de sa vie et de ses tourments, de sa lutte contre ses sentiments. Phèdre est libéreéé car elle a avoué -> flot de paroles ininterrompues