Bacchanales

nouveaux de Vaudevire par ordre alphabetique » ; - 1811(mille huit cents onze ) Augustin Asselin « les vaudevires, poésie du XV siècle » - 1821 , Louis Dubois « Vaux –de –vire d’Olivier Basselin , suivi d’un choix d’anciens vaux-de vire , de Bacchanales et de chansons » - 1833 (mille huit cents trente-trois ), Julien Travers, « Les vaux-de-vire édités et inédits d’Olivier Basselin et Jean le Houx, poètes virois » . - 1858 (mille huit cent cinquante-huit) , Paul Lacroix , « vaux-de vire-

la mythologie romaine, en l'assimilant avec le vieux dieu italique Liber Pater. C'est le dieu du vin, de l'ivresse, des débordements, notamment sexuels, ainsi que de la nature. Priape est un de ses compagnons favoris. Les fêtes de Bacchus s'appellent les bacchanales. ------------------------------------------------- Symbolisme La représentation de Bacchus est entièrement liée à son correspondant grec Dionysos. En effet, le terme "Bacchus" n'est à l'origine qu'un épithète qui qualifiait le dieu grec. L'introduction

sont dans une pièce à l’architecture ambitieuse et originale, laissant une ouverture sur la mer et sur des falaises, qui sont en fait les falaises de Catalogne. On peut les retrouver dans beaucoup d’autres tableaux de Dali comme L’Enigme d’Hitler, Bacchanale, Cannibalisme de l’automne ou Le sevrage du meuble-aliment. Le Christ n'est pas représenté de façon traditionnelle. Ses cheveux sont clairs et il n'a pas de barbe. Sa tunique laisse une épaule découverte. On peut également remarquer que Sa partie

bien qu’il contraint l’Eglise à accepter les ripailles, les réjouissances de toutes sortes, les farandoles, la mascarade qui parodie la création de Dieu. C’est pourquoi les équinoxiales de cette année chercheront à nous éclairer sur les bacchanales et les saturnales de l’Antiquité dans lesquelles le carnaval prend ses racines. La fête est surtout ce qui détourne du quotidien, ce qui immobilise les modes de fonctionnement traditionnels de la société. Or, plus ils sont pesants et plus

( lequel garde davantage la marque de son origine ). équivalent romain – sous le nom de Bacchus il est rapidement identifié à un ancien dieu italique , liber pater. Son culte resta très vivant jusqu'au 2ème siècle avant jésus christ où les bacchanales furent interdites par le sénat romain en raison de leur caractère orgiastique ( en 186 ) . Le culte se maintint néanmoins sous forme d'une religion à mystères, associée à l'orphisme ( Dionysos – Zagreus ) qui promet à ces initiés une nouvelle vie

surveillée dans le cadre festif des Grandes Dionysies, son débordement demeure inévitable et le nombre des confréries dionysiaques se démultiplie. Tite-Live rapporte dans son Histoire romaine que malgré la loi romaine de 186 av. J-C qui interdit les bacchanales illicites, ces pratiques orgiaques nocturnes continuent de plus belle. L’irruption de Dionysos aussi bien dans le mythe que dans l’histoire rappelle à bien des égards celle des sorcières dans Macbeth. Dans un monde apparemment rationnel, organisé

procédé de Signac : Des sonnées de la représentation reste réaliste Interprétation le sujet Il s'agit de l'Age d'or, où l'humanité ne connait que les plaisirs de l'amour Ce thème classique, souvent ayant l'ambiance pastorale ou encore bacchanale, est traité par le Titien, Poussin et Ingres, mais aussi par Cézanne et Gauguin. Les nus dans le paysage reste académique, l'artiste réconcilie la tradition et la modernité représentée par la technique divisionniste. Ici, la vision arcadienne

des yeux ardents ; tous les masques du carnaval de Venise se succédant à votre lorgnette ; en un mot, un kaléidoscope humain. L'orgie devenait de plus en plus flamande. Teniers n'en donnerait qu'une bien imparfaite idée. Qu'on se figure en bacchanale la bataille de Salvator Rosa. Il n'y avait plus ni écoliers, ni ambassadeurs, ni bourgeois, ni hommes, ni femmes ; plus de Clopin Trouillefou, de Gilles Lecornu, de Marie Quatrelivres, de Robin Poussepain. Tout s'effaçait dans la licence commune

Les Métamorphoses du vampire. Comparé à la puritaine Angleterre victorienne, Paris, sous le Second Empire, est un havre de tolérance où la grivoiserie des pièces de Jacques Offenbach, qui fait l'apologie de l'adultère, du ménage à trois ou des bacchanales orgiaques, ne semble choquer personne. Mais Baudelaire frise la pornographie dans des vers comme : Dans Les Bijoux: Elle était donc couchée et se laissait aimer, Et du haut du divan elle souriait d’aise À mon amour profond et doux comme la mer

qui supportait sur ses épaules la voûte céleste. (L'attribution du nom atlas à un recueil géographique serait de Mercator) (L'atlas est aussi une vertèbre cervicale qui soutient la tête) Le mot bacchanale désigne une fête célébrée en l'honneur de Bacchus, le dieu romain de la Vigne. (Une bacchanale peut aussi désigner un débauche tapageuse.) Le mot bacchante désigne une prêtresse du culte de Bacchus, le dieu romain de la Vigne. (Une bacchante peut aussi s'employer pour une femme sans pudeur