Bacchantes

mort1. Selon l'une d'entre elles, il aurait été foudroyé par Zeus pour le punir d'avoir révélé des mystères aux hommes qu'il initiait2. Pour Strabon, il aurait trouvé la mort dans un soulèvement populaire3. La version la plus courante est que les Bacchantes ou Ménades éprouvèrent un vif dépit de le voir rester fidèle à Eurydice et le déchiquetèrent. Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l'île de Lesbos, terre de la Poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent les membres

serpent », on lui reproche l'indécence et l'érotisme du sujet. Le réalisme de la sculpture, la technique employée, et l'identité du modèle ont concouru au scandale de l'œuvre. Pour répondre à ces accusations, il exécute une très sensuelle œuvre nommée "Bacchante couchée", c’est une variante un peu plus grande que nature, présentée au salon de 1848. Elle est considérée par les plus grands critiques d’art, comme l'un des plus beaux morceaux de la sculpture moderne. Auguste recevra la croix de chevalier de

ainsi à la fin de cet extrait, après avoir vu dansait cette créature, Victor Hugo utilise une dernière fois la gradation pour exalter l’illusion de Gringoire envers la gitane ‘‘c’est une salamandre, c’est une nymphe, c’est une déesse, c’est une bacchante’’ (l.13). En effet, la fascination de Gringoire envers cette jeune fille commence dés le moment ou il la voit danser. Il y a la description détaillée d’elle ‘‘sa fine taille’’ (l.4), ‘‘elle était brune’’ (l.4), ‘‘ sa peau devait avoir ce

ESCHYLE ( 525-456 avt J.C), EURIPIDE ( 480-406 avt J.C), SOPHOCLE ( 496-406 avt J.C), la comédie a retenu ARISTOPHANE ( 445-380 avt J.C). La première tragédie connue est d'Eschyle en 472 : Les Perses ; la dernière est celle d'Euripide en 406, Les Bacchantes. Le terme "tragédie" vient du grec " trogos" qui signifie "bouc" et de "ôdê" qui signifie chant. Le sacrifice du bouc faisait partie du culte que l'on rendait à Dionysos. La tragédie était une des quatre formes du genre dramatique

sa bien-aimée était toujours là, rompit l'engagement qu'il avait pris en se retournant, et perdit définitivement Eurydice. Orphée, triste de la perte d’Eurydice, erra dans les bois et jura de ne plus aimer les femmes. Il a été massacré par les Bacchantes (femmes jalouses) qui jetèrent sa tête dans le fleuve Hébros. Sa tête dériva sur les eaux sans cesser de chanter jusqu'à la ville de Lesbos. Après la mort d'Orphée, sa lyre devint la constellation de la Lyre. Conclusion La philosophie de l'Orphisme

Comme la jeunesse et l'amour; Pucelle encore, à peine elle ose Payer le Printemps de retour. Au mois de juin, déjà plus pâle Et le coeur de désir troublé, Avec l'Eté tout brun de hâle Elle se cache dans le blé. Au mois d'août, bacchante enivrée, Elle offre à l'Automne son sein, Et, roulant sur la peau tigrée, Fait jaillir le sang du raisin. En décembre, petite vieille, Par les frimas poudrée à blanc, Dans ses rêves elle réveille L'Hiver auprès d'elle ronflant.

auxquelles se référer sauf une brève allusion dans Hésiode, vers le VIII ou le IX° siècle. Un Hymne Homérique tardif, datant peut-être du IVe siècle, ne donne que le récit concernant le bateau des pirates, et le sort de Penthée fait le sujet des Bacchantes, la dernière oeuvre d'Euripide, le plus moderne de tous les poètes grecs, qui vivait au V° siècle. Thèbes était la ville de Dionysos. II y était né, fils de Zeus et d'une princesse thébaine, Sémélé. II est l'unique dieu dont les parents ne sont

achalandage admirassassions = admirassions adspicer affublé aile amarante Amerlo amerloquain amoché anglais : à l’anglaise apéro apibeursdè touillou arquebuse artisse assécher assouflé=essouflé asteure=à cette heure baba (m) bacchantes (f. pl) bada (m) bahut (m) bâille-naïte: faire le b.-n. barbouze (f) barder barer=barrer bectance (f) beigne: donner la b. à qn bellicose berlitzscoulien bestiau bibine (f) biblerie (f) bicose bidon: c’est du b. bigophone (m) bigorne

au-dessus de sa tête, mince, frêle et vive comme une guêpe" il utilise un champ lexical qui s'oppose "rond", "mince". De plus le pètes compare la jeune fille a des créature mythique "c'est une Salamandre, c'est une nymphe, c'est une déesse, c'est une bacchante du mont Ménaléen !" pour mieu accentuez le portrait mystérieux de la bohémienne. L'auteur utilise plusieurs procédé de description comme la description fantastique, physique afin de mieux idéalisée la bohémienne. Le poète montre au lecteur une

roman insiste sur le thème du déguisement ou du costume. C'est une autre façon de suggérer le caractère factice des identités d'où l'expression l'habit fait le moine. Dès sa première apparition, Pedro semble déguisé : « Il était affublé de grosses bacchantes noires, d’un melon, d’un pébroque et de larges tatanes » page 44. Le roman reviendra ensuite constamment sur la question de ses costumes : « Et tes moustaches ? Je les ai laissés chez moi, dit Trouscaillon. Et en plus c’est donc vrai que t’es un