Aède

la racine d'origine peut-être médique « med » : comprendre, concevoir[1]. Ce nom révèle peut-être le savoir ou la capacité à raisonner de ce personnage. Elle est magicienne, comme sa tante Circé que l'on retrouve par exemple dans l'Odyssée d'Homère, aède grec du IXe siècle avant JC. Particulièrement sombre, la légende de Médée est constituée d'une succession de meurtres ponctuée d'une série de fuites. C'est pour cela qu'elle a accompli un voyage à travers toute la Grèce antique. Sa vengeance meurtrière

son premier-né, un enfant agréable que tous souhaitaient adopter. C’était un joli garçon d’une grande inventivité, un peu discret et claquemuré dans ses univers oniriques et paranormaux. Tout au long de son adolescence, son mignon fils prénommé Jean-Aède, adorait raconter des histoires saugrenues peuplées d’olibrius, de quidams et de baroudeurs jouant les matamores ou les boutefeux. Physiquement, il était la reproduction parfaite de son père troubadour. Assise tout près de Marcus Graff qui s’entretenait

STC est décoré du nocher infernal: Charon. ------------- .LA MUSIQUE. * l’instrument --> st colombe modifie sa viole. p. 9 (puis répétition p.31) Orphée ajoute deux cordes à la traditionnelle lyre à sept cordes. * Orphée, aède mythique de Thrace et demi dieu, charmait les animaux et parvenait à émouvoir les êtres inanimés. STC --> maître réputé dans l’art de la viole. (p.17). C’est en jouant que STC fait revenir le fantôme de sa femme : p.33 « La barque

Des dieux et des hommes. TL On attribut l'Odyssée à Homère, un aède du VIII. Av. J-C. L'Odyssée narre les périples d'Ulysse, vainqueur de la guerre de Troie. Dans cette œuvre, on remarque un rapport particulier entre les hommes et les dieux. En effet, ces deux communautés partagent le même cosmos et sont donc liés. Nous étudierons dans un premier temps, la distance qui les séparent, puis, dans un second temps leur proximité. 1-Distance a)Des dieux opposants. (Poséidon « Il aura

s'intitule Orphée, il s'agit de la première oeuvre de cette section de La légende des siècles qui est celle des Idylles. Dans ce texte, Victor Hugo traite un thème majeur de la littérature occidentale qui est le mythe d'Orphée. Ce mythe porte sur un aède mythique de la Thrace, fils du roi Œagre et de la muse Calliope, qui savait par les accents de sa lyre charmer les animaux et émouvoir jusqu'aux êtres inanimés. Mais c'est à la partie du mythe qui concerne Orphée et la femme qu'il aime, Eurydice, qu'Hugo

(Euripide : "Parle si tu as des mots plus forts que le silence ou garde le silence").Valéry se souvient des origines religieuses, cultuelles de la poésie : selon Pausanias, les Muses, à l'origine, étaient au nombre de trois : "Aédé" (le chant, la voix qui a donné le mot "aède" = poète), "Mélété", la Méditation et "Mnémé", la Mémoire. Le poème est "l'enfant" de l'inspiratrice et de l'inspiré. Les Muses sont des classifications allégoriques des différents arts (éloquence, poésie épique, art lyrique,

de Zeus et de Mnémosyne. 1128808168394 Sarcophage des Muses, IIe siècle, Musée du Louvres 1) Le mythe À l'origine, selon Pausanias, elles étaient trois. Ensemble, elles représentent les pré-requis de l'art poétique dans la pratique du culte : Aédé (le « chant », la « voix ») Mélété (la « méditation ») Mnémé (la « mémoire ») À Delphes, elles portent le nom des trois premières cordes d'une lyre :  Nété (Aiguë) Mésé (Médiane) Hypaté (Grave) Cicéron en compte quatre :  ThelxinoéAédéArchéMélétéC'est Platon (dans Ion)

retenu par Calypso. Athéna, sa protectrice, se rend à Ithaque, la patrie d’Ulysse, donne des conseils au fils de celui-ci, Télémaque, en butte aux prétendants de sa mère, Pénélope, qui manifeste encore son regret d’Ulysse, en entendant le chant d’un aède évoquant le retour de la guerre de Troie.Chant 2Télémaque informe ses concitoyens des malheurs de sa maison et demande un bateau pour partir à Sparte et à Pylos, selon les conseils reçus par Athéna. Malgré l’opposition des prétendants, mais aidé de

héraut (porte-parole : aède ici) Demodocos chante la prise de Troie Passage de relais entre héraut et héros → souvent, le héros chante lui-même la gloire du héros → lien fondamental entre chant et existence des héros épiques → parole = perte de l’anonymat et perte de la monstruosité (mise à distance via la parole) Chant poétique = chant divin → Demodocos (mise en abyme d’Homère, authentifiée par Ulysse) n’a pas vécu les exploits qu’il chante, mais est inspiré par les muses → aède inspiré Demodocos

des mauvaises intentions sans porter atteinte à l’ordre politique commun et vise à atteindre le bon, l’utile et le nécessaire. L’épopée est un genre littéraire ou le narrateur commente l’action et parle en son propre nom. Le récit épique a un auteur (Aède), Homère par exemple ; l’Iliade et l’Odyssée. Il s’agit de deux épopées qui racontent les exploits de personnages surhumains appelés par les grecs les héros. L’Iliade raconte la guerre de Troie où le héros Paris est appelé pour arbitrer le concours