Bacchantes

Trachiniennes, Philoctète, Œdipe à ColoneEuridipe : Alceste, Médée, Hippolyte, Les Héraclides, Andromaque, Hécube, Héraclès furieux, Les Suppliantes, Ion, Les Troyennes, Iphigénie en Tauride, Électre, Hélène, Les Phéniciennes, Oreste, Iphigénie à Aulis, Les Bacchantes, Le CyclopeOvide : Les Métamorphoses, Les Fastes

«charrette», «une nuit de gros travail» (page 60), puis chez le peintre Fagerolles qui est absent et dont le père se montre très froid, chez le sculpteur Mahoudeau qui, disant travailler à une «bacchante», se fait rabrouer par Claude : «Une bacchante ! est-ce que tu te fiches de nous ! est-ce que ça existe, une bacchante.... Une vendangeuse, hein? et une vendangeuse moderne, tonnerre de Dieu !» (page 67), son but étant «la vie ! la vie ! la sentir et la rendre sans sa réalité, l’aimer pour elle, y voir la

joyeux, très aimants, faciles à s’emporter mais aussi à se passionner. D’autres, parce que cette chaleur est très rapprochée du lieu où réside l’intelligence sont pris de maladies de folie et d’énergie. Dans l’Antiquité c’est le cas des Sybilles, des Bacchantes et de tous ceux qui sont inspirés par les dieux, chez eux la mélancolie n’est pas une maladie mais une disposition naturelle. En effet, lorsque il y a une trop grande chaleur vers le centre, les gens deviennent en effets mélancoliques mais aussi

perdu son Eurydice, Orphée pleura sept jours entiers sur les bords de l'Acheron sans vouloir prendre aucune nourriture, il se retire dans la Thrace, fuyant les hommes et vivant parmi les animaux, que ses chants plaintifs attiraient près de lui. Les Bacchantes en éprouvère,t un vif dépit et le déchiquetèrent .Sa tête, jetée dans le fleuve Hébros, vint se déposer sur les rivages de l’île de Lesbos, terre de la poésie. Les Muses, éplorées, recueillirent ses membres pour les enterrer au pied du mont Olympe

Oreste… Après Oreste (408), Euripide se retire en Macédoine. En chemin, il s'arrête quelque temps en Magnésie où on l'honore d'une proxénie (proxène : citoyen protecteur de citoyens d’une autre cité). Parvenu en Macédoine, il écrit deux pièces, Les Bacchantes et Archélaos (aujourd'hui perdu). Il y meurt au début de l'année 406. Les Athéniens lui dressent en 330 une statue de bronze dans le théâtre de Dionysos. - Médée (431 avant J-C) : Il est question d'un couple, Médée et Jason qui fuient vers Corinthe

cervicale qui soutient la tête) Le mot bacchanale désigne une fête célébrée en l'honneur de Bacchus, le dieu romain de la Vigne. (Une bacchanale peut aussi désigner un débauche tapageuse.) Le mot bacchante désigne une prêtresse du culte de Bacchus, le dieu romain de la Vigne. (Une bacchante peut aussi s'employer pour une femme sans pudeur.) L'adjectif boréal (qui signifie "du Nord") vient de Borée, fils d'un Titan et de l'Aurore, divinité grec du Vent du Nord. Le mot cerbère vient du

Rilke dans les qualités intrinsèques de ce héros légendaire ? Brunel (in dictionnaire des mythes littéraires 1988, p1093-1103) décompose son histoire en trois mythèmes : « de l’expédition des Argonautes », « Orphée et Eurydice », « Orphée et les bacchantes » qui à la lueur des écrits de Maurice Blanchot peuvent aider à comprendre le cheminement de Rilke. Le premier mythème concerne le passage où Orphée triomphe des sirènes par sa musique. La poésie peut-être assimilée à un art lyrique dont la voix

art « d’une manière Indolente » et « toute sa personne une telle langueur » . Elle exécute plusieurs danses comme le montre l’énumération des danses « Elle dansa comme les prêtresses des Indes, comme les Nubiennes des cataractes , comme les bacchantes de Lydie » . Sa beauté et sa danse font tout les hommes qui assistent au spectacle sont charmés , envoutés par la magie de Salomé comme l’atteste les métaphores dans les phrases «de ses bras, de ses pieds, de ses vêtements jaillissaient d’invisibles

descriptives successives: « Zazie fut distraite [ ... ] par la perception d'une présence [ ... ] il se produisit des mots, émis par une voix masculine prenant son fausset [ ... ] Zazie se tourna vers le type [ ... ] il était affublé de grosses bacchantes noires, d'un melon, d'un pébroque, de larges tatanes noires » (p. 44). →Cette approche séquentielle quasi cinématographique ne trompe pas Zazie qui voit immédiatement en lui « un acteur de l'ancien temps » et annonce la supercherie: le personnage

paysages de Thraces, toujours émettant des plaintes déchirantes au son de la lyre. Pour amis, il n'avait que rochers, arbres, ruisseaux et torrents qu'il enchantait toujours de la même manière. Pour son malheur, il rencontra une horde de Menades, ou Bacchantes furieusement ivres de vin et de délire, de cris aigus agitant des verges, se précipitant comme démentes. Elles se jetèrent sur lui, le déchirèrent littéralement, puis se débarrassèrent de la tête dans les eaux du fleuve HEBRE qui le menèrent